AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion

CreativeJuiz

OuvrirFermer






Le forum est fermé. Vous pourrez nous retrouver sur notre nouveau projet ICI
Le Deal du moment : -45%
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre ...
Voir le deal
339 €

Partagez
 

 Kazegai Taka, la brise du matin... [Terminée]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Kazegai Taka
Kazegai Taka, la brise du matin... [Terminée] Capcom
Kazegai Taka
Rang : Capitaine-Commandant

Messages : 503
MessageSujet: Kazegai Taka, la brise du matin... [Terminée]   Kazegai Taka, la brise du matin... [Terminée] Icon_minitimeLun 23 Déc - 16:06

    Avatar : Serpico du manga Berserk
    Parrain : Melody Mackenzie
    Comment avez-vous découvert le forum ? Ca fait un moment qu’il m’intéressait, vu que j’connais Melody, j’ai donc franchi le pas. .

Kazegai Taka

    Âge : Environ une centaine d’années .
    Race : Shinigami
    Siège demandé : Dépendra d’mon niveau, mais si possible j’aimerais bien être Vice-Capitaine de la Dixième.

    Description de votre personnage :

    Physiquement, Taka n’est pas exactement le genre de personne qu’on remarque. Contrairement à d’autres, il n’est ni très grand (maximum un mètre et soixante-quinze centimètres) ni très épais (il doit faire une cinquantaine de kilos). Il a donc tendance à passer plutôt inaperçu, ce qui ne le dérange pas. Toutefois, ce n’est pas une raison suffisante pour que nous l’ignorions.

    Au niveau facial, il a pourtant quelques traits reconnaissables, que ce soit sa chevelure blonde mi-longue, légèrement bouclée, qui caracole jusqu’au bas de sa nuque tandis que les mèches de sa frange serpentent entre deux yeux verts au regard perçant, qui sont pourtant bien souvent fermés (quand à savoir comment il fait pour voir, demandez à feu Gin Ichimaru !), et parfois même cachés par les allées et venues de la frange évoquée au-dessus. Ses sourcils fins du même blond contribuent au côté discret de son visage. Son nez, plutôt fin, est pourtant presque aquilin et légèrement relevé au bout, ce qui donne un peu de caractère à son visage. Ses oreilles, souvent dissimulées par sa toison d’or, ont des proportions correctes. Sa bouche aux lèvres fines laisse assez peu transparaître ses émotions, et les mots ne s’en extirpent que lorsque c’est nécessaire. Enfin, son crâne se termine par des traits un peu anguleux, et un menton légèrement relevé, à la manière de son nez.

    Son cou, fin et gracile, est toutefois un petit peu long, ce qui peut avoir tendance à déstabiliser certains de ses interlocuteurs. Il débouche sur deux épaules assez fines, légèrement tombantes en temps normal, mais qu’il sait relever quand il s’agit d’adopter la posture militaire. Ses bras, du même acabit que le reste de son corps, semble interminables malgré sa taille normale, sans doute parce que notre homme est mince. De longs doigts terminent ses mains fines, presque des mains de femme. Son buste est lui aussi assez peu épais, bien qu’on y devine une musculature sèche et nerveuse, comme un ressort près à se détendre directement sous sa peau. Rien dans l’excès, juste ce qu’il faut pour encaisser les coups et manier son sabre. Ses muscles abdominaux suivent le même schéma, et ses côtes sont légèrement apparentes, comme un autre témoignage de la minceur de l’athlétique jeune homme.

    La partie inférieure de son corps suit la même logique que le reste de son apparence. Des jambes agiles et sveltes, capables de le soutenir lorsque vient le moment de danser et de lutter pour sa vie. Des genoux peu marqués, des pieds tout ce qu’il y a de plus normaux, et dix orteils en parfaite forme, qui offrent un appui et une souplesse sans précédents à tous les mouvements de notre shinigami.

    Au niveau vestimentaire, Taka se permet bien peu d’excentricités : rigoureux dans son rapport à l’autorité, il porte l’uniforme traditionnel des shinigami, tout de noir vêtu, à l’exception de son obi immaculé où il accroche le fourreau vert sombre de son Zanpakutô. Zanpakutô qui, parlons-en, est un katana traditionnel au manche recouvert d’un tissu bleu clair, découpé de façon à ce que la couleur du manche ressorte sous la forme de plusieurs losanges. Quand au pommeau, d’une couleur cuivrée, il évoque grossièrement une fleur pourvue d’une multitude de petits pétales.


