Avatar : Sinbad de MAGI
Parrain : Atsuhito Akiro
Comment avez-vous découvert le forum ? Cf : Parrain

Âge : 31 ans (en tant qu'âme - son apparence est à peu près à l'image de son âge).
Race : Shinigami.
Siège demandé : Aucun. (=> Treizième Division, donc j'imagine que ça sera le troisième siège, mais si vous vous sentez de me mettre 73 sièges why not !)

Description de votre personnage : Chrono est un homme doté d'une très bonne constitution. Physiquement, il n'impressionne pas par son physique, qui reste dans une certaine moyenne, mais il émane une aura de ce personnage mystérieux. Orné d'un tas de babioles innombrables, il se présente toujours de la même manière : bijoux ostentatoires, chevelure bleu mi-longue et habillé d'une cape traditionnelle. Appartenant à quelle tradition ? Aucune idée. Son style le démarque immédiatement. Il ne laisse pas indifférent, et forcément, témoigne d'une certaine arrogance au premier abord. En réalité, Chrono ne s'intéresse que peu à ses homologues et au shinigami-vs-arrancar-game. Tout ça ne l'ennuie pas fortement, et il a bien appris que l'on ne doit pas désobéir aux ordres; il n'emploie cependant ses vraies capacités que lorsqu'il le décide. Autrement, vous pouvez le voir comme cet individu avec un potentiel intéressant qu'il n'exploite jamais car sa nature l'en dévie.
Chrono n'en demeure pas moins un personnage attaché à sa condition de Shinigami. Parfois, il lui arrive de se rêver Arrancar, mais ça n'a de rêve que l'instant endormit, et dès son réveil, il se satisfait d'appartenir au Dieu de la Mort ; bien que ce nom ne lui plaise guère. Il se questionne sur ses contemporains, ce qui peut être aussi appeler glander. Pour rêvasser et continuer à remettre en cause ce qui l'entoure, Chrono fit la demande d'appartenir à la division de la surveillance du monde des humains. Une infinité de question semble trouver leurs réponses dans Karakura, et puis, ce n'est pas la division où la charge de travail est la plus importante. Conscient que ses absences, pas physique mais mental, pourraient causer quelques dégâts, Chrono n'en n'a finalement que faire.
Loyal, franc, il a cependant quelque peu perdu foi en les sociétés. Il continue d'y exister car il n'a pas assez confiance en la paix acquise par la mort pour s'ôter la vie. Chrono sait qu'à terme, son comportement et son manque de conviction par rapport à certains ordres pourront le pousser à devenir un ennemi de l'organe qu'il sert actuellement. C'est une fatalité dont il ne connaît l'échéance mais qui surviendra tôt ou tard. Non pas que la trahison soit envisageable - rappelons qu'il est loyal - non pas que son allégeance change un jour, non... c'est plus du ressort de l'intérieur. De l'âme. Il transpire son manque de confiance, à été à la limite de l'insubordination plus d'une fois, bien qu'il ai su limiter les dégâts, et est cynique ainsi qu'acerbe à chaque fois qu'il peut face à un supérieur qui ne lui inspire pas le respect. La notion de respect revêt un intérêt toute particulière pour notre jeune ami, puise qu'il peut mourir pour un homme qu'il respecte, même si celui-ci est un ennemi intime des intérêts de la Soul Society, et dans le même temps, il peut... avoir un problème de digestion l'empêchant
d'utiliser ses pleins pouvoirs alors qu'un allié shinigami est sur le point de se faire massacrer. Sa bouille d'ange ne doit pas vous berner. Il peut être votre allié le plus fidèle mais aussi votre ennemi le plus récalcitrant.
Surtout, et ce qui en fait un être versatile et si "dangereux", sa relative passivité avec les Maho Tsukaïs. Jamais il ne s'est érigé contre ces entités pourtant "démoniaques". En fait, derrière tout ça, une question : quel est votre but les gars ? Bien qu'ayant été opposé à eux, bien qu'ayant bataillé ferme face à l'ennemi, il n'a jamais pu cultiver la moindre haine envers eux... quelque chose d'effroyable, même pour lui personnellement. Las des joutes de pouvoir entre race, Chrono en arrive à croire qu'il faudrait supprimer le concept même de la "race"... et pour se faire, en voir une seule et unique.

Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant): En tant que Shikai, le Zanpakutô de Chrono n'est qu'une carte qui "lévite" et qui paraît inoffensive. En réalité, elle renferme un pouvoir important : elle peut provoquer diverses ondes. Que ce soit sismique, sonores ou de simples ondes de choc, la véritable forme du Zanpakuto
ne paie pas de mine mais vaut l'coup ! [=> En gros, le pouvoir serait de propager des ondes. Si vous y envoyez un truc grosbill, je choisirai la Terre, et si vous y voyez un nerf à apporter pour qu'il soit acceptable en tant que tel [le pouvoir des ondes], à voir.)
Histoire :
Que puis-je laisser ici ? Oppressé, réduit à un quasi état d'esclavage, je n'ai rien à laisser sur cette planète car on me l'empêche. Vous pouvez réduire mon statut plus bas que terre, vous pouvez cracher sur mon visage autant de fois que vous voudrez, vous ne pourrez éteindre la flamme qui anime mon coeur. Et, puise que l'on parle de flamme, imaginez celle par lesquelles nous périrons, vous et moi.

Face à son miroir, celui qui fut condamné à n'avoir pour nom qu'un matricule, répète dans sa tête ce qu'il pourrait dire, répète l'action qu'il s'apprête à commettre, et sans arrêt, il sent son coeur faillir. Il ne peut plus revenir en arrière. Il a promis à tout le monde qu'il le ferait. Il s'est persuadé lui même du bien fondé de son action. On lui avait supprimé tout ce qui peut faire le bonheur d'un homme, on lui avait fait vivre l'enfer, son corps avait subit mille et un châtiment, et il ne pouvait se résoudre à s'en aller sans coup d'éclat. Délivrer ses frères, plus jeune, pour leur offrir ce dont il avait rêvé un temps, sangloter souvent, abandonner finalement. Rien ne lui était promit pour son sacrifice. Il allait tuer des gens... était-ce un héros ? Il serait en tout cas symbole d'une majorité qui devrait se rebeller. Cessez de vous chamaillez pour la pomme et aller directement cueillir la votre au pommier.

Contre tout attente, il parvint à s'endormir cette nuit-là.

Le lendemain, il fut envoyer à la mine, avec les charges d'explosifs nécessaires pour creuser. Il s'entoura le corps de bâton de dynamite. Sentir le contact froid de ces bâtons qui vous réduiraient à l'état de cendre était le sentiment le plus glauque jamais enregistré. Chaque instant était singulier. Il se vida l'esprit un instant. Seul son souffle était encore assuré, et pendant quelques instants, il n'était qu'à la troisième personne, observant son enveloppe corporel. Sa détermination était désormais à son paroxysme. D'un pas assuré, il sortit de la mine, s'approcha de la baraque où ses geôliers jouaient au carte en attendant la fin de la journée, et poussa la porte. Les regards échangés suffirent à faire comprendre à chacun que personne ne ressortirait vivant d'ici. La mèche était déjà allumé lorsqu'il fut décoré d'une pluie de balle. Le mal est fait. Le temps ne s'arrêtera pas. Boom ?
Bam.

« Et si ça se trouve, je rejoindrai Dieu, quoique ma place est en enfer. Pour que je puisse voir à tout jamais ceux qui ont péris et qui ont détruit ma vie. Le Paradis aurait une odeur d'enfer si je ne pouvais apprécier leurs tourments; les miens ne seront que gentillesse par rapport à ce que j'ai vécu. »

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Qu'est ce que je fais ici ?
Je vous épargnerai toute la partie qui concerne mon accès à l'académie Shinigami. J'ai appris que seules les âmes pures étaient en mesure de devenir Shinigami, et pourtant, je ne me suis jamais sentis réellement pur. Je n'ai pas tellement le choix, et je dois grandir seul, après avoir passé tant de temps dans le Rukongai, où le respect n'est jamais acquis, et où vous n'êtes jamais tranquille. Pire que la jungle, un endroit terriblement morose et auquel je suis joyeux d'avoir échappé; après tant de péripéties. L'académie pour devenir Shinigami, ça n'est guère mieux, mais au moins il y a un cadre et on peut se détendre, se reposer. Toutes les conneries que l'on peut entendre sur des épées qui ont des âmes me fatiguent, apparemment ici la mythologie est une réalité.
Qu'est ce que je fais ici d'ailleurs ? J'étais quel genre d'humain ? Tant de question qu'un putain de sabre ne saura résoudre. Les instituteurs sont à fond dans le délire, et apparemment tout le monde y croit. Le Kidô, il n'y a que ça de vrai. Le Kidô, ça émane de toi, tu peux pas te planquer. Tu peux pas dire mon sabre refuse de me parler et fait une grève syndicale pour maltraitance. Le Kidô, ça c'est cool.
Et puis, comment on trouve son Zanpakuto ? C'est pas le sabre tout rouillé tout moche qu'ils m'ont filer qui a une âme, ça je vous l'assure. Mais bon, faut faire avec apparemment...
Des menaces pèsent sur notre société des âmes, un genre de truc élitiste. Alors, nos entraînements sont accélérés... Allez-y, envoyez nous au charbon, si quinze d'entre nous parviennent à tomber ne serait-ce qu'un seul d'entre eux, alors le trade aura été équitable. Je sais pas qui je suis, je sais pas d'où je viens, et j'arrive même pas à trouver en ce combat quelque chose qui puisse donner un intérêt, un but à ma vie.


