Grim Reaper, où Tsurugi Walker de son vrai nom, n'était pas vraiment un enfant avec des problèmes particulier. En effet, dès son plus jeune âge, c'était quelqu'un de très épanoui et intelligent. Notamment grâce à ses parents, qui étaient constamment là pour lui, mais aussi grâce à ses deux petites sœurs, respectivement de 6 et 8 ans, alors qu'il en avait 12. Tout allait pour le mieux, une vie tranquille, une ville tranquille, une famille tranquille. Mais, pendant sa vie, Tsurugi du faire face à deux grandes douleurs, et s'il réussit à surmonter la première, la seconde le poussa en enfer.

Alors que ses parents était de sorties, Grim devait garder seul la maison et ses deux petites sœurs. Qu'elle meilleur moment pour une bande de cambrioleurs attirer par l'argent que de venir cambrioler ces riches propriétaires, et croyez-moi, c'est ce qu'ils fient. Mais, incapable de trouver une quelconque source d'argent potentielle, il prirent les deux sœurs de Tsurugi en otage, et lui demandèrent de lui rapporter tout le fric que contenait cette maison, et cela dans les plus brefs délais. En effet, si ce n'était pas fait rapidement, il tuerais une de ses sœurs. Et si ça mettais vraiment trop de temps, ils tueraient la seconde. Pris de panique, Grim ne pensa pas un seul instant à appeler les secours, ou une quelconque source de soutient. Non, il chercha dans toute la maison aussi vite qu'il le put. Car, malheureusement pour lui, il ne savait pas où se trouvaient les divers cachettes de ses parents... Les minutes passaient comme des secondes, et la sueur sur son front était plus abondante que sur celle d'un joueur de football épuiser par une longue rencontre. Il cherchait de partout, silencieusement, efficacement, jusqu'à ce qu'un horrible vacarme vint pourfendre le silence qui s'était installer. Un bruit sourd et puissant, suivit de pleurs incessant.

Tsurugi se dirigea alors immédiatement là où se trouvaient ses sœurs et les cambrioleurs. La plus petites des deux était là, à genoux, pleurant. La plus grande gisant sur le sol, inerte, dans une grande flaque rouge ayant déjà imprégnée le tapis...
Les voisins ont crié...
Les cambrioleurs ont tiré...

Sa seconde petit sœur s'est écrouler, une balle dans la tête. Son cœur lui faisait mal, intérieurement, il brûlait, se consumait, se tordait. Une sensation horrible, que jamais Tsurugi n'oublieras. Mais il se rendit rapidement conte qu'une des balles tirer par les malfrats l'avait atteint. Se trouvant dans la position inverse de là ou devrait se trouver son cœur, à droite de sa poitrine. Il tombe au sol comme un sac de patate, respirant difficilement. Il ouvre les yeux, il regarde... Une boîte blanche... Un clignement d’œil, bleu nuit, un autre clignement d’œil, une lumière aveuglante, et quelques silhouettes inconnu.
Il ne se réveillera que quelques semaines plus tard. C'est parent ayant était kidnapper par ce qui semblait être des complice des cambrioleurs, ils ont étaient pris en otage, et cette police incapable n'as pas était capable de les sauver. Ce fut un choc lorsqu'il apprit la nouvelle. Des mois durant, il resta à l'hôpital, contemplant le ciel, se demandant pourquoi le monde lui en voulait tant, qu'avait-il fait pour mérité cela ?...
Malgré tout, il finit par reprendre possession de ces moyens, en enterrant son choc psychologique au plus profonds des méandres de son subconscient. Après douze mois de rétablissement, il finit par ré-intégrer une école normal, sous la tutelle de son oncle...

