Avatar : Takezo Shinmen de Vagabond
Parrain : Aucun
Comment avez-vous découvert le forum ? Une méga pas belle ma menacé de m'émasculé si je ne venais pas sur ce forum =(.

Âge : 31 ans.
Race : Shinigami.
Votre précédent rôle : Pochtron alcoolique.

Description de votre personnage :
Zero n’est pas le stéréotype du grand samouraï qui à vécu pour sa lame, non loin de là, même si son corps marqué par de multitude cicatrice pourrait vous faire croire le contraire, mais il n’en est rien, d’ailleurs puisque l’on en parle la cicatrice situé sur son front et bien la plus remarquable.

Nôtre ami est de taille moyen, atteignant difficilement le mètre soixante dix. De constitution peu enviable, sa corpulence est l’exact opposé des guerriers géants. Inutile de comptait sur lui pour des tâches demandant des efforts physique, c’est pas qu’il n’en est pas capable, c’est juste que le numéro qu’il vous jouera à ce moment est digne d’un enfant de 5 ans. Donc il cherchera diverse excuse pour se défiler. Bien qu’il n’ait pas le physique d’un soldat, son corps est tout de même bien sculpté et la forme de ses muscles est magnifiquement dessinée. Malheureusement tout cela est gâché par sa grosse bedaine entretenu par des litres et des litres d’alcool.

De longs cheveux en bataille de couleurs noirs d’ébène tenu en queue de cheval accentuent son regard de rapace. Attardons nous sur son visage dont la barbe d’une semaine lui donne une apparence négligé. Au premier abord sa face ressemble à celui d’un homme affranchi de toute responsabilité et qui ne s’en fait pas dans la vie, mais fouillant plus en profondeur, nous y voyons une incompréhensible solitude. Constamment entrain de rire autour d’un verre de saké, il nous donne rapidement l’impression de n’être qu’un vulgaire pochtron des bas quartiers que l’on aurait envie d’éviter, mais en même temps la vision de cet homme nous renvoi un aspect de plénitude peu courant.

Zero n’en vient aux mains que dans de très rare occasion, il préfère fuir les dangers et esquiver les conflits. L’art de la fuite, il en est devenu un véritable maître. Les vêtements qu’il porte son comparable à de vieux chiffon ample. Par ailleurs il ne possède pas le moindre objet de valeur ni même la plus petite trace d’argent, passant son temps à mendier un verre d’alcool aux bars du coin. Bien sûr comme toute personne il y’a quelque chose à quoi il tient plus que tout au monde. Cette chose n’est autre que sa gourde… En gros son récipient fait en peau d’animal qui contient du saké. Sinon malgré qu’il pue comme un fauve, il n’est aucunement laid, voir même agréablement à regarder une fois passé l’aspect clochard du personnage.



Description de votre pouvoir :

Forme scellée : Katana simple dont la lame de 60 centimètre ne possède pas de partie tranchante, donc incapable de couper quoi qu’il arrive.

Shikai : Nommé « Bagabondo ». La lame ne change aucunement de forme, mais une aura luisante blanchâtre recouvre la lame. Le pouvoir qui apparait et la capacité de couper toute chose en ce monde, d’un simple contact de sa lame avec une quelconque matière celle-ci se retrouve trancher. Attention l’utilisateur à besoin d’être au corps à corps pour user du pouvoir de son épée.

Bankai : « Bagabondo no Okami » La lame disparait totalement, pas dans le sens où elle devient invisible, mais plutôt qu’elle n’existe plus. Seul la garde, la poigné et le pommeau subsiste encore. Le Bankai de Zero permet de se libéré des restrictions physique de la lame, devenant capable d'atteindre les ennemis et de les trancher à distance.

Histoire :
Hein ? Mon histoire ? Pourquoi vous voulez connaître un truc aussi ennuyant ? Il n’y à rien à dire la dedans, c’est banale comme ce n’est pas permit. Vous voulez quand même savoir ? Ok, ok, mais il me faudrait comme qui dirait un petit stimulus, quelque chose qui me donnerais le courage pour vous contez mes exploits. Je ne dirais pas non à une bonne bouteille de saké. Oh ! Vous en aviez déjà sur vous, je vois que vous étiez bien informé à mon sujet et 220 ans d’âge ! Avec de tels arguments je ne peux être que favorable à vôtre demande. Bon commençons rapidement avec ça que je puisse savourer mon sang.


Nôtre histoire débute et je vous l’accorde cela n’a rien d’original avec un sale gamin impétueux. Aussi loin qu’il se souvienne il vit dans ces ordures où plutôt ces bidonvilles, quoi que y’a pas vraiment de différence entre les deux mots si on regarde bien, m’enfin continuons. Le pauvre garçon ne savait pas qui il était et personne n’est jamais venu lui dire, il ne savait pas qu’il incarnait l’âme d’un enfant mort envoyé à la soul society. Très vite il comprit qu’il n’était qu’un être indésirable et personne ne lui tendrait la main. Apprenant à subvenir à ses besoins par lui-même, dans cet endroit uniquement le fort survit, être fort voulait dire être capable de protéger ce dont nous tenons plus que tout, mais être très fort nous procurait l’avantage de prendre aux plus faibles. Bien sûr il n’était pas le seul enfant qui s’est retrouvé dans cette situation précaire, beaucoup d’autres ont fait les frais de cette misérable existence. Contrairement aux nombreux enfants qui se rassemblaient pour pouvoir s’entraider dans ce monde, lui n’aimait guère la compagnie et préférait s’esseuler. Pourquoi s’associerait-il à plus faible que lui ?


Très vite un sentiment de faim le poussa à fouillé les poubelles à la recherche d’un semblant de nourriture, des vers de terre et autre cochonnerie qui ferait tourner de l’œil à bon nombre de personne. Mais pour le garçon le goût n’importait peu, à vrai dire le concept même du mot « saveur » lui était totalement inconnu, à partir du moment où cela était comestible, le reste n’importait plus. Enfin jusqu’à ce jour béni où il osa s’éloigner de ses sentiers battu, une odeur qui n’était celle des multiples détritus qu’il baignait depuis maintenant vingt-et-un ans, bien que sa taille n’avait guère changé, sa curiosité elle avait démesurément grandit. Le parfum délectable qui lui émoustillait les narines l’emmenait jusqu’à les beaux quartiers du rukongai, loin de la violence et de la puanteur des bas quartiers. Quand soudainement une vision singulière le foudroya sur place. En face de lui se tenait un gigantesque mur d’une blancheur immaculé, tournant la tête à droite, puis à gauche. Tout ce qu’il pouvait voir n’est qu’un vaste mur, tel l’océan il semblait être infini.

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