Âge : 326 ans réellement, 19 ans et demi en apparence
Race :Arrankar
Rang demandé : Si la place de Tercera ne convient pas, alors je prendrais le rang d’Octava Espada.


Description de votre personnage :

D’une hauteur de 186 centimètre, Ricardo arbore une musculature fine et déliée, clairement taillée pour la vitesse et la course à pied, ou apparaît un trou de 5 centimètre de rayon au niveau du ventre, tranchant singulièrement avec des –pourtant magnifiques- abdominaux. Mais bien que son corps soit digne d’être admiré, son visage demeure, lui, assez terrifiant, notamment à cause de son regard particulièrement intimidant. En effet, malgré un visage loin d’être désagréable et avec des traits bien proportionnés, le simple fait de porter son intérêt sur autrui procure une étonnante impression de glace fondue coulant le long de la colonne vertébral…
Sa peau, elle, est si blanche qu’elle en parait laiteuse, et ses cheveux, argentés à la limite de l’immaculé. Mais ces deux détails seraient presque commun sans le regard précédemment cité qui en ferait frémir plus d’un… Ses cheveux hérissés (à tel point qu’il arrive qu’on le surnomme porc-épic) recouvrent ses yeux d’un voile d’ombre (et cachant donc son numéros, gravé sur son front). Et ses yeux… ses yeux, d’un bleu froid, limpide, qui, malgré leur normalités, parviennent à donner l’impression d’être transpercé de tout part par une lame de givre, faisant frissonner presque instinctivement le pauvre hère que l’arrancar regardera dans les yeux… Cela est dû à l’impression qu’il donne que toute personne sur lequel son regard se fixe est tel un livre ouvert pour lui. Un livre dont le sabre s’apprête à couper les pages et la reliure après l’avoir totalement lu.

Son masque prends la forme de petites lunettes devant ses yeux, donc les branches font le tour de sa tête pour s’unir. D’un point de vue vestimentaire, le jeune homme préfère se vêtir avec élégance : portant un pantalon et une veste unie sur une chemise blanche, ses chaussures sont des rangers aptes au sport. Une tenue simple mais agréable, avec le plus souvent une écharpe bleue autour du col.

Et ce n’est pas totalement faux que de sentir la peur s’emparer de sa personne quand Ricardo regarde celle-ci. En effet, avec le temps, la personnalité douce et gentille du hollow s’est affirmée, ne désirant point disparaître et réalisant que le seul moyen de maintenir son individualité et acquérir le respect d’autrui était la force. Une grande et belle force qui encouragerait quiconque à venir se mettre sous ses ordres, sous sa domination… et, par extension, sa protection.
Ainsi, sous une évidente soif de puissance, entre en action un cerveau réfléchit et toujours en activité, qui analyse en permanence les actions et réactions de son entourage. De ses lèvres, sa voix, loin d’être empli de désir ou d’un quelconque objectif, est posée et douce. Elle inspire la confiance et l’amitié, au contraste de son énigmatique et terrifiant regard. Car ce qu’il ne faut jamais oublier avec Ricardo, c’est qu’il n’admet guère ses talents de combattant comme un moyen d’avancer parmi ses éventuels alliés. Oh, certes, il arrive des moments ou il n’a pas d’autre choix, et en ces instants le hollow n’éprouve absolument aucun remords à abattre ceux qui lui font face.
Bien entendu, n’étant pas un génie, il fait ce qu’il peut avec ce qu’il possède, c’est-à-dire un impressionnant calme naturel et une volonté à toute épreuve. Et une formidable rancune, aussi : faites-vous un ennemi de cet homme, et vous aurez là un être qui attendra patiemment le moment idéal pour vous abattre, sans vous informer qu’il est responsable de votre déchéance…

Cependant, il serait faux de dire que le numéros ne pense qu’avec sa tête : loyal envers ceux qui le mérite, il sait reconnaître la valeur d’autrui ainsi que leurs qualité respectives, et c’est tant un ami fiable qu’un subordonné ne rechignant guère à la tâche. Il se demande même, parfois, si trouver une compagne arrancar ne serait pas idéal pour lui, car il aurait enfin une personne à qui accorder sa confiance. Un trésor qu’il n’accorde que difficilement et qu’il est nécessaire de préserver.

