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| Sujet: Nawako Elen Ven 7 Nov - 22:23 | |
| Avatar : Le personnage sur votre avatar. Parrain : Comme Freya Comment avez-vous découvert le forum ? Comme la borgne! Nom du personnage Âge : Sept printemps sur le plan physique, sur celui de son existence il est impossible à définir. Race : Humaine au demeurant Votre précédent rôle : Petite écolière Description de votre personnage : À quoi ressemble votre personnage ? (10 lignes au minimum) L'on ne décrit pas une ombre.
De surcroit quant cette dernière est votre dernière vision. Une sensation de mouvement sur votre droite et puis un malaise comme si le monstre qui logeait sous votre lit étant enfant était soudainement derrière vous. Comme si vos cauchemars prenait forme et vous apparaissait alors sous l'apparence frêle et enfantine du chaperon rouge. Oui vous écarquillez les yeux mais rien ne change, et l'enfant surgissant droit du conte de Perrault était bien réel et qu'en vous pinçant à plusieurs reprises et à hormis la sensation de picotement qu'occasionnèrent vos pincements rien ne changeait. Vous avec votre source la plus farouche de peur dans un endroit étroit et exigu, et vous pauvre imbécile en tentant de reculer vous tombiez alors sur un liquide visqueux et poisseux, vous tâtez avec votre main ce qui en est et vous reconnaissez alors la couleur carmin caractérisant du sang.
Visiblement ça ne va pas mieux et vous commencez à perdre les pédales ce que ne manque votre cauchemardesque apparition qui en se rapprochant de vous commence à chanter un air que vous ne connaissez que trop bien. Celui que votre maman chantait lorsque vous aviez peur du noir la nuit, les soirs d'hivers rudes ou l'orage et la pluie tambourinaient et que vous juriez devant vos parents qu'un monstre était dans votre chambre. Ce même monstre est là et semble aussi mignon qu'effrayant et elle sourit.
En réalité elle ne sourit pas, elle ouvre la bouche et la partie mignonne de cet être s'arrête là. Une langue énorme et recouverte de crocs acérés sort doucement de la gueule désormais ouverte en rond comme celle des sangsues. Oui une sangsue avec les habits du chaperon rouge avouez tout de même que votre dernière vision ne sera pas commune n'est ce pas? La sensation de malaise et de malêtre se dissipe alors que la langue s'enfonce sous votre peau pour y pomper les fluides et votre essence.
Soyez heureux vous avez tués par une aberration à l'apparence enfantine, avouez ça aurait pu être pire non? Description de votre pouvoir : Le pouvoir de la juvénile personne qu'est Elen repose sur son diadème qu'elle porte en permanence sous sa chevelure dense. Cet accessoire est le symbole tant de son pouvoir que son pacte avec des puissances la dépassant. Grâce à cet couronne ceignant et ornant son front elle peut user de son pouvoir sur chaque objet relatif aux enfants. Jouets, livres et même les cartables deviennent sien. Elle donne vie à ces objets servant dans la vie et l'imaginaire des enfants du monde entier. Transformer une simple peluche en monstre ultra-violent lui est possible tout comme de rendre réel la barbie maltraitée par Clothide quatre ans et coiffeuse amateur. Donnez un second souffle à ces jouets et objets relatifs aux enfants et à la jeunesse, leurs permettre de vivre l'espace d'un instant et de se venger de la maltraitance dont ils souffrent. Une mécène en vérité que cette Elen. Couplé à ce pouvoir enfantin l'enfant domine également le vent cet élément qui l'accompagne dans sa solitude et fait flotter fièrement l'étendard de sa jeunesse immuable. Histoire : (25 lignes au minimum) Octobre 1980 La jeune Gladys rentre de l'école en sifflant la chanson que la maitresse avait écrite au tableau. Elle sautille heureuse car ce soir Papa revient enfin à la maison après que son travail l'ai emmené très loin de la petite ville perdue au fin fond de l'Illinois. Et puis ce n'est pas tout depuis pas longtemps la jeune tête blonde a remarquée que sa maman est étrange, elle ne sort plus comme avant et passe son temps dans des catalogues de meubles pour bébés. C'est tout de même étrange car Gladys n'est plus un bébé et qu'à cinq ans on ne dort plus des lits à barreaux et puis Maman ne lui a rien dit concernant l'approche de cigognes délivrant son petit frère ou sa petite sœur. Mais qu'importe ce soir serait jour de fête et ses parents réunis écouteraient ses talents de chanteuse. Gladys ne rentra jamais chez elle, on retrouva simplement ses vêtements à une vingtaine de mètres du seuil du portail de sa maison. Ses parents contactèrent bien sur les autorités compétentes qui restèrent dans l'obscurité la plus totale concernant cette affaire. La petite Gladys avait simplement et tout bonnement disparue comme si elle n'avait jamais existé, on ne la retrouva jamais et il n'y eut aucun témoins. On continua de chercher pendant des semaines qui se transformèrent en mois et les mois en années. Le couple tenu bon et la mère accoucha d'une petite fille dont le prénom fut le même que celui de sa sœur disparue.