Je les vois, monter les troupes, leur donner cette impression que chacun d'entre nous peut être un héros au combat et que les survivants seront récompensés. La récompense ? Continuer de vivre avec les images horribles de vos compagnons en train de se faire massacrer, un à un. Splendide, n'est-ce pas ? Vengez-vous donc, si ça vous permet d'apaiser votre conscience lorsque vous êtes réveillés. Oh, ça vous rattrapera bien assez vite, croyez moi.

Je ne me suis jamais sentis autant vivre que sur ce champ de bataille. Avec le recul, j'ai du dégoût, je me dis que c'était plus une boucherie que la scène d'un merveilleux spectacle, et pourtant...
Pourtant, force est de constater qu'essayer tant bien que mal de résister aux assauts incessant fut quelque chose d'incomparable. Surtout quand vous y avez survécus. Surtout quand vous y avez trouvé des réponses, et que vous vous êtes vus tel que vous êtes, égoïste, paresseux, etc.

Je n'ai pas voulu croire en la force de ces sabres, et bien, je vais devoir m'en excuser... et tirer des enseignements. Dans un premier temps, j'ai fuis les combats face à l'écrasante supériorité de l'ennemi. J'ai vu mon égoïsme et ma lâcheté dans le reflet de ma lame. J'ai sentis mon coeur se gonfler, puis être sur le point d'exploser. J'ai tourné la tête et j'ai vu ce gars, qui avait fait ses classes avec moi, s'écrouler; il était moins talentueux que moi... moins talentueux, mille fois plus vertueux. Il ne s'agit pas ici de se battre pour la Soul Society, idiot... il s'agit de se battre pour soi. Et il est manifeste que je ne mérite pas la mort. Ce serait trop facile d'être délivrer maintenant. Seulement, ce foutu sabre refuse de se transformer. Je l'agite dans tous les sens, j'lui envoie des ondes positives, et rien ne se fait.

Il n'y a pas de jeu égal ici. Résister à l'assaut de cet ennemi fut un calvaire sans nom. Chaque fois que sa lame s'abattait sur la mienne, je sentais mes jambes fléchir, et si les premières fois étaient supportables, j'avais bientôt les jambes en feu. Vous ne pouvez pas lâcher un instant, car ce serait synonyme de mort. Vous n'avez pas le droit de baisser les bras. C'est une dur épreuve, mais jamais une génération ne sera sortie aussi forte de l'académie, vous pouvez me croire !
Plutôt que de subir inlassablement, j'observe et établit un schéma de cet ennemi. Plus ou moins. Surtout, j'identifie une fenêtre d'ouverture et j'attends qu'elle se confirme. Dès lors que c'est le cas, je m'essaie à un coup d'estoc qui fait légèrement reculer mon adversaire. Fier de moi, je ne me rends pas compte de la faiblesse de mon coup et de ma garde ouverte qui me valent bientôt un retour de bâton en pleine figure. Mon oeil gauche pisse le sang, je n'arrive plus à distinguer avec celui-ci et je sens la douleur doucement se propager. Soudain, une intuition toute particulière s'empare de mon esprit. Mon corps subit les assauts incessant, mais je ne vais pas mourir. Ce n'est pas maintenant je vais mourir. Ni maintenant, ni ici. J'en suis certain, je pourrai offrir mon corps et défaire ma garde que je serai toujours vivant.

Et si il se transforme maintenant, ce serait cliché.

Pourquoi combattons-nous ? Être dominant, est-ce important ? Un dernier coup porté sur mon crâne me libère. Je sens mes membres se décontractés, mon corps se relâcher, et mon âme s'expulser de celui-ci. Comme si j'étais spectateur de ma propre chute. Plus aucune douleur, plus rien... C'est étonnant mais c'est un sentiment très agréable.

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« Celui-ci peut retourner au combat dès demain. »

Les yeux encore fermés, j'entends une voix grave s'exclamer, j'ouvre les yeux, et me rends compte que je suis pointé du doigt. Je les referme aussitôt. Trop tard. Je suis secoué par un infirmier, ou quelque chose du genre. J'ai envie de rester dans ce lit, j'ai mal partout, vraiment partout. Tournant la tête pour observer les lieux, je suis étonné en aperçevant mon sabre. Que fait-il ici ? J'ai été mis hors-combat, je pensais pas le revoir un jour. D'ailleurs, qu'est ce que je fais ici ? On m'a surement sauvé... ou alors j'ai tellement bien mimé le mort que j'ai été épargné. En tout cas, le médecin, si c'en est un, m'administre tout ce qui lui passe sous la main. Je veux même pas savoir la quantité de merde qui transite dans mon corps.
La douleur commence à disparaître.

