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 « Une fois seulement le salut trouvé, le salarié s'allonge - Gareth Eastman » (UC - Pas encore corrigée)

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Gareth Eastman
Gareth Eastman
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MessageSujet: « Une fois seulement le salut trouvé, le salarié s'allonge - Gareth Eastman » (UC - Pas encore corrigée)   « Une fois seulement le salut trouvé, le salarié s'allonge - Gareth Eastman » (UC - Pas encore corrigée) Icon_minitimeMer 1 Oct - 5:41

    « Une fois seulement le salut trouvé, le salarié s'allonge - Gareth Eastman » (UC - Pas encore corrigée) Tumblr_muz95ksaj51rodorko4_250
    ___________________________



    Avatar : Cadis Etrama Di Raizel du manga « Noblesse ».
    Parrain : Non, bah... non.
    Comment avez-vous découvert le forum ? Top-site Giglamesh.


Gareth Eastmann

    Âge : Même si, physiquement, il paraît n'en avoir que trente, ce dernier a vécu environ soixante années entre sa naissance au Bellevue Hospital Center, à New York, sa mort et son affiliation aux Reapers.
    Race : Reaper.
    Votre précédent rôle : Monstre de la finance étasunienne. À part cela, peu de choses.

    ___________________________

    Description de votre personnage : Un costume rayé en flanelle de laine Brioni, pour les jours de grisailles, ou une tenue accordée de la tête aux pieds en mélange de viscose et de soie de chez Larusmiani, nœud de papillon et boutons de manchettes en ivoire pour les soirées, des chaussures à lacets en cuir brossé signées Fasciani, pour travailler, ou des mocassins en crocodile dessinés par Santoni dans un cadre de détente... Pas besoin d'épiloguer, vous l'avez sûrement déjà compris : pour ce M. Eastman, toujours être à la pointe de la mode, c'est d'une importance cruciale. L'habillage et les fioritures qui vont avec sont des fastes qu'il estime nécessaires pour exercer sa charge de Reaper. À son sens, chaque seconde est un combat, un affrontement constant, dans lequel on se dispute l'attention d'autrui pour se la ramener à soi-même. Ça a toujours été d'une facilité ahurissante pour lui. De fait, il sait pertinemment que la première impression est censée être la plus fiable et c'est pour cette raison qu'il met toutes les chances de son côté en entretenant son corps et son style. L'amour de « son corps » – devenu âme, à son plus grand désarroi – est tel qu'il ressemble bel et bien à du narcissisme. En effet, tous les matins, il obéit à un petit rituel et applique, dans un premier temps, une poche de glace sur les zones de son visage où il est légèrement bouffi, ensuite dans un second, une lotion désincrustante, dans un troisième, un masque hydratant, puis il se rase et veille à utiliser un aftershave sans alcool pour ne pas abîmer sa magnifique peau. Enfin, grâce au Dangaï mis à sa disposition, il se rend dans la mégapole qui l'a vu grandir, la grosse pomme comme on aime l'appeler, et longe Central Park au pas de course, en cherchant à recouper par le Downtown pour se remémorer les gloires de son passé d'être humain.

    C'est drôle de voir qu'en s'attachant à ce point à son apparence physique, il démontre malgré lui que la césure entre le monde réel et le monde spirituel n'a pas encore été faite. Il est clair qu'il ne s'est pas totalement habitué à cet univers, qui est aux antipodes de celui qu'il chérissait naguère. Chaque jour, il s'étonne de ces mondes où les corps sont faits d'énergie spirituelle, où l'argent n'existe pas, où l'espace et le temps ont été complètement revus. En ce sens, il est dans une autre matrice et c'est quelque chose qui l'éloigne des autres âmes. L'exemple suivant est frappant : notre héros est peut-être la seule entité de la Death Valley qui ait encore peur de la vieillesse. S'accrocher à certaines terreurs révolues comme cette dernière est un moyen de se sauver de la noyade en se tenant à la première branche venue. Lorsqu'il mourût, il était quelqu'un de très avide, ses proches le décrivaient comme un charognard de la finance et un fanatique du luxe. Même si son décès et son entrée au sein des Reapers lui ont permis de prendre du recul par rapport à son existence antérieure, il reste encore quelqu'un d'inaccompli. À vrai dire, il n'exploite pas pleinement ses capacités spirituelles et c'est plutôt un problème vis-à-vis de sa nouvelle affiliation. Néanmoins, si on aurait voulu défendre son cas, il nous aurait juste suffi de dire comment il juge l'incorporation dont il a fait l'objet : à ses yeux, il s'agit ni plus ni moins d'un travail. Capitaliste jusqu'au bout des doigts, le rendement est le stylo qui trace sa ligne de conduite. La plupart de ses « collègues Reapers » voient chez lui un professionnalisme remarquable, mais ils ne savent pas que c'est un attribut qui ne l'a jamais quitté.