L’aura même qu’il dégage donne l’impression d’affaire, non pas à un roi ou un empereur, mais tout bonnement son propre seigneur. Il donne cet impression que, quelque soit ce qu’il fait, quelque soit ce qu’il désire, l’accompagner jusqu’au tréfonds des enfers n’est pas un problème. Un charisme étrange…

L’esprit est une lame aiguisée à ses yeux, et c’est votre cœur qu’il compte transpercer de la lame d'un long sabre chinois d'1m10, sa garde possédant de tout petits ornements, et son manche entouré de rubans. Le fourreau de son sabre est noir comme l’ébène, et l'arrancar a tendance à porter son sabre de deux manière différentes. La première, lorsqu’il est tranquille et n’a pas à se battre, son sabre est enveloppé d’un tissus pendant qu'il le porte sur le dos. Mais une fois qu’il a à se battre, il tient généralement sa lame dans une main et son fourreau dans l’autre.

Liberacion :



Spoiler:



Dès que les paroles rituelles furent prononcées, un acte que Ricardo n’accomplirait que si il se trouve repoussé dans ses derniers retranchements, la lame de son zanpakuto brille pendant un temps, avec une luminosité apte à occulter le soleil. Une fois que la lumière s’affaiblit, il devient possible de contempler sa forme de Liberacion. L’Espada se retrouve en effet recouvert d’une fine armure blanche couvrant l’ensemble de son corps, hormis au niveau du ventre, où le trou de hollow a décuplé en proportion, à telle point que l’on a l’impression qu’il serait aisé de séparer son corps d’un coup bien ajusté. Mais bizarrement, et c’est ce qui fait que le couper en deux est bien plus dure que prévu, le même trou semble rempli d’un feu intense, brûlant. Ni plus ni moins que de l’énergie spirituelle circulant dans le trou de hollow, maintenant comme il se doit ce qui, on le perçoit clairement, est une deuxième corps… en effet, le hollow n’a guère besoin de ses jambes pour se déplacer, étant capable de voler sous forme libéré.. Les flammes, de couleur bleu avec des teintes orangés, semblent lécher les frontières de son corps avec une vivacité et une chaleur proportionnelle à la pression spirituelle de Ricardo.
Pour ceux que ses yeux effrayent, ils seront soulagés de constater que les « lunettes » de l’arrancar ne sont plus, laissant place à une visière recouvrant l’ensemble du visage de son propriétaire, alors que ses cheveux, comme allongés, se lissent et se dressent d’eux-mêmes sous la puissance déployé, formant une couronne naturelle sur sa tête.

Il est également splendide de voir, derrière lui, s’étalant dans le ciel tel des ailes, de grands cristaux bleu pâle embellis de dorures artistiques, chacune de la taille d’une épée, reliés entre elles par l’énergie spirituelle de Ricardo. Ses cristaux ont la résistances de l’acier et servent d’armes pour l’Espada. Ne vous fiez donc pas à leurs apparences artistiques, car elles sont incroyablement aiguisées, et seul leur détenteur sait comment les manier sans risque : un endroit, sur la lame, où le cristal est un peu plus épais et non aiguisé, permettant une prise possible pour le combat.

Beau, menaçant. Magnifique, létal. tels sont les quatres maîtres-mots.



Description de votre pouvoir :


Parmi les Espadas, Ricardo est le seul qui ne représente et ne gouverne pas une facette de la mort. En réalité, il gouverne le cycle de l'existence, la fin et le renouveau. D'une certaine façon, il représente l'éventuel "suite" qu'il y a après la fin de la vie.
Après tout, lui-même n'est-il pas déjà mort?

Apporte le renouveau, « Fenix »

Bien que, sous sa forme non libérée, Ricardo n’ai rien d’extraordinaire hormis ses formidables capacités naturelles, il devient d’un tout autre niveau une fois que son sabre est libéré, où il devient apte à déployer l’immensité de sa puissance… et dévoiler son véritable pouvoir.

Ce pouvoir, qui est symboliser par la création de flammes bleus, est une chose bien imprévisible pour un arrancar : la guérison.

En effet, en générant des flammes bleus liés à son animal emblématique, l’arrancar possède la capacité de soigner ce que les flammes bleus lèchent. En effet, le pouvoir originel de ses flammes n’est guère la destruction, un talent largement remplie par ses autres capacités, mais celles de guérir les maux et blessures d’autrui. C’est là son don secret, et bien qu’il soit difficile de le croire, il peut en effet s’occuper des corps autant spirituels que physiques.
Ce pouvoir semble conférer aux endroits lécher par les flammes une « résurrection » des cellules et des organes anéantis. De fait, si il est bien peu utile en combat direct (hormis la faculté de se régénérer plus rapidement que lui permettent ses aptitudes de base), cela prends toute sa valeur quand l’Espada sert de soutien… entre autre. Car il peut également, à travers ses flammes, permettre à ses cibles de restaurer leurs énergie (hormis s’il le fait sur lui-même, ne se soignant alors que les blessures).