Gladys junior fit de grande études. -------------------- Octobre 1996 Paris, Une magnifique ville dont les coins touristiques attiraient nombre de visiteurs et d'étrangers mais pas uniquement. En effet ce jour là Miriam et sa classe d'enfants turbulents de sept ans visitaient pour la première fois le Louvre. Il fallait bien l'avouer c'était ennuyeux de voir des momies et des sculptures datant de l'époque de ToutenKarton, et les maitresses n'étaient pas spécialement disposées à admettre une rébellion de la part des chérubins. Il fut alors concéder aux élèves une pause sur un espace relativement restreint. Miriam et ses copines étaient heureuses comme tout, dehors elles courraient après les volatiles parisiens et s'amusaient à laisser des miettes avant de surgir en criant comme des chiens. Le problème avec les pigeons c'est qu'ils sont pas très intelligents et que celui qu'attendait Miriam était partit à l'autre bout de l'espace autorisé, c'était pas grave et une fois qu'elle l'aurait effrayé Miriam retournerait avec sa classe; pour l'heure il fallait rapidement le retrouver ce zigoto avant que la maitresse ne se fâche parce que il était vrai que quand la maitresse se mettait à hurler elle ressemblait à Maman le soir ou elle buvait trop de grenadine en bouteille. Encore trois pas de géant que faisait magnifiquement Miriam et le maudit volatile de malheur ne reviendrait jamais ici.
La pause était finit et les enseignantes comptaient les enfants pour voir si l'un d'entre eux ne s'était pas prit d'une soudaine envie de faire un tour aux toilettes. Le nombre était exacte jusqu'à l'appel de Miriam, non seulement elle ne répondait pas mais ses copines indiquaient l'avoir vu la dernière fois près du grand portail menant à la route devant le musée. Le sang de Christine maitresse depuis près de vingt ans ne fit qu'un tour, de toute sa longue carrière c'était la première fois qu'une enfant manquait à l'appel. Un véritable drame qui lui vaudrait ses vacances à la Baule avec son mari qui faisait déjà des heures supplémentaires pour ça, c'était tout bonnement inconcevable et ce n'était pas à cause d'une gamine dont la mère était alcoolique qu'elle risquerait ses vacances et puis quoi encore.
Christine perdit ses vacances et son post de maitresse. La petite Miriam fut introuvable et bien que la police tenta d'explorer chaque recoin même malfamé de Paris ils ne trouvèrent aucun indice de l'évaporation de Miriam et son dossier devint une affaire d'état, le dossier se remplissait au fur et à mesure des déclarations et des enfants et des parents. Bien évidement chacun avait sa propre version et accusait un violeur, un pédophile ou un suspect inconnu des forces de l'ordre.