    Pour ce qui est du caractère, en lien avec son apparence assez discrète, Taka n’est pas quelqu’un de bruyant. Très souvent silencieux, il observe plus qu’il ne commente, et ses yeux acérés enregistrent le moindre détail de tout ce dont il est témoin. Peu prompt aux éclats de voix, il préfèrera toujours achever ses adversaires de quelques piques bien senties lancées sur un ton froid, plutôt que se perdre dans des discussions grandiloquentes où chaque parti cherche à montrer qu’il possède la plus grosse, métaphoriquement ou réellement. Ce silence est parfois associé à de la timidité, mais il n’en est rien : le faucon préfère simplement éviter de faire trop de bruit. C’est le meilleur moyen d’attirer l’attention et d’être pris pour cible. Et être pris pour cible, c’est ennuyeux.

    En effet, le jeune Shinigami fait preuve de bien peu de motivation, et c’est souvent ce défaut associé à sa discrétion qui font qu’on l’amalgame à un clown, voire même à un déchet. Même s’il s’acquitte avec diligence de toutes les tâches qu’on lui confie, il lui arrive souvent d’en aller de son petit commentaire. Comme dit plus haut, il n’en fait pas des caisses et se contente d’une brève remarque acerbe au début et à la fin de sa tâche, mais cela peut déplaire à certains. Toutefois, personne n’a jamais eu à se plaindre de son travail. Contrairement à beaucoup d’autres qui se prétendent excellents et ne sont qu’au mieux médiocres, lui se dénigre et est pourtant doué. Seulement, ce problème de motivation viscéral, c’est quelque chose.
    Dans la droite lignée de ceci, le shinigami est plutôt le genre à se descendre en flèche : il se considère comme un rien du tout, un moins que rien, et après tout sa vie a bien peu de valeur. Pas le genre de pensées si prégnantes qu’elles le poussent au suicide, non, simplement peut-être un problème de confiance en lui. Plutôt que de se vanter, le jeune homme préfère s’auto-flageller, et se contente de rougir et de faire le gêné quand on le flatte, avant de nier. Cela fait partie des choses qui confortent les autres lorsqu’ils se pensent supérieurs.

    Mais c’est aussi ça qui l’aide à se détacher : très flegmatique, il est bien rare de voir le faucon se mettre en colère. Réduisez à néant son travail, il se contentera de soupirer, de vous reprocher de ne pas être sympa avec un sourire apparemment contrit, et le refera consciencieusement. C’est aussi pour ça que les moqueries adverses ont bien peu d’effet sur lui, et qu’il sera rare qu’il se départisse de son sang-froid légendaire dans un combat. Les malandrins auront beau se moquer de lui ou s’appliquer à essayer de le démonter, lui s’emploiera seulement à les mettre hors d’état de nuire suivant les ordres qu’on lui a donné. C’est ce qui fait de lui un bon soldat. Ceci combiné à une intelligence et à une ruse à toute épreuve, qui font de lui un véritable renard en combat, prêt à user de tous les stratagèmes pour vaincre son adversaire, quitte à préparer le terrain ou à vendre son honneur au diable. « Mais après tout, je n’ai aucune valeur », répondrait-il aux critiques.

    Toutefois, il arrivera parfois qu’il sorte de ses gonds. Dans ces moments-là, ses paupières découvrent enfin les pupilles d’émeraude du shinigami, et ses yeux déversent sur le malotru toute leur haine. Il devient alors encore plus acharné qu’il ne l’était et s’emploiera à méthodiquement effacer toute trace de celui ou celle qui a eu le malheur de l’agacer. Qu’est-ce qui le met en colère ? Généralement, c’est le fait qu’on s’en prenne à ses proches. Sa personne propre n’a aucun intérêt, aussi il encaissera sans mot dire tous les coups, physiques comme moraux, qu’on pourra lui porter, mais si on met en doute l’intégrité, qu’elle soit physique ou morale, de ses amis, alors mieux vaut ne pas rester dans son champ de vision, à moins de vouloir être découpé en rondelles.

    Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant):
    Shikaï :
    Souffle, Shirufusodo, que clame Taka pour activer son Shikai. Son sabre se change alors en une lame ressemblant à une longue plume immaculée, et au manche qui semble taillé depuis un arbre majestueux. Cette lame possède la capacité de manipuler les vents autour d’elle, pour par exemple envoyer des lames d’air en direction de l’adversaire, créer de petites tornades autour de lui, ce genre de choses.