Bien que, sous forme de libération, il ne puisse maîtriser les cristaux constituant ses ailes (ceux-ci ayant donc un effet purement visuels quand déployés totalement), il peut tout de même s'en servir en tant que sabre avec son efficacité coutumière, ceux-ci ayant la dureté suffisante pour faire face aux lames adverses. Et un remarquable tranchant.





Histoire :

Italie, vers la fin du XVIème siècle…

Ils étaient tous là. Tous pour voir le dernier-né de la famille. Tous là pour voir celui qui devrait, sans aucun doute, reprendre les rênes de leur famille. Cette naissance eut lieu à Florence, dans la famille de l’Ombre, doté de ce qu’ils nommaient la Sangre Nobile : les Fenice. Une vieille famille dont on racontait que l’ancêtre, Antonio Fenice, avait passé un pacte avec le diable pour obtenir la maîtrise des sept flammes infernales. Une grande et longue histoire qui ne sera point raconter ici. Car ce don fut perdu il y a longtemps, selon les légendes. Seul est resté le prestige de la famille d’être né par et pour les flammes, bien que la signification de cela n’apparut que bien plus tard…
Depuis sa fondation, cette famille restait dans l’ombre de l’histoire, manipulant celle-ci comme elle désirait le faire afin de parvenir à leurs objectifs. Une histoire courait dans la famille, d’ailleurs, comme quoi l’un des leurs auraient participer à l’offensive anglaise contre l’Invincible Armada, afin d’aider Francis Drake à user du feu pour défaire les vaisseaux ennemis. Une des multiples histoires d’intervention historiques qui tiendraient lieu de contes pour enfant pour égailler les soirées du nouveau-né, Ricardo Fenice.

Celui-ci était né avec un don incroyable : pouvoir voir les esprits. Bien peu de personne savait ce que cela signifiait, hormis le père, bien qu’il n’en dit rien. La seul indication que son fils reçut de lui, c’est qu’il lui dirait quand il aurait le temps de s’y intéresser… Mais le jeune homme n’eut jamais le temps, ni même l’occasion d’avoir une véritable enfance. Quand il ne dormait pas, on lui apprenait la bienséance, le commerce, la politique et l’escrime. Mais il était Fenice. Et en tant que tel, il avait un destin.
A cause de cela il vécu seul, élevé et formé par sa propre famille, dans une belle cage dorée de cinq hectares où il ne pouvait que contempler le monde de dehors. Et ce fut durant une de ses contemplations qu’il aperçut de nombreuses choses. Des êtres étranges, inhumains, d’apparences et de tailles différentes, semblaient se balader dans la ville et dans le ciel. Fait curieux, à chaque fois que ils croisaient leur regard, provoquant un approche de ces bestioles, ils semblaient rencontrer un mur dans les limites de sa « prison ». Un mur de flammes invisible jusqu'au contact. Un fait qui l’encouragea à demander à sa famille une explication. Il avait sept ans à l’époque.

Le soir même se tint un conseil de famille.
Ce fut durant ce conseil que son père consentit à lui transmettre un très très vieux livre, écrite de la main de leur ancêtre Antonio Fenice lui-même, en lui indiquant que il trouverait toutes ses réponses, sans exceptions, dans cet ouvrage qu’apparemment seul un être comme lui pouvait lire. En effet, une fois la première page ouverte, l’écriture était étrange. Comme si des flammes, accrochés aux pages, prenaient une forme définie afin de générer des lettres En lisant, il apprit que cet ouvrage fut écrit par un feu spirituel, donc que seul ceux capable de voir ce qu’il nommait « spectras » ou « hollow » pourrait le lire. Et apparemment, le mur enflammé était un dispositif de sécurité mis en place par leur ancêtre, dont le cœur puisait, comme source d’énergie, dans la pression spirituelle obtenu par les Fenice. Notamment celui qui en avait une certaine quantité, apte à voir ces choses, et donc capable de nourrir le champs de force, dont le cœur spirituel était un simple médaillon avec un rubis dessus… un bijoux de famille que son père lui offrit après qu’il ait apprit.
Le gamin pouvait passer ses heures à admirer les flammes orangés qui dansaient dans la pierre précieuse…

Bien qu’il ne comprit guère tout les tenants et aboutissant de la discussion, il saisit l’idée principale, selon lui : grandir en force pour protéger sa famille, et être capable de sortir. En effet, les sorties se soldaient généralement par un affrontement avec ses hollows. A lui d’être assez puissant pour sortir de sa cage doré.

