Avatar : Cyber Frey de Fisheye Placebo
Parrain : Daestra Chibiko

Âge : D'apparence physique, il aurait vingt-deux ans. Son âme est âgée de vingt-huit années.
Race : Shinigami
Siège demandé : Vice-Capitaine de la treizième division.

Description de votre personnage : L’expression de satisfaction figée sur son visage, pour les rares personnes qui l’ont vu, en dit long sur le caractère atypique prédominant du protagoniste. Une soif insatiable d’assouvissement mêlée à un entêtement persévérant fait de lui un jeune homme particulièrement perfectionniste et qui s’avère très difficile à impressionner. Peu de choses rejoignent ses centres d’intérêts pourtant, lorsque c’est le cas, il démontre une capacité d’adéquation plus que remarquable et convoitable pour quiconque s’avisant être en mesure de le convaincre à prêter oreille à sa cause. La loyauté ainsi que le dévouement caractérisent adéquatement sa manière d’être en groupe et en communauté, sans omettre de mentionner sa sincérité ainsi que son sens de la franchise. Grandes en nombre sont ses maladresses et ses faiblesses, elles n’ont d’égales toutefois que ses vertus et ambitions diverses.

Dans un monde idéal, la pauvreté et l’injustice n’existent pas. Au cœur d’une nation exemplaire, les châtiments et les péjorations n’ont pas lieu d’être. Parmi un peuple irréprochable, les corrupteurs et machinateurs divers n’ont pas leur place. L’idéalisme baigne, noie, l’âme du guerrier. Son existence en dépend, elle est à sa merci et s’en repose entièrement.

Son non-verbal transporte extérieurement ses émotions et ressentis intérieurs avec une aisance qui lui est propre, révélant un jeune homme parfois incompris et jugé avec méfiance. L’impulsivité fait de lui un individu au tempérament variable et relativement persécuteur selon la situation imposée. La complexité de son caractère en laisse plus d’un perplexe en ce qui le concerne, certains le jugeant souvent trop hâtivement et, par ce fait même, maladroitement.

Sa chevelure, coiffée en bataille, se caractérise par son électrisante couleur bleuté, tirant sur le cyan. Elle chevauche allègrement un visage masqué, sans expressions, rendant son possesseur anonyme et aux proies à des incompréhensions marquantes de la part des autres individus. La blanchâtre couleur immaculée de sa façade illumine sa tenue vestimentaire teintée majoritairement d’une ébène couleur. Son élégant costard s’ajuste adéquatement à son corps à peau pâle dont la morphologie se rapporte à la méso-ectomorphie. Une cravate noire mince et desserrée agrémente son accoutrement, ajoutant une touche décontractée à sa stature conformiste originelle.

Un fourreau d’un noir poli et luisant repose naturellement au niveau de sa taille, contenant une lame blanche recelant un pouvoir unique en son genre. Angurva, « Le Ruisseau de l’Angoisse ». Ainsi se prénomme l’épée du garçon appartenant à la classe des Shinigamis. Il s’agit d’un Nodachi, un long sabre d’origine japonaise se manipulant à deux mains.


Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant): Son sabre est en mesure de se liquéfier pour ainsi changer de forme à la guise de son possesseur. Son pouvoir se conforme à la liquéfaction d’Angurva et à l’utilisation des eaux qui la composent. Lors de son changement de forme, la lame passe du blanc au bleu électrique, puis les liquides aqueux lévitent dans l’atmosphère prenant la forme désirée par Heiichirō.