    Lorsqu'il était dans le New York Stock Exchange, il porta plusieurs casquettes tout au long de sa brillante carrière. Il commença trader pour la Barclays PLC. Quand on remarqua qu'il était capable de vendre plus de cinquante millions de dollars d'actions en un seul jour, on le prit très vite au sérieux et bientôt, ce furent les banques elles-mêmes qui le démarchèrent. Il devint rapidement gérant de porte-monnaie, des milliards de dollars reposaient sur ses fines épaules, mais la pression d'une telle responsabilité ne lui fit jamais perdre la tête. C'était son point fort : la stabilité. Évidemment ! Après tout, pour pouvoir gérer des postes comme ceux-là, il faut une maîtrise de soi unique. La plupart des personnes qu'il côtoyait appréciait son adresse à l'oral. C'est un talent qu'il détient toujours, d'ailleurs. En fait, c'est un tout, un amalgame de vertus rares à l'homme et qui, une fois assemblées, font de leur possesseur un véritable as de la persuasion. Quand on lui demandait quelle était sa recette, il répondait souvent cela : « Vous savez pourquoi nous avons deux oreilles et une seule bouche ? Parce qu'on a deux fois plus besoin d'écouter que de parler. C'est une loi simple, mais qu'il faut connaître... Comme ses tables de multiplication. ». Un sacré personnage s'il en est, néanmoins, il n'a pas tord. Sa capacité à écouter ses interlocuteurs, à les analyser pour ainsi dire, fait de lui quelqu'un de redoutable. Avant, il était capable, ne serait-ce qu'en prenant le temps d'entendre leurs revendications et de réagir en conséquence, de vendre à ses clients les actions de leurs concurrents sans qu'ils ne remarquent rien d'étrange. 

    Ce précédent paragraphe n'a pas été sans vous prouver sa mesure à être une menace. Malheureusement, être une telle hydre dans ce monde peuplé d'Hercules ne sert à rien et il faut qu'il le comprenne. On ne s'extirpe plus d'un problème avec un avocat grassement rémunéré, on a plus à regarder sur son smartphone les courbes sinueuses de la bourse, on ne doit plus se soucier de la fiscalité de ses biens... Plus aucunes règles préétablies n'existent. En ne sachant pas cela, on s'éteint comme une petite flamme face à la tornade. Heureusement pour lui, il eut la chance de s'en apercevoir au moment même où l'épreuve du Purgatoire commença. Si le milieu socio-professionnel dans lequel il s'est élevé sur Terre était une place dangereuse où la seule règle était « chacun pour sa peau », autant vous dire qu'ici bas cette loi est foutrement plus véridique. Lorsque, assis en boule dans un recoin de cette cour de détention militaire, passaient des âmes devant lui, elles n'hésitaient à le frapper, sans raisons. La vérité, c'est que s'il n'avait pas gardé cette cuirasse infrangible surnommée « volonté » bien sanglée à son esprit, il se serait sûrement laissé dévorer. Finalement, c'est sûrement ce qui fait sa force et ce qui fera de lui, un jour sans doute, un fier guerrier. On aura beau dire tout ce qu'on veut, c'est un magnifique legs que lui a laissé son ancienne vie. Mais – car il y a toujours un mais, à l'instar du nourrisson qui découvre ses facultés, il doit apprendre à se servir de ses pouvoirs de Reaper. Espérons qu'il reprenne, petit à petit, du poil de la bête et qu'il redevienne, derechef, le meilleur de sa catégorie. Espérons-le sincèrement, car il a tout pour nous séduire et il faut se l'avouer. D'ailleurs, parlons-en de ce don de séduction !