Les jours, les semaines, les mois, puis les années passèrent. Bien qu'il essayait, il ne s'était pas vraiment fait d'ami. La seule chose qui le réconforter, était la présence de son oncle, qui l'a toujours soutenu, encore et encore dans cette tâche. Tout cela changea lors de son entré au lycée, où il y rencontras la femme de sa vie. Silhouette longue et féminine, trait du visage fin et raffinée, cheveux long et noir. Intelligente, belle, sportive, aimante, ambitieuse, talentueuse. Nombreux sont ceux l'aimant en secret, mais aucun n'a dénié le lui avouer. Aucun ? Non. Elle était en première, lui en seconde. Mais ils avaient le même âge. Le premier jour, du premier mois, de sa première année dans son premier lycée, il prit son courage à deux mains, prit la direction de la belle, et... "On ne se connait pas, et il est vrai de dire que l'on ne sais jamais rencontrer avant aujourd'hui, mais je dois l’avouez, c'est le coup de foudre total ! Me ferais-tu l'honneur de m'accorder un petit soir en tête à tête, histoire que je puisse apprendre à te connaître ? S'il te plaît ?" Sourire aux lèvres, yeux fermés. La belle Liarra accepta, comme amuser par sa demande. C'était le début de la nouvelle vie de Tsurugi.

Ils apprirent à se connaître, et finirent par sortir ensemble. Un amour unique en son genre, pur, doux, un amour de saint. Ils s’installèrent très rapidement ensemble, aider financièrement par leur famille respective. Ensemble, ils eurent une fille, qu'ils appelèrent Marina. Elle avait la beauté de sa mère, et les valeurs de son père. Tout aller pour le mieux pour Grim... Lui qui avait maudit ce ciel, qui l'avait sans cesse tourmenter, des années durant, mais qui lui avait permis de goûter en bonheur... Il le remercia, pour la première fois...
Mais, lorsque l'on s'appelle Tsurugi Walker, rien ne ce passe jamais comme prévu... Lui qui avait un pistolet semi-automatique, soigneusement cacher sous le lit conjugal, lui qui avait prit nombreux cours pour apprendre à le manier, comment aurait-il pu savoir qu'il aller signer sa perte ?...

C'était un soir d'automne, où le ciel était dégager de tout nuage. Tsurugi rentrer chez lui, après une longue mais agréable journée de travail, à pieds pour une fois. Il se dirigea vers la porte, rentra la clé, et, avant qu'il ne put la tourner, celle-ci s'ouvra devant lui. En face de Grim se trouver sa fille, l'arme à la main, la pointant sur lui. Il la regarde, elle le regarde, avant de l'amener au salon, refusant d'écouter ses questions, d'entendre la voie de la raison. Dans la salle à manger se trouver sa femme, inconsciente, blesser à la tête, ainsi qu'un jeune homme qu'il reconnaissait très bien : le petit ami de sa fille !

Tsurugi n'est pas stupide, et rapidement, il comprit. Il regarda alors sa fille, la fixant d'un regard à la fois noir, profond, mais surtout accusateur et empli de déception. La blessure béante de son cœur, refermer par la chaleur de sa femme, était en train d'être ré-ouverte par la froideur de sa fille. Ce qu'elle voulait, c'était l'argent, tout leur argent, afin qu'elle puisse vivre une vie peinard avec son homme. C'est vrai que Tsurugi et sa famille était riche, très riche. Mais de là à faire quelque chose d'aussi horrible...

Grim se leva alors, décider à aller chercher l'argent... A mi-chemin, alors qu'il était proche de sa fille, il l'a désarma habilement, la jeter au sol, et pointa alors son petit ami. Il discutèrent d'abord calmement, puis violemment, jusqu'à ce que Tsurugi tire !






Sur sa fille, qui avait eu la bêtise de s'interposer entre son père et son petit ami. Ses pupilles se vidèrent, et son cœur se déchira en deux... Qu'avait-il fait ?... Pourquoi lui ?...
Réveillez par le coup de feu, sa femme reprit conscience, et vit sa fille, au sol, son petit ami, pleurant sur elle, et son mari, le pistolet à la main, le canon encore fumant. Et la seule chose qu'elle trouva à dire... "Monstre !"... Avait-il totalement perdu la tête à ces paroles ? Sans doute. Le choc émotionnel fut trop grand, et il ne put le supporter. Il tua le jeune homme, avant de tuer sa femme, sans regret. Les voisins qui s'étaient précipiter à cause des coups de feus furent eux aussi mise à mort, à peine eurent-ils passer le pas de la porte. Il sortis dehors, et comme dans un autre monde, ce mis à abattre tout ce qui bouger... Femme, enfant, vieillard... Il en tua seize. Seize morts, avant qu'une balle de policier lui transpercer le torse. Il tomba au sol, inerte, et, avant de rendre l'âme, il maudit ce ciel une dernière fois, dans un dernier souffle, un dernier cri, une dernier plainte...