Et me revoilà, au combat. Tout se passe si vite. Armé de mon fidèle sabre, je pense que nous sommes intimes désormais ?, je me retrouve à nouveau en enfer. Comment ça se passe ? Et bien, vous paniquez, vous regardez partout, et vous tentez de voir une ouverture ici ou là pour aider un allié. Attention à ne pas se faire attraper, à force de se concentrer sur toute opportunité, on en oublie soi-même. On se dépatouille, on met un coup de sabre ici ou là, rien de franchement impressionnant. Je le connais lui; attends... mais oui, il était avec moi à l'académie, lui aussi. Je le vois se faire massacrer, et cette fois-ci, je ne laisserai pas les choses se passer comme ça ! J'arme mon sabre et fonce pour aider le Shinigami, qui voit la mort se présenter à lui. Je frappe mon adversaire dans le dos. Il se stoppe, mais ne semble ni chahuté, ni même blessé. Il s'est arrêté uniquement pour voir ce qui frappait sa carapace. Un deuxième et un troisième coup, avec qu'il attrape ma lame et qu'il me rapproche de lui en tirant dessus. Son reiatsu est impressionnant. Pas besoin d'être un spécialiste de la détection pour ressentir la puissance dégagée par mon ennemi. Il prépare son poing qui finira par me transpercer si je ne réagis pas. Je ne sais pas quoi faire, comment le faire.
Et pour rajouter au dramatique, impossible de lâcher mon sabre. Je ne contrôle rien.
Tellement rien que je ne suis que spectateur de mon sabre, alors qu'il mute. Une petite lumière en émane, avant de m'aveugler complètement. Tout à coup, je suis brutalement repoussé et mon adversaire aussi. Alors que je me relève, j'aperçois une carte léviter. Et plus de sabre. Qu'est ce que c'est que ce délire ? Impossible, ce ne peut être la transformation de mon sabre... ça parait si faible !
J'essaie de l'attraper mais une force invisible m'en empêche, la même qui empêche 2 aimants de se toucher. Et la brute n'a pas apprécié le petit coup de pression. Un homme à la chevelure flamboyante apparaît alors et la repousse une dernière fois, non sans mal. Il trouve assez de force pour nous permettre de battre en retraite, une dernière fois.

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Je ne suis pas un homme de carrière.
Alors je façonne celle des autres, du mieux que je peux.


Face à moi, Heiichiro, une recrue à laquelle Akiro accorde beaucoup d'importance. Il s'en est passé du temps, depuis que j'ai hérité de la charge de l'homme masqué. Malgré la visée saine de nos rencontres, à savoir lui permettre de s'améliorer, les coups n'ont jamais été retenus et on finit par créer une rivalité assez spéciale. Ce n'est pas de la haine, qu'il éprouve pour moi, certes, mais il rêve de m'envoyer au tapis !

Heiichiro a bien progressé. Il est devenu bien meilleur qu'avant. Et il n'était qu'une question de temps avant que son plein pouvoir se révèle. Ce jour-là, le combat fut endiablé, les coups furent rendus, et la micro-stratégie fut un élément décisif. Plus besoin de réfléchir, il existe un automatisme et nous nous connaissons assez bien. Impossible d'infliger des blessures à son adversaire sans innové et tenter. Le culot, Heiichiro en a, et bientôt ses coups m'infligent une première blessure que nous pourrions qualifié d'importante. Un petit sourire sur mes lèvres plus tard, et c'est moi qui lui ai tranché une partie de sa chair. Le respect et l'excellence de ce combat sont appréciable. Décrire ce qui suit est inutile. Le petit Heiichiro a bien progressé et je me retrouve dans une situation où je suis obligé d'all-in pour garder la tête haute et arracher une égalité. Il vaut mieux en rester là, pour ne jamais perdre la face...


[=> Les passages flous (notamment l'adhésion à la treizième, la rencontre avec Heiichiro, se développeront IRP si possible ?]

Bonjour et bienvenue sur BBS.

Pour ton pouvoir, ça ne va pas être possible. Tous les types d'ondes, c'est beaucoup trop vaste (sonores, thermiques, ...). Je te demanderai donc d'être un peu plus précis, sachant que les ondes sismiques (et plus globalement les « secousses ») sont déjà prises par mes soins. Ça ne me dérange pas de « partager » si c'est ce vers quoi tu souhaites t'orienter, mais je préfère te prévenir si tu souhaites verser dans l'originalité. Je te validerai une fois que tu auras remédié à ce point, pas de problème pour les zones d'ombre donc.

Cette présentation est-elle encore d'actualité ?