Histoire :


Heiichirō, The Masked Man…
Six années avant notre ère. [Fin 2011]

Un sourire s’affiche sur les lèvres fines du jeune homme tandis qu’il pénètre l’embrasure de la porte de sa résidence. Les heures supplémentaires à travailler au sein de l’hôpital de la Soul Society en tant que brancardier l’ont épuisé et seule l’idée de rejoindre son lit traverse son esprit fatigué. Un soupir de soulagement s’extirpe d’entre ses lèvres tandis qu’il accroche son veston noir et dépose son sac à dos par terre. Le feu de foyer allumé dans le salon sans que personne ne soit présent pour le surveiller l’intrigue, et alors qu’il jette un coup d’œil vers la cuisine, il appelle sa femme une, puis deux fois. Sans réponse. Vingt-trois heures dix-neuf et elle n’est toujours pas rentrée. Son comportement s’avérait être inhabituel, cette dernière terminant son quart de travail aux alentours de vingt et une heures normalement. Les lumières ainsi que la télévision demeurées allumées inquiétaient le garçon, qui déduisit qu’elle n’avait pas tenté de le rejoindre au courant de la soirée pour le mettre au courant de ses plans.

Négatif, la belle n’avait ni envoyé de texto, ni laissé de message. Lorsqu’il se pencha pour éteindre le feu, il aperçut un morceau de papier sur lequel un prénom avait été gribouillé. Son cœur se resserra doucement dans sa poitrine lorsqu’il remarqua l’inexistence de son manteau noir ainsi que de son écharpe violette favorite. Heiichirō pivota sur lui-même, sans prendre la peine de récupérer sa veste. Elle lui avait pourtant promis qu’elle n’y retournerait pas, que jamais cette dernière ne fréquenterait à nouveau cet endroit. Colère et frustration baignaient à présent son cœur précédemment effrayé et inquiet.

Quelques rues plus loin, le garçon à la chevelure électrisante poussa avec vigueur la porte d’une brasserie. Ce n’est que près du comptoir que son regard sombre se figea sur une jeune femme d’une vingtaine d’années, entrain de discuter avec un homme plus âgé. Sa beauté n’avait d’égale que son élégance, sa longue chevelure dorée cascadait le long de son corps svelte jusqu’à la hauteur de ses hanches prononcées. Ses yeux gris pâle rejoignirent les siens. Le poing du Hashimoto se resserra tandis que sa gorge se noua. D’un pas ferme il s’approcha des deux individus, déterminé.


« Kusanagi, rentrons chez-nous, et tout de suite. »
« Tu vois pas qu’elle n’en a rien à faire de c’que tu peux lui dire ? Laisse la tranquille, on s’amusait bien avant qu’t’arrives ! »


L’inconnu attira la femme à lui en la prenant par la hanche. Pendant une fraction de secondes, le temps sembla s’accélérer drastiquement. Le poing du brancardier se braqua contre la joue du gaillard qui riposta instinctivement en le poussant au niveau du torse. Les cris de la femme alertèrent le barman qui les obligea de quitter au risque d’appeler les autorités. Une fois à l’extérieur, Heiichirō avait perdu tout contrôle de lui-même, trahis et animé d’une animosité insatiable. Les bousculades des hommes sur le carrefour amenèrent les autorités à se présenter.

Il vint pour écarter sa femme du revers, mais il était déjà trop tard, l’impact la frappa de plein fouet. Une innocente fut touchée par accident, son corps gisant sur le sol de pierre. C’est ainsi qu’Hashimoto Heiichirō perdit l’amour de sa vie.



Quelques semaines plus tard…

Son regard éreinté et vide observait l’aura de son âme à travers la glace, silencieusement. Ses pensées n’existaient que pour elle, celle qui n’ait jamais été moins que sa seule source de bonheur, sa seule raison de vivre. Cette erreur irréparable qu’il avait commise auparavant, jamais il ne pourrait la corriger, l’occasion ne se présenterait pas où il pourrait s’excuser, lui faire part de ses regrets. Maintenant c’était trop tard, chacun devait continuer de vivre dans un monde parallèle et séparé. Cet homme, dont il percevait le reflet, était égoïste et sans scrupule. Jamais n’avait-il pensé à autre chose qu’à lui-même lors de cette nuit fatidique, la nuit de sa mort ? La jalousie avait noyé son cœur et troublé son esprit pourtant si éveillé et réaliste naturellement. Son poing alla se heurter au réflecteur pour le fissurer. Plus jamais il ne pourrait voir son image, celle du responsable de cet incident majeur.