Mon corps est lourd... Mon corps est froid... Me relevant sur ce sol sablonneux, je ne comprend pas ce qu'il m'arrive, ce qu'il m'est arriver. Qu'elle est cet endroit ? C'est vaste, grand, poussiéreux, et vide...

Je ne comprenais rien à ce qu'il m'arrivais à ce moment. Pourquoi suis-je ici ? Comment ? Non. Les souvenirs me revenaient par saccades et me faisaient souvent mal au crâne... Mon crâne... Alors juste une protubérance osseuse recouverte d'un truc solide et blanc. Quant à cette cape... En réalité, ce n'en étais pas une... Juste une excroissance de peau qui descendait très bas. Ce ne qu'après avoir marcher quelque pas que je compris que cette peau était totalement inutile, et me déséquilibrer plus qu'autre chose...

Ma main gauche me faisait mal... Je sentais que quelque chose l'avait transpercer, mais je n'oser pas regarder... Je me suis contentais de marcher, encore et encore, à travers ces terres vide de toute vide, vide de toute mort. Ici, personne ne viendra m'importuner. Personne ne me trouvera, sous ce ciel noir, je vais enfin pouvoir aspirer à une existence paisible... Les jours, les semaines les mois passèrent, jusqu'à ce que je fis ma seconde rencontre. Il était moche. Très moche. Apparentais à un dragon de komodo, sa langue dégueulasse qu'il agitais dans tout les sens me répugnait... Etait-il là pour me faire chier lui aussi ? Avait-il l'intention de perturber ma paisible existence ?!... Oui.

Sans vraiment m'en rendre conte, cette exubérance de peau minable qui m'encombrait jusqu'à maintenant recouvra mon corps fébrile et fétiche. S'asséchant, ou plutôt, se durcissant, créant ainsi une armure solide et compact autour de mon corps. Mes sentiments changèrent alors... Je ne voulais pas une vie paisible, non... Je voulais traqué, tué, châtié cette existence impure qui se trouvait devant moi. La réduire a néant, jusqu'à ce qu'il ne reste rien d'elle ! Cette créature avait sans doute eu la même idée que moi, osant m'attaque avec sa longue langue écœurante.

L'attrapant de mes deux mains, j'ai commencer à tirer, tirer, tirer, tirer, encore et encore ! Jusqu'à ce que toute cette matière impure soit tirer à son maximum, et qu'il n'est d'autre choix que de venir à moi pour ne pas que je lui arrache ! L'amenant une dernière fois, d'un grand mouvement de bras, j'ai à mon tour courus vers lui et est enfoncer son masque blanc dans sa boîte crânienne avec mon bras gauche. Rentrant par le haut, sortant par le bas, je l'ai ensuite retirer de là, couvert de poisse de crasse.

Ma peau redevenant ce qu'elle était il y a quelques minutes, je me suis mis de nouveau à marcher à travers ces terres désolées... Calmer, apaisé... J'avais accomplis mon devoir, en exterminant cette existence impie. J'ai alors repris ma marche... Plus j'avançais, plus il y avait de ces choses exécrable, dont je ne pouvait en supporter ne serait-ce que la vue... Je l'ai donc tuer, encore, encore et encore, espérant ne pas en revoir une autre la prochaine fois... Mais mon pire cauchemar finit par se réaliser.

Comme attirer par ce groupe de cafards ambulant s'entre tuant, je me suis jeter dans la mêlée, décider à purger chacune de ces âmes en peine ! Armure en place, regard déterminé, j'ai commencer à tuer. Un, deux, puis trois. J'en jouirais presque de bonheur ! C'est comme une renaissance, pouvoir tuer, exterminer, apporter le jugement à ces êtres inférieurs ! Si tel était ma nouvelle vie, alors je l'accepte... Mais, avant même que je m'en rende conte, mon corps se mis à scintiller d'un lueur rouge... Comme celui des autres belligérant... Jusqu'à ce que...