    Séduire, c'est beaucoup de choses : un art, un jeu, une science, une icône populaire... Quoiqu'il en soit, pour Gareth, c'est un besoin primaire, comme le sommeil. On ne naît pas en tombeau des cœurs et ça, tout le monde le sait. C'est un avantage qui se perfectionne de leçon en leçon. Ce désir malsain de plaire, il l'a fait mûrir en une véritable capacité à influencer les gens qui l'entourent. Il faut dire qu'il a dépensé des sommes astronomiques en séminaires, que ce soit du développement personnel, de la sémiologie ou du béhaviorisme ; toute science étant bonne à prendre, il se les est toutes appropriées. Ce qui cloche, c'est que le problème reste toujours le même. Son savoir n'est pas si utile que cela face aux difficultés qu'il rencontre présentement. Bien évidemment, n'allons pas jusqu'à dire qu'il doit repartir de zéro, car c'est notre vie sur Terre qui construit le personnage que l'on est quand on meurt. En se donnant les moyens de s'améliorer chaque jour, il se réincarne, par petites étapes, en un nouveau Gareth Eastman. Et puis, si vous voulez tout savoir, le chemin qui le sépare de son accomplissement total n'est pas si démesuré que cela. Rares sont les leçons intemporelles, mais leur préciosité est sans égale. Nous ne pourrons jamais savoir combien il aurait déboursé pour toutes les apprendre pendant qu'il était encore temps.

    Une chose est sûre, c'est qu'il devrait remercier son conseiller fiscal de lui avoir proposer une solution rocambolesque lors d'un conflit entre lui et ses cruels concurrents du Financial District : lire un livre. Quelle blague cela paraissait être ! Il rompit le contrat avec lui aussitôt qu'il entendit cette hérésie, c'est vous décrire son sens de l'humour... En revanche, il lut le livre par curiosité. « L'art de la guerre » était sûrement un livre doté d'un réel pragmatisme à l'époque où il avait été écrit, quelques siècles avant Jésus-Christ, mais ce général chinois qui le rédigea, Sūn Wǔ de son véritable nom, vivait avec une technologie et des principes ancestraux. L’interpréter de manière philosophique dans le cadre astreignant de l'économie nord-américaine fut la seule mise en pratique qu'il eut pu faire. Dans la situation actuelle, ce souvenir devient, à l'image d'une action qui prend de la valeur avec le temps, peu à peu un bienfait. Ce n'est que maintenant qu'il remarque que les bénéfices de cette bible du conflit sont infinis et il se le rappelle chaque jour en passant dans une librairie de Manhattan pour y lire un verset aléatoirement. D'après certains témoignages, la guerre est immortelle et avoir les vertus d'un général victorieux est largement plus profitable que d'en être dépourvu. Les trois quarts de son potentiel de Reaper repose sur sa conception du conflit, en d'autres termes, sur son habileté tactique au combat. Lors de son examen militaire, on le caractérisa très vite comme étant un fin stratège, à l'instinct de félin.

    Son passé ne dort jamais, la chambre de sa mémoire est bien trop éclairée par ses efforts constants de remémoration pour qu'il puisse y trouver le sommeil. On va se la faire sans ambages... Il s'agit là d'une hantise que les autres âmes n'ont pas à subir. Tout porte à croire qu'il s'inflige cette douleur de plein gré, en ne tenant nullement compte des réprimandes incessantes qui lui sont faites par son nouvel entourage à ce sujet. Même si le regard de cet ex-businessman reste si glacial qu'aucune émotion n'en sort, le dépaysement est un sentiment qui l'habite en permanence, mais il ne montre rien, dans un soucis d'allure. Comme vous êtes censés le savoir, sa psychologie est, à elle seule, un bouclier anti-émeute et il est prêt à parer n'importe quel coup, à n'importe quel instant. Le plissement caractéristique de ses paupières trahit la concentration minutieuse qu'il accorde à l'analyse des gens qu'il voit. On pourrait assimiler cette contraction à de la fatigue ou à un éblouissement, or cela n'a rien à voir. Ses iris rouges sont ainsi dissimulés et d'après lui, c'est mieux comme ça ! Il paraît détester cette teinte. Ne vous étonnez pas de le voir revêtir de splendides lunettes de soleil Oliver Peoples à la monture écaillée ou des Thom Browne métalliques dès que l'occasion se présente. Avant, ses yeux étaient d'une couleur noire, bien plus sombre que le néant et il appréciait cela car en tant que grand bluffeur, il était avantagé par l’impression d'imprécision que son regard dégageait. Supposer que cette métamorphose est due à la coloration de son reiatsu n'est pas une folle supputation. Le bordeaux n'est pas si moche que ça, après tout. En parlant de ça, on pourrait également parler de la passion qu'a Gareth pour le vin et pour bien d'autres péchés dont la Terre a le secret. L'une de ses plus grosses faiblesses est qu'il devient accro à tout et n'importe quoi.