Ses mains tremblantes et sanguinolentes retirèrent le couvercle d’une vulgaire boite de carton dans laquelle reposait un objet enveloppé de papier de soie. Délicatement, il déplia l’emballage et s’empara de son contenu, le maintenant de ses deux mains rouges tout en l’observant fixement de ses pupilles noires. Instinctivement, il porta à son visage le masque blanc dans lequel il avait gravé, à même le bois qui le composait, le nom de sa bien aimé. Par la même occasion, il jura à Kusanagi de protéger les innocents jusqu'à son dernier souffle, cette dernière ayant été arrachée à lui de cette façon.




Angurva, Stream of Anguish
Cinq ans et demi avant notre ère.[Mi 2012]

Son affectation au monde des esprits avait généré en lui des émotions nouvelles dont il ne saisissait pas exactement l’ampleur, du moins pas entièrement. Ce dernier avait toutefois appris qu’une armée existait bel et bien en ce monde étrange et qu’elle agissait dans l’intention de protéger la race humaine. Une idée fusa dans l’esprit du jeune homme, certes irréaliste à prime abord considérant son manque d’expérience, mais générant toutefois un sentiment de détermination solide en lui. S’il ne pouvait plus vivre à ses côtés, le garçon ferait en sorte que son existence perdure tant et aussi longtemps que possible. L’Académie Shinô, originellement fondée par le grand Yamamoto, ouvrit ses portes au Hashimoto. C’était la première fois qu’Heiichirō rencontrait son zanpakuto.

Il s’agissait d’un vulgaire katana, dont la lame était teintée d’une grisâtre couleur, confectionné avec un alliage simple mais résistant. Sa poignée, quant à elle fabriquée à même le bois, s’avérait un brin ridicule. Sa longueur atteignait à peine les soixante centimètres, néanmoins le symbolisme qui le caractérisait le mettait hors d’atteinte des discriminations diverses. Heiichirō l’avait accepté immédiatement, chérissant ce splendide objet qui lui permettrait peut-être de parvenir à ses fins éventuellement.

Sa formation entamée depuis plusieurs mois déjà fit de lui un guerrier aguerri, sans pour autant qu’il ne soit réellement prêt à combattre l’ennemi. Cependant, l’armée des Sternritters s’était mise en marche et les haut-gradés n’eurent d’autres choix que d’envoyer leurs troupes au combat, avec tous les risques que cette façon de faire comportait. Chacun savait au plus profond de leur âme que ceux-ci n’assisteraient pas à la fin de cette bataille. Le ciel s’illuminait d’une teinte rougeâtre particulière, une douce brise transportait l’âcre odeur du sang et de la douleur. L’armée de la Soul Society se mit en marche pour repousser l’attaque ennemie.

Les hostilités amorcées, les cris de guerre retentissaient sur le champ de bataille, le sang couleur cramoisie ruisselait sur le terrain. Les soldats du Monde des Esprits se combattirent les forces ennemies jusqu’à leur dernier souffle, autour d’Heiichirō les défenseurs tombaient les uns après les autres. Ses pupilles noires sondaient l’ère de combat, une frayeur certaine se noyant dans ses iris gris. Les conquérants avançaient, enjambant les cadavres de ses alliés par centaines. Rien ne semblait fonctionner comme il le devrait. Fou de rage, le garçon attrapa son katana fermement et se lança dans la bataille, tranchant avec férocité et courage ses ennemis. Dans son angle mort, un Sternritter effectua un saut dans les airs et abattit son pommeau, lame vers l’arrière, sur la tête du combattant en se servant de la gravité. Blackout total…


Plusieurs heures passèrent…
« Réveille-toi ! Je sais que tu n’as pas péri dans ce combat… Je t’ordonne de te lever, immédiatement ! »

La voix criarde retentissait au niveau de ses oreilles, lui procurant un mal de tête atroce. Ses yeux peinèrent à s’ouvrir et il dû placer sa main devant ceux-ci pour éviter d’être aveuglé par la lueur de l’astre solaire. Un cillement constant et insupportable traversait son crâne douloureux et fragile. Pendant un certain moment il demeura allongé par terre, observant le ciel devenu nuageux et ne portant ses premières pensées à rien d’autre que Kusanagi. Cette voix qu’il avait précédemment entendu, c’était la sienne, aucun doute possible. La même intonation, exactement le même ton pressé et à la fois autoritaire. Comment était-ce possible ? L’affolement gagna le cœur du jeune homme, qui s’appuya sur ses coudes pour observer autour de lui. Néanmoins elle ne s’y trouvait pas. Déstabilisé et fatigué, il se laissa retomber par terre.