Qu'elle est cet endroit ?... Pourquoi suis-je ici, avec tout ces autres choses... J'ai froid, plus froid que d'habitude... Pourquoi n'arrive-je pas à contrôler mes mouvement ? Je ne veux pas aller par là ! Non... Suis-je condamner à rester dans ce corps gigantesque et mal-équilibré, entourer de toute ces conscience de faible ? Moi qui avait enfin acquis la liberté de vivre... Le droit de mort ou de vie sur les autres... Ma volonté me quitte... Mon...

[color=blue]NON ! Il est hors de question que tout cela se finisse comme ça ! Je ne suis pas condamner à vivre avec ces êtres répugnant ! Je les emmerdes tous ! Je leur suis supérieur ! J-Je.... Je suis celui qui prend les décision ici ! Reprenant les reines de gigantesque corps à voilure noir, j'ai poursuivie mon chemin, traquant, chassant, dévorant ces autres intelligences collectives, trop abruties pour faire quoi que ce soit d'utile !

Mais cette existence ne me satisfait pas... Ce corps inélégant ne me satisfait pas. Cette vie puéril et vide de sens ne me satisfait pas. Je veux devenir plus fort, je veux avoir le contrôle total sur ma vie. Plus jamais ce ciel maudit ne dicteras ce que je suis libre de faire ou pas. Quoi qu'il arrive, je serais libre ! J'ai donc poursuivis mon œuvre, dévorant toujours plus de congénère, une chose que je n'apprécier pas, mais qui était nécessaire !

Je ne pouvais me permettre de rester imparfait, il fallait que j'évolue, encore et encore, jusqu'à devenir le ciel, jusqu'à pouvoir manipuler le destin comme je le souhaite ! Je serais dieu, je déciderais de tout, et deviendrais une existence parfaite en osmose avec le monde lui-même... Même si pour cela, je dois faire des choses indignes de moi, je le ferait !

Le temps passa, rapidement je suppose. Car bien vite, mon existence pris une tout autre tournure, en effet, ce corps moche et inutile évolua en quelque chose de bien plus appréciable... J'avais de nouveau une forme humanoïde. Mon corps avait retrouver une couleur plus métissé, et mes sens s'étaient affinée. Malheureusement, cette exubérance de peau était toujours là, moins large, mais plus longue qu'avant, elle trainait presque par terre. Mais mon corps était moins fétiche qu'avant, et avait une allure plus élancée, et une silhouette relativement musclé. Mes bras étaient relativement long, de même que mes jambes. Mon crâne avait retrouver une forme plus humaine, et mes dents une place plus adéquat dans ma mâchoire elle-aussi, plus humaine. Je pouvais réfléchir clairement maintenant, et ne me laisser plus submerger si facilement par mes pulsions meurtrière...

Comme c'est agréable... Je sens déjà que ma force à augmenter et n'a plus rien à voir avec celle d'avant. Mes muscles réagissent mieux, et ma perception de l'environnement à changer. Je peut désormais ressentir une immense énergie émaner de part et autre de ce monde. Notamment celle des "autres". Je ne sais pas pourquoi, mais une irrépressible envie de tuer, mais surtout de dévorer me pousse vers eux. J'ai l'impression que si je n'y vais pas, je vais finir par régresser, et redevenir l'être fébrile que j'étais avant. Et cela, il n'en est pas question.

Je passe la main sur mon visage, et me rend conte que ma peau est recouvert par une couche osseuse, ressemblant relativement à un masque, comme les insectes possédant un squelette extérieur. "Ce masque" est relativement agréable au toucher, et en analysant sa structure de mes mains bien plus réceptives, je me rend conte qu'il ressemble à un vulgaire crâne humain. Je ne comprend pas la signification de ce masque sur mon visage mais bon, peu importe. Si cela permet à mes ennemis de me craindre un peu plus. J'avance alors, reprenant mon éternelle chemin, avec un objectif tout autre cette fois-ci... En effet, maintenant, j'ai faim....[A terminer]