Le procureur dut prendre rapidement une décision ou lui aussi risquerait de tomber comme était déjà tombé avant lui son prédécesseur, cela faisait six mois que l'affaire était lancée et on n'avait toujours aucun indices. On était en France tout de même et il fallait un coupable pour satisfaire l’appétit dévorant de la foule et de l'opinion public qui se tassant aux portes de son bureau causeraient perte et fracas si ils réussissaient à entrer. On allait avoir un scénario bastille 1996 et c'était lui qui était dans le rôle principal. Inquiet et passablement irrité il passa un rapide coup de téléphone à son contact dans le quartier de la défense, il avait entendu récemment une affaire de meurtre et d’enlèvement sordide. On lui confirma rapidement que le criminel était toujours en détention provisoire et dans son luxueux et spacieux bureau le procureur eut un rire nerveux.
Le jour suivant le coupable fut trouvé il était d'origine asiatique et on lui découvrit un passé violent et long comme un bras. Il avait déjà par le passé commis des actes dont la raison taisait les détails.
Christine se suicida le jour même en recevant son énième lettre d'insultes.
Pendant ce temps à New York ou la famille de Gladys avait déménagée l'adolescente passait brillamment ses épreuves. ----------------- Décembre 2006 Gladys y était enfin.
Celle dont le nom évoquait un drame dans son village natale et ou le temps semblait ne plus avoir d'influence depuis ce triste évènements donnait en ce froid soir de décembre un sens à sa vie. Toute son enfance et son adolescence n'avait été voué que pour cette promotion. Après des études dans la police elle intégrait aujourd'hui la prestigieuse agence américaine de défense. Elle devenait un maillon de la recherche et destruction des potentiels menaces, mais tout ce charabia et la propagande américaine n'avait pas d'influence sur elle. En vérité elle souhaitait juste retrouver l'assassin de sa sœur, cette sœur qu'elle n'avait jamais connu et dont son prénom lui avait été retransmit comme une charge à assumer. Un poids dont elle ne pouvait se résoudre à vivre tout le reste de sa vie avec, son enfance ayant déjà été oblitéré par les pleurs de sa mère et la descente de son paternel aux enfers de l'alcool et du tabac. L'une était en asile et l'autre six pieds sous terre, il ne restait plus qu'elle et le tueur qui avait emporté sa sœurette aurait eu raison de toute une famille. Dans ses cauchemars, chaque nuit, elle voyait l'être qui avait dérobé une vie et avait gâché la sienne revenir la chercher pour finir le travail, mais malheureusement ce n'était jamais survenu et elle oscillait entre recherche du bonheur et sentiment d'abandon, sentiment de ne pas être à sa place sur Terre et que son existence et elle même avait été conçue pour palier le manque du premier enfant.
Pendant ce temps en Chine, La fête,
Partout des feux d'artifices et les ancêtres qui prenaient vie, la population qui communiait pour la commémoration du fondateur de la ville portuaire. Le régime avait beau interdire ces représentations païennes dans de rares occasions, comme ici, la foule bravait l'interdiction pour rendre grâce aux anciennes divinités depuis trop longtemps mis sur le côté. C'était également un moyen d'attirer touristes et badauds qui viendraient en nombre pendant cette semaine entièrement voué à ce culte de l'ancienne tradition.
Une reconstitution grandeur nature de la vie il y a près de trois cents ans de cela. Mais une partie importante et grandissante de la population manquait à l'appel. Les enfants étaient interdits de sorties, non par parce que tous les chérubins et filous de la ville avaient fait un coup ensemble mais par sécurité et mesure imposé par arrêter municipale et régionale, en effet si la fête était autorisé et non réprimée comme elle l'avait été dans d'autres lieux c'était pour l'attrait financier qui profiterait à toute la région une campagne ayant été mise en place par l'office du tourisme chinoise. Mais pour les enfants donc impossibilité de voir et de participer aux célébrations et les arguments étaient nombreux et valide. Depuis une semaine chaque soir un enfant disparaissait et si on avait crus à une fugue les deux premières fois les victimes s'évaporaient dans des endroits différents de la ville indiquant que celui qui commettait ces exactions se déplaçait et n'était pas un débutant. La ville s'étendait et déployait ses tentacules sinueuses et serpentantes sur une dizaine de kilomètres et chaque rue était différente de sa voisine.