Redoublant d’effort dans ses formations, il eut, à l’age de treize an, la possibilité de sortir en étant accompagné, une chose dont il ne se priva guère. Explorant sans vergogne la ville où il était né et où il vivait depuis, il finit par la connaître par cœur, se faufilant absolument partout, au grand désespoir de ses accompagnateurs… qui finirent par abandonner en voyant qu’il évitait bien mieux les hollow en étant seul qu’en étant accompagné. Et si la petite bouille mignonne de l’enfant en surprit plus d’un dans la cité, le peuple finit par s’y habituer, allant même à le saluer en le voyant passer. Surtout qu’il se montrait toujours poli et guère ennuyeux.
Bien sûr, cela lui valu plusieurs fois des remontrances de ses parents, qui entraient généralement par une oreille avant de s’apercevoir que l’autre était une fenêtre ouverte.

Ce fut à seize ans que le jeune homme fut « introduit » à la cour des nobles de Florence… ainsi qu’a celle qui, selon ses parents, devaient devenir sa fiancée. Une jeune fille d’un an sa cadette, qui venait de la famille Leone. Magnifique, splendide. A vrai dire, bien qu’elle ne fut « que » jolie, elle avait un je-ne-sais quoi de… royale. Idalmaria Leone était, il l’apprit un peu après, l’héritière de la famille italienne de l’ombre également, dont l’orgueil sans borne les rendaient égocentriques à souhait. Une rencontre qui provoqua des étincelles, puisque Ricaro n’était guère le style de personne à courber l’échine devant sa promise…
Mais quand des parents, nobles et puissants, décident quelque chose, dure de leur faire changer d’avis… ils durent dont vivre trois ans ensembles. Ils commencèrent à discuter à la fin de la première année. Durant la seconde année, ils apprirent à se connaître. Ils fallut la troisième année pour qu’ils parviennent à ressentir de l’amour l’un envers l’autre.
Trois années où ils se développèrent finalement ensemble, et eurent affaire à leur début en tant que chef de maison.

Trois année suite à la fin de laquelle le destin frappa, implacable.

Il mourut.



La fin n’est qu’un début …



Après le choc primaire, Ricardo rouvrit les yeux. Il pouvait ainsi contempler sa fiancée, pleurant son corps inerte dans une chambre où était disposé encens et bougies odorantes. Il ne parvenait pas à comprendre. Il parvenait, en revanche, à voir la chaîne qui partait de son torse et le reliait à elle. Ainsi que de se sentir… léger. Étonnement léger. Et quand Idalmaria, sortit de la salle, le jeune homme ne bougea pas, contemplant son cadavre, et tentant de comprendre.
Et quand il comprit, il en fut terrifié. Un esprit. Il était devenu un…
Dans un malheureux réflexe, peut-être pour ne pas avoir à affronter sa famille, il tenta de trouver, dans la maison, un lieu ou réfléchir. Le soucis, ce dont il s’aperçut bien vite, était que Idalmaria bougeait. Et s’éloignait énormément. Quand à lui, malgré sa chaîne reliée à elle, il ne suivait point, subissant ainsi d’atroces souffrances au niveau du ventre… cela dura une journée, avant que il se mit à agir et à trouver ce qui l’avait tué, ainsi que pourquoi. En tant qu’esprit, il put écouter les différentes discussions de la maisonnée, et entreprit même d’espionner chaque membre. Contre toute attente, ce fut celle en qui il avait confiance, envers qui il avait dû lier sa vie, qu’il trouva la réponse en la personne d’un amant.