Sa voix fusa de nouveau dans sa tête, plus fortement que la première fois et si puissamment qu’il eut le réflexe d’appuyer sur ses oreilles pour l’estomper. La folie commençait à le gagner, entendre des choses qui n’existent pas est très inhabituel et mal vu. Cette fois-ci, elle chuchota son prénom au niveau de son oreille droite, si faiblement mais tellement distinct à la fois… Tournant la tête sur la droite, c’est à ce moment-là qu’il l’aperçu, devenue plus longue et arborant de différentes couleurs. Malgré son changement d’apparence, un sentiment puissant et indescriptible le convainquit qu’il s’agissait bel et bien d’elle. Sa main tremblotante la rejoignit, allant à sa rencontre, puis se resserra sur son manche solide. Totalement différente de ce qu’elle représentait ne serai-ce que quelques mois auparavant. Angurva, le ruisseau de l’angoisse, tel était le nom qu’elle lui avait murmuré à l’oreille…



Atsuhito Akirō
Quelques mois précédant notre ère… [Mi 2016]

Les mages de sangs prenaient tout ce qui avait le malheur de se trouver dans leur ligne de mire et leur avancée décuplait avec le temps. Les forces des Shinigamis s’épuisaient de mois en mois tandis que ceux des Maho Tsukaïs s’accroitraient dangereusement. Les regards de tous se posaient sur cette troupe d’hommes et de femmes dont la puissance parvenait à réduire en cendres mêmes les plus forts et résistants d’entre nous. Leur progression gagnait en importance depuis deux années entières déjà et tombaient à leur pieds les corps d’un nombre ahurissant de victimes de nationalités différentes. Humains, Shinigamis et Arrancars… Personne n’y échappait. C’est notamment l’une des raisons pour laquelle ces Ombres paraissaient si effroyables et impitoyables aux yeux de tous. L’ignorance du peuple face à leurs intentions est si importante que certains préférèrent l’exile plutôt que l’affrontement… Ce ne fut point le cas pour Heiichirō.

Karakura se trouvait également touchée par les attaques de ces individus mystérieux et la promesse qu’avait faite le jeune Shinigami à l’intention de sa bien-aimée se raffermissait lors de situations semblables. Détermination et entêtement prenaient le contrôle sur les sens moraux et réalismes qu’habitaient le garçon, bien que bien intentionné. Ce dernier combattit aux côtés des neuvièmes, dixièmes et onzièmes divisions pour freiner les membres des Ombres dans leur avancée continuelle vers un objectif encore aujourd’hui inconnu. Cette journée-là fut animée d’une victoire certaine pour le Monde des Esprits, toutefois Heiichirō ne s’en réjouissait point. Il avait perçu la puissance de ces hommes encapuchonnés, l’avait observé de ses propres iris, générant par le fait même un profond sentiment d’inconfort et d’insécurité.

Un jeune homme, dont la chevelure rougeoyante flamboyait derrière lui, attira l’attention du garçon. Il s’agissait de la première fois qu’il rencontrait en personne le Capitaine de la Treizième division, Atsuhito Akirō. Vaillant guerrier à la tête d’un escadron qui eut tôt fait d’interpeler Heiichirō de par son objectif primaire : La Surveillance de Karakura. L’illumination, littéralement, le traversa instantanément. S’enrôler pour combattre à ses côtés s’avérait être une priorité, un ordre relevant de la plus haute importance pour le jeune homme. Il était prêt à faire absolument tout ce qui se trouvait en son pouvoir pour accéder aux plus hautes sphères de ce district, au risque même d’aller en sens contraire de ses valeurs les plus considérables. Ce jour-là, le Shinigami entrepris de discuter avec l’homme à la tignasse de feu…