Et alors que les enfants restaient cloitrés chez eux avec comme indication de ne pas ouvrir aux inconnus et de crier en cas de besoin, une milice montant la garde, dans un dédale labyrinthique de petite rues et d'impasses un petit garçon tentait d'échapper à la mort. Bien sur comme les victimes précédentes il ne laissa derrière lui que ses vêtements et un vague souvenir dans l'esprit de ses camarades. ------- Japon, présent La bête était traquée.
L'étau se resserrait autour de celui que les différents journaux qualifiaient de monstre planétaire. Et pour cause celui à l'origine de ces séries de meurtres sur plus de vingt longues années avait désormais de quoi être inquiéter. Les autorités savaient, par on ne savait quel miracle, la présence du démon à l'apparence humaine sur le sol japonais. Sur ces terres ou il n'avait pas encore sévit il serait arrêté du moins c'est ce que clamaient les différents discours officiels de la police et des divers agents étrangers qui coordonnaient la traque de ce salopard dont le monde se souviendrait pour les années à venir. Bien sur tout cela impliquait qu'on le trouve et qu'on lui mette le grappin dessus et visiblement c'était bien plus compliqué que prévu. Les informations balançaient en boucle les mêmes consignes et évènements marquants de la traque du tueur d'enfants. Il agissait depuis au moins dix ans et ses crimes se prolongeaient sur une ribambelle de pays dans un axe bien précis. Il était partit des états-unis et sa dernière destination connu était Taïwan ensuite par des calculs et des géolocalisations on avait réussit à tracer et le pister jusqu'ici Tokyo la capitale du pays du soleil levant et...
Et l'entité appuya sur le bouton off de la télé, ce qui semblait être un sourire se dessina sur son visage blafard tandis que sa tunique depuis longtemps couverte de poussière reprit sa place sur les épaules de sa propriétaire. De rouge vêtue comme dans le fameux conte pour enfants. Des enfants, d'ailleurs ces derniers manquait grandement à l'ombre rouge. Elle claqua des doigts et la peluche miteuse et rongé par le temps prit de nouveau vie.
La moisson allait de nouveau commencer. |
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Rang : Little red
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| Sujet: Re: Nawako Elen Sam 8 Nov - 21:51 | |
| Présentation terminée ! Sangsuement votre Elen. |
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Rang : Rey du Hueco Mundo, Messager de Sima
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| Sujet: Re: Nawako Elen Dim 9 Nov - 5:12 | |
| Ah bah non, y a plus de boobs !
Bah pour la peine c'est pas moi qui validerai >_> |
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Rang : Ϟ Espiègle Valkyrie
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| Sujet: Re: Nawako Elen Mar 11 Nov - 14:20 | |
| Rebienvenue.
- Citation :
- Couplé à ce pouvoir enfantin l'enfant domine également le vent cet élément qui l'accompagne dans sa solitude et fait flotter fièrement l'étendard de sa jeunesse immuable.
Euh, non. Soit l'un, soit l'autre, pas les deux. Un personnage = un pouvoir. Tu devrais le savoir à force. Il va sans dire qu'un pouvoir de vent n'aurait aucune raison de t'accorder cette capacité de « jeunesse éternelle » dont tu parlais dans le bureau du staff, soit dit en passant. Tu détermineras ça dans ta Fiche Technique.
Je te valide au niveau 2 en tant que Fullbringer Indépendante. Tu possèdes 15 points de compétence à répartir comme bon te semble lors de la création de ta Fiche Technique dans la partie HRP de ta faction. Tu connais la suite, je t'épargne donc les détails.
Bon RP avec ce nouveau personnage. |
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