Bien que, se réfugiant dans une « cachette », il relativisa en se disant que cela n’avait aucune importance et qu’elle en était heureuse, ce ne fut guère réel. Et plus le temps passait, plus il ressentait un intense désir d’anéantir ce pour quoi il était mort… après tout, pourquoi lui ?
Pourquoi était-il mort ? il en avait la réponse
Pour le plaisir de deux personnes.
Son ressentiment grandit, alors qu’il ne remarquait même pas le trou qui commençait à se former dans son ventre. Il ne remarqua pas, non plus, quand le trou se compléta. Il ne se vit pas se changer en monstre. Il se sentit juste affamé. Vide. Un vide abyssal, une faim sans limite, qu’il tenta d’assouvir en dévorant les responsables…
D’abord, ce fut Idalmaria. Puis son amant. Puis vint sa famille, qui se croyait en sécurité de l’intérieur. Il se glissait, frappait, puis dévorait jusqu’au dernier lambeaux de chair. Et il sentit son pouvoir grandir encore. Le consumer, si il ne faisait rien…

Sortant de sa demeure, il se mit à chasser les seuls êtres qu’il pensait digne de ses crocs : les Leone, la famille de sa fiancée, l’entourage de l’amant de celle-ci, et enfin… les hollow. Ne réalisant pas ce qu’il était devenu, il abattit tout ceux qu’ils croisèrent. Dévorer, déchiqueter, fut, il le réalisa bien vite, d’un plaisir jouissif. Il tenta donc de trouver plus de hollow.
Plus de hollow…
Plus… toujours plus…

Ce ne fut que quand il se transforma en Gillian qu’il comprit ce qu’il était devenu. Ce qu’il devenait. Et, loin de se décourager, il combattit mentalement pour garder le contrôle. Puisqu’il avait dévoré ainsi tout son entourage, alors il devait continuer à vivre. A vivre pour lui permettre de vivre à travers lui. L’abandon n’était pas une option. Alors il se battit pour se maîtriser, et ne pas laisser sa volonté être submergée. Il surpassa ceux qu’il avait dévoré . Et ainsi ne perdit pas son individualité, devenant Menos Grande dans toute sa splendeur.
Il put poursuivre son évolution, dévorant ses semblables de toute façon vide d’intelligence et d’âme, afin de changer son nom, son identité à sa race en Adjuchas.

Un grand Phénix de plusieurs mètres de haut, voila l’adjuchas qu’il était. Oui, enfin, son pouvoir ne devenait plus un fardeau, mais une force, une grande et belle force. Enfin, phénix… un oiseau de la forme du phénix, si ce n’est qu’il n’employait son flamboyant pouvoir pour s’auréoler de flamme. Et ses ailes… la magnificence même, chacune des plumes semblant être fait de cristaux d’une incomparable pureté. Beau. Magnifique. Sublime. Et effroyablement puissant déjà.
Car, que ce soit de ses serres, de son bec, de ses ailes de cristal ou de ses puissantes flammes ardentes, Ricardo ne se laissa pas faire. La régression, ce n’était pas pour lui. Perdre son individualité ? plutôt disparaître. En revanche, le rang de Vastro Lorde lui tendait les bras. Il n’avait qu’à le saisir.
On en parla un temps, au Hueco Mundo, du phénix propageant la mort et le renouveau. Puisque, durant sa vie, il n’avait rien pu faire, alors devenir un Seigneur des Morts lui convenait tout à fait.

Mais ne pensez pas que le grand et imposant oiseau de feu était cruel, non. Au contraire, si abattre ses comparses n’étaient point un problème, il épargnait volontiers ceux dont le regard lui plaisait. Sa force ne cessa de croître, et bien qu’il ne se fit guère d’amis durant ce temps, ou de camarade, les adjuchas survivant ne purent que se courber devant sa splendeur.

Puis il apparut devant lui, tel une comète, pour lui offrir une nouvelle vie. Aizen, le shinigami, lui offrit la possibilité de se joindre à lui. En échange de ses services, il lui offrirait deux choses : la force que l’adjuchas recherchait, et la fin de sa solitude. Il plaçait apparemment de grands espoirs dans le puissant phénix…
Aussi, la chute de la déception fut des plus rudes. Bien que ses capacités physiques furent des plus appréciables, il semblait avoir perdu ses pouvoirs d’origine. A cause de cela il ne put qu’acquérir le rang de numéros, et rester dans à l’ombre à tenter de comprendre…

Il y parvint en réalisant que ses pouvoirs de recréation temporelle et spatial furent scellés en même temps que sa force d’adjuchas dans son zanpakuto. Malheureusement, il ne le comprit que trop tard, et quand Aizen fut défait, il survécu, reprenant son errance dans le Hueco Mundo, puisque Las Noches avait été dévasté.

Beaucoup plus tard, il apprit que les espadas avaient été reformé, sous l’égide de l’ancien Sexta Grimmjow Jaggerjack. D’une certaine façon frustré de ne pas avoir pu être là dans la guerre précédente, il se présenta et prit la place qui lui revenait selon sa puissance, le rang d’Espada, dont il gravit le chiffre sur son front. Mais puisque Fenice était devenu le nom de son Zanpakuto, alors il se présenta sous un autre nom : Ricardo Strauss.