    Quand au Bankaï, sobrement nommé Shirufukuroku, il se manifeste sous la forme d’une cape verte, qui vient recouvrir la tenue de notre héros. Cette cape change Taka en un maître des airs, qui peut s’en servir pour voler, aussi bien pour éviter plus facilement les assauts adverses que pour les surprendre. Il peut également manipuler l’air, tout comme le shikaï, mais cette fois en utilisant directement ses mains.

    Histoire : (25 lignes au minimum)
    D’aussi loin qu’il se souvienne, Taka a toujours été un habitant du Rukongaï. Arrivé là-bas en tant que bébé mort ou bien né là-bas, nul ne le saura jamais, sans doute. En tous les cas, sa vie n’a pas débuté sous les meilleurs auspices puisque le petit se trouvait dans le District soixante-dix-huit du Rukongaï, Inuzuri. Ses souvenirs d’enfance se résument à une masure sombre et crasseuse, seul avec une mère dont la santé se dégradait lentement au fur et à mesure de sa croissance. Alors, dès ses premiers pas, il devait voler pour survivre. Mais c’était une charge conséquente pour un enfant, et plus d’une fois, il dût se battre pour survivre. Chaque jour, sa mère élevait sa fierté : rendue folle par sa maladie, elle était persuadée que son fils était un prince et que son véritable père viendrait le chercher, alors qu’il n’était qu’un simple chien errant, le fils d’un type alcoolique, sans doute déjà mort, qui avait laissé tomber sa mère sitôt qu’il l’avait tronché. Et chaque jour, la vie s’appliquait à écraser ces graines de fierté, utilisant les pieds des autres gosses affamés.

    Car Taka était malin. Taka ne reculait devant rien. C’est ce qui lui valait la haine des autres : l’homme craint l’intelligence. Car l’intelligent peut s’élever, tandis que le stupide reste au sol à ramper dans la fange putride. Et pourtant, il survivait. Chaque jour, il nourrissait sa mère, qui le remerciait en le giflant car « se battre avec des morveux est indigne d’un Prince. » Cette main osseuse. Cette silhouette émaciée. Il ne supportait plus ça. Il n’y arrivait plus. Alors qu’il avait environ treize ans, il se décida à se laisser mourir, après un passage à tabac particulièrement éprouvant par le grand frère d’un gosse qu’il avait frappé avec une pierre la veille, tout ça pour un quignon de pain rassis. Mourir pour un quignon de pain… Tu parles d’un Prince de pacotille, heh. Et puis, alors qu’il pensait enfin être libre, elle était arrivée.

    Elle, c’était demoiselle Farune. Fille d’un riche marchand qui habitait dans une grande demeure du premier district du Rukongaï Sud, elle était connue pour son excentricité. La rumeur disait qu’une nuit, elle avait mis le feu à une aile de la demeure de son père. Mais ça, Taka ne le savait pas. Tout ce qu’il savait, c’est que la demoiselle était apparemment intéressée par ce « chien en train de mourir. » Alors, malgré les réticences de son chambellan et de son garde du corps, elle le prit avec elle avec la ferme intention d’en faire son digne servant. Pourquoi ne le laissait-on pas mourir ? Tout aurait été tellement plus simple. Pendant plusieurs jours, elle s’occupa de lui, le remit sur pied et le nourrit. Quand il put de nouveau tenir debout, elle commença à le traîner partout, véritablement comme un petit chien. La gamine avait son âge, et en plus d’être un servant de la maisonnée, Taka était affecté au service personnel de la demoiselle Farune. Son père était souvent absent pour affaires, tandis que sa mère se perdait dans le faste de luxueuses réceptions et autres voyages à travers le Rukongaï. Voilà donc d’où venait le caractère aventureux de la jeune femme.

    Mais Taka n’avait pas à se plaindre : nourri, logé, blanchi, bien que ce soit parfois difficile (sa maîtresse étant une véritable diablesse, qui ne semblait pas avoir conscience d’une vie humaine, faisant prendre des risques inconsidérés à notre pauvre garçon, qui s’exécutait avec empressement puisqu’il était « son chien, et que les animaux pas sages, elle les brûlait. », ce qui semblait plausible vu le caractère de la jeune femme.) il pouvait ainsi apporter la totalité de sa solde à sa mère, qu’il avait fait déplacer dans un autre district, plus sain, et à qui il payait un médecin ainsi qu’une demeure adaptée. Il se rendait même parfois dans les districts miséreux, au côté de sa maîtresse, et voir les gosses aux regards apeurés lui faisait véritablement prendre conscience de la chance que le vermisseau qu’il était avait eu. C’est pour ça que, pour dame Farune, il aurait tout fait. Tout ?