    En relation avec le raffinement de ses goûts, la finesse de son faciès est un atout qui est, encore, en mesure de l'avantager. Son menton est fin, ses joues presque creuses et son nez est, quant à lui, plutôt petit. Aucunes grosseurs ne viennent enfler son faciès d'ange. Sa chevelure sombre, longue et coiffée au peigne fin tombe sur sa nuque et sur ses oreilles comme des fils de soie terminent une robe de mariée à cent mille dollars. La seule ombre au tableau – puisqu'il en faut une, bien sûr – est cette bouche peu souriante. Les seuls et uniques satisfactions qui méritaient la contraction de ses maxillaires étaient le gain et la gloire. À l'heure d'aujourd'hui, tout n'est qu'une danse acrobatique sur le fil du rasoir et c'est vraisemblablement ce qui le déplaît. N'allons pas jusqu'à dire que notre héros est un lâche, sincèrement, ce serait paraphraser. Si son courage n'avait pas été à toute épreuve, il se serait suicidé en se tirant une balle au bord de l'océan atlantique ou n'aurait pas supporté le passage si rapide d'une vie à une autre, or ce n'est pas le cas.
    Description de votre pouvoir : Que vous soyez un fullbringer/quincy, un vizard, un hollow/arrancar ou un shinigami, décrivez-nous votre force.

    ___________________________

    Histoire : (25 lignes au minimum)
    Au cas où vous vous poseriez la question, nous vérifions en résolution 1024*768


Dernière édition par Gareth Eastman le Jeu 9 Oct - 14:19, édité 20 fois
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MessageSujet: Re: « Une fois seulement le salut trouvé, le salarié s'allonge - Gareth Eastman » (UC - Pas encore corrigée)   « Une fois seulement le salut trouvé, le salarié s'allonge - Gareth Eastman » (UC - Pas encore corrigée) Icon_minitimeMer 1 Oct - 9:32

Bonjour et bienvenue sur BBS.

Je t'intercepte avant que tu n'en sois là dans ton histoire pour te dire que si tu es mort à Tōkyō, il est très peu probable que tu aies atterri à la Death Valley. La capitale nippone ayant remplacé Karakura en tant que coeur de la juridiction des Shinigamis, c'est en toute logique eux qui te trouveront les premiers et t'enverront donc à la Soul Society. Tu en es peut-être déjà conscient mais je préférais le préciser au cas où que de te faire modifier par la suite.

Bon courage pour la fin de ta fiche !
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MessageSujet: Re: « Une fois seulement le salut trouvé, le salarié s'allonge - Gareth Eastman » (UC - Pas encore corrigée)   « Une fois seulement le salut trouvé, le salarié s'allonge - Gareth Eastman » (UC - Pas encore corrigée) Icon_minitimeJeu 9 Oct - 2:54

Cette présentation est-elle encore d'actualité ?
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MessageSujet: Re: « Une fois seulement le salut trouvé, le salarié s'allonge - Gareth Eastman » (UC - Pas encore corrigée)   « Une fois seulement le salut trouvé, le salarié s'allonge - Gareth Eastman » (UC - Pas encore corrigée) Icon_minitimeVen 17 Oct - 6:29

Présentation archivée.

Adresse-toi au bureau du staff si tu souhaites la continuer.
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