Bonsoir et bienvenue sur BBS.

Tout d'abord, je préfère te préciser tout de suite que quoi que tu fasses ton pouvoir ne te permettra pas de développer une immunité au feu : ce serait beaucoup trop craqué. Si tu affrontes un autre membre qui utilise lui aussi un pouvoir de flammes, tu flambes... Libre à toi de créer une technique qui te permettra de t'en protéger lors de la rédaction de ta Fiche Technique, mais y être parfaitement insensible n'est pas envisageable.

Ensuite, ton histoire me laisse pour le moins perplexe. S'il est bel et bien possible pour des humains d'avoir des pouvoirs, il ne s'agit en aucun cas de don héréditaire et ceux-ci ne se développent que sous certaines conditions (notamment que les parents ou du moins la mère aient été en contact avec un Hollow pendant la grossesse). De plus, les facultés ainsi obtenues sont toutes différentes, dépendant à la fois de la personnalité de leur utilisateur et de l'objet qu'ils utilisent comme catalyseurs. Il te faudra donc revoir toute cette partie de ton histoire.

Du reste, le coup de manger Yammi, c'est non ; comme précisé dans le règlement, nous limitons au maximum les interactions avec les personnages du manga, alors en manger un même si son sort était déjà scellé, ça va pas le faire. J'aimerais aussi que tu détailles un peu plus ta transformation en Arrancar, parce que bon, "il s'est dit qu'il allait faire pareil et voilà" c'est un peu succinct quand même pour le coup.

Pour finir, je suis donc au regret de te dire que tu ne pourras pas être validé au niveau 4 et te demanderai donc de bien vouloir viser un grade moins élevé. Libre à toi de te rabattre sur la deuxième moitié de l'Espada (Octava/Novena) tout en gardant à l'esprit que tu ne pourras pas être non plus un Arrancar de base Vasto Lorde.

Merci de ton attention et bon courage pour apporter ces quelques modifications.

Yo & bienvenue Ric' =)

Je te demanderai qu'une chose : Changer ton pouvoir ou plutôt tes pouvoirs. Car en plus de les cumuler, ils sont trop puissants. A la rigueur, tu peux simplement disposer de tes cristaux, mais pour le reste, "no way" comme on dit. ^^

Ah ! Aussi :


Ricardo Strauss a écrit:
Il est également, bien que ce ne soit pas une capacité en tant que tel, doté d’une splendeur indéniable et d’une aura incitant à l’attention. De fait, il pourrait ordonner à n’importe qui de se plier à ses ordres que cela ne serait guère ridicule, même si cette dernière n’obéit point. Tout simplement car il semble né pour diriger…
Mieux vaut que tu oublies. ^^

Une fois ces modif' effectuées, n'hésite pas à upper ta fiche.

Bon courage ! ^^

• Tu n'as pas l'air d'avoir bien compris ce qu'a dit Tôjô, donc je vais reformuler. Concernant les cristaux, ce que tu décris est un pouvoir en soi. Tu ne te rends peut être pas compte du panel de possibilités que ça offre. Donc si tu les veux, ce sera ton seul pouvoir, ou bien les garder mais enlever tout le côté de manipulation. Et je préfère préciser que ce n'est pas négociable °°
  
  
• Juste une petite précision sur le passage que tu as retiré, mais si on dit que ça passe pas, c'est même en petit effet RP de sensation occasionnée. Je te conseille donc de ne pas l'utiliser °°
  
  
• Sous ta forme non libérée, tu ne peux pas du tout utiliser ton pouvoir, donc même pas les larmes.
  
  
• Concernant le pouvoir à proprement parler... Et bien en fait je te demanderai de choisir l'un ou l'autre. La maîtrise des flammes, c'est un pouvoir en lui même, tout comme l'est le côté soin. Donc avoir les deux en même temps, ça coince un peu. Même si tu dis que le côté offensif est totalement secondaire (d'ailleurs, tu dis ça dans le post mais dans la description c'est le contraire), si je te valide en l'état rien ne t'empêche d'avoir un technique offensive de niveau 5, donc loin d'être négligeable.
  Puis sur le côté évolution, il ne changera pas en lui-même, seules les techniques expriment sa puissance. Donc ce n'est pas en disant qu'il est moyen là pour devenir meilleur après que ça passera mieux °°