Le garçon aux joues roses ... et aux yeux de Don Juan (ce qu’il essayait de faire) ne pouvait détourner son regard. Mais tellement de fois, ce genre de situation se présentait. Il y était à peu près préparé. Il niait ces sentiments ou plus précisément il essayait. Il pensait que c’était une faiblesse.
Après cette petite soirée où il avait peut-être un peu trop bu ... il retourna dans ces quartiers, Ulria ne marchait pas droit, on vous pouvait le comparé à un chien a trois pattes, qui était aveugles. Il tomba sur la fille qu’il avait croisée accompagné d’une autre, et pour laquelle il reconnaissait un sentiment de faiblesse, d’amour.
Quand ils croisèrent leur regard, il fit un sourire bête. Les filles gloussaient tellement, mais Ulria dans l’état ou il était, n’avait plus la conscience sur pied. Pas plus que lui qui tomba et ne se releva pas laissant ... un petit ronflement derrière sa chute. On entendait les filles qui ricanaient encore pendant qu’ils entrèrent dans leur quartier.
Voilà, déjà 6 heures du matin ... il se réveilla. On reconnut la gueule de bois du garçon et tandis qu’il essaya de se relever, il donnait l’impression qu’on lui avait coupé les jambes. Il laissa tomber sa tête du parfait défoncé sur le sol, aux yeux bleime avec un petit cri de douleur, tout simplement car il avait du mal à se mettre debout. Il luttait pour aller à une source d’eau, comme on lutterait pour traverser un désert ; il voulait laver son corps qui empesté l’alcool.
Arrivé à destination, une belle source d’eau qui sortait d’une petite ravine, se présenta devant lui. Il jeta son corps à l’eau, il était heureux comme un poison dans l’eau. L’alcool n’était pas très bon pour lui mais, quelque folie pouvait se faire de tant en tant. Estimant qu’il avait bien travaillé.
Il devait normalement se reposer mais il reprit son entrainement après son décrassage. Oublié son but, c’était marcher inutilement dans le vide. Après l’effort le réconfort, mais lui y a encore un effort de faire un effort après son réconfort. Comme un Lundi après le dimanche, pour les humains. Il se rhabilla, pris son zanpakuto posé délicatement sur le tronc de l’arbre situé juste au bord de la rivière.
Il retourna à son endroit favori un petit terrain plat avec au centre une roche assez massif, et on pouvait voir des entaille énorme sur cette roche. Cet endroit n’était pas loin d’un district. Et quand il venait s’entrainer, des enfants l’admiraient.
Il demandait même parfois aux enfants de lui lancer des cailloux aussi gros qu’un poing fermé, qu’il découpe en deux.
Il leur construit des bokens en bois pour leur apprendre quelque base de combat. Il donnait une chance à ces enfants, déjà de pouvoir se défendre, mais malgré leur pauvreté, de pouvoir un jour prouver qu’ils sont fort et courageux. Sa lui rappelle sa jeunesse qui ne fut pas tellement comme celle d’aujourd’hui.