...
Le capitaine Atsuhito avait accepté l’adhésion du Hashimoto au sein de la treizième division du Gôtei. Le jeune homme ne savait pas exactement ce qui avait convaincu le protagoniste à la chevelure rouge de le prendre sous son aile, toutefois pour une fois depuis la disparition de Kusanagi il avait l’impression qu’on lui faisait confiance. Cette chance, il ne la laisserait pas passer sans rien faire. Cette place était à lui, elle lui appartenait désormais et pour éviter d’être rétrogradé à titre de simple apprenti Heiichirō ferait tout en son pouvoir pour l’impressionner.



Chrono
Août deux-mille quinze
Une goutte de sueur perlait sur le front du jeune homme tandis que son regard sombre se posait sur l’individu qui se tenait devant lui. Ses tissus pulmonaires s’imprégnaient d’oxygène, expulsant le dioxyde de carbone en une expiration longue et soutenue. Sa chevelure d’un bleu électrisant camouflait en partie son masque blanc, sous lequel ses sourcils se froncèrent. Sa main droite se resserra sur la poignée composée de bois de son katana sous forme naturelle. De son autre bras, inerte et le long de son corps par attraction gravitationnelle, s’échappait un fluide couleur cramoisie qui tombait sur la terre qui composait le sol. La blessure infligée l’empêchait de se servir de son membre supérieur gauche pour la durée de l’affrontement, l’os ayant été brisé par son opposant. La douleur lui arrachait de temps à autres une grimace quand ce dernier avait à le bouger, cependant jamais le Hashimoto n’abandonnerait.

Un sourire carnassier se dessinait sur les lèvres minces de son adversaire tandis qu’il effectuait un déplacement rapide dans sa direction. Instinctivement, Heiichirō leva sa lame pour amortir celle de son ennemi. Sa musculature était définitivement plus importance que la sienne, sans parler de sa taille. Le garçon avait toutes les raisons de perdre ce combat, mais la détermination qui le caractérisait l’en empêchait. Lâchant sa parade et esquivant sur le côté droit, il tenta de placer un coup de pommeau en effectuant un arc en pivotant sur lui-même. Ce fut anticipé par l’adversaire, qui le frappa de son poing énorme au niveau du visage pour l’envoyer au tapis, soulevant un amas de poussière autour de lui. L’individu à la chevelure violette rengaina son katana et croisa les bras sur son torse nu.

Crachant par terre le sang qu’il avait dans la bouche, le vaincu se releva maladroitement et en tremblotant, arme à la main.


« Chrono… Viens te battre, mauviette ! », Lâcha-il en toussant, un filet sanguinolent glissant à la commissure de ses lèvres. L’interpelé fit rouler ses pupilles vers le ciel, faisant comprendre à son adversaire que l’entrainement était terminé.

À son admission dans la treizième division, le Capitaine Atsuhito avait ordonné au Hashimoto d’apprendre à maitriser à un niveau supérieur le Zanjutsu, l’Art de manier un zanpakuto. Ce fut au puissant Chrono que fut attribuée la tâche d’enseigner ses connaissances à la nouvelle recrue, ce qui généra rapidement une certaine rivalité entre les deux protagonistes. La fermeté et l’absence d’empathie ou de sentiments du haut gradé pendant les combats permettaient au nouveau soldat de s’endurcir rapidement et de s’améliorer à une vitesse impressionnante. Aux yeux du capitaine, il s’agissait d’une étape nécessaire avant que l’adepte ne puisse participer aux missions plus importantes et dangereuses de son escadron. Cela lui procurait la chance de montrer sa valeur et de forger son caractère davantage. De savoir s'il méritait véritablement la chance que lui avait offerte Akitô. Après un nombre appréciable de blessures et d'évolution au niveau du maniement d'Angurva, Heiichiro devint un combattant considérable.

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