    L’âge de l’adolescence arrivait, et les beaux jours allaient devenir tempêtes. D’abord, le père de la demoiselle était de retour à la maison, et Taka eut l’occasion d’enfin le rencontrer proprement. Quelque chose en cet homme lui retournait le ventre et lui donnait une sensation familière, mais il n’aurait pas su dire quoi. Et ce nez ressemblait beaucoup au sien… Lentement, l’idée allait planter ses racines dans sa tête. Mais ce n’était pas tout : vu l’âge de dame Farune, il était temps qu’elle se marie. Seulement, son caractère excentrique la rendait difficile à apprivoiser, et il n’était pas rare qu’elle finisse par agacer ses prétendants et leurs suivants, qui provoquaient Taka en duel à défaut de la demoiselle. Le jeune homme s’entraînant au combat au côté des gardes du corps en parallèle de sa tâche de servant, il n’aurait eu aucun mal à s’en défaire, même s’il s’appliquait toujours à produire des matchs nuls, peu désireux d’attirer l’attention sur lui.

    Le patriarche commençait à désespérer de pouvoir un jour marier sa fille, car il apparaissait clair qu’elle ne voulait qu’une chose, et c’était Taka. Seulement, outre le fait qu’il soit de basse lignée, celui-ci avait appris une bien dérangeante vérité : dans un de ses rares moments de lucidité, sa mère lui avait donné le nom de son père. Et c’était le nom du père de Farune. Même si le doute subsistait, il était fort probable que Taka et sa dame soient demi-frère et sœur. Et puis, plus que de l’amour, il éprouvait une admiration platonique pour la jeune femme. Il la glorifiait, et ne désirait pas salir sa sainteté avec le fruit d’amours interdits. Alors, une nuit d’orage, frustrée, dame Farune refit des siennes et commença à ravager un couloir du manoir, avant de sortir dans le jardin, à demie-nue. Ses parents étaient absents, et les servants semblaient ne pas savoir où attaquer le problème.

    Alors il s’en était chargé. Bravant lui aussi la tempête, il avait rejoint la jeune femme. Elle s’était blottie contre lui et lui avait demandé de fuir avec elle. Il avait refusé, et l’avait exhorté à rentrer. Elle s’était exécutée, silencieuse, mais cette nuit-là, quelque chose s’était brisé. Elle ne voulait plus le voir en portrait, et réclama qu’on s’en débarrasse. Qu’on le jette dehors et qu’il crève comme le chien désobéissant qu’il était. Seulement, il aurait été bête de laisser tant de talent pourrir. D’autant que le père de Farune, revenu, avait lui aussi pu confirmer que Taka était son fils. Aussi, usant de ses relations, de son argent, et des talents de combattant du jeune homme, il l’envoya à l’académie des Shinigami. Le matin de son départ, elle n’était même pas venue le voir. Tant pis : il continuerait à vivre, et ne se souviendrait que des bons moments, pas de cet amour qui était venu empoisonner les choses. Après tout, les chiens ne tombent pas amoureux des humaines, pas plus que les humaines ne le devraient.

    A l’ Académie, en tant que natif du Rukongai, même issu d’une famille aisée, le jeune homme subit des moqueries. Toutefois, il n’était rien si ce n’est l’outil de dame Farune : aussi, il n’écoutait pas tout ça et se contentait de faire son bonhomme de chemin, s’impliquant dans les examens. Il se révéla rapidement posséder une quantité de reiatsu qui n’était pas énorme, mais suffisante pour faire de lui un bon shinigami avec un peu d’entraînement. Il s’investit à corps perdu dans ses études, et triompha à chaque fois de ses examens avec des résultats honorables. Il se lia d’amitié avec certains, partit en mission sur terre, apprit l’art du shunpo, du sabre, s’efforça de changer son Asauchi, et puis finalement, au terme de son parcours à l’Académie, il finit par devenir un Shinigami. Son Zanpakutô semblait être un Zanpakutô de vent. Le vent, libre d’aller où il veut, assez ironique pour quelqu’un comme lui, attaché à tant de choses, alourdi par tant de devoirs et par un passé dérangeant. Et pourtant, ce n’est pas ça qui l’arrêterait dans la réalisation de ses objectifs : devenir un grand shinigami, et continuer à défendre les hommes et les esprits et plus particulièrement Dame Farune.

    Il fut d’abord placé dans la Troisième Division, et s’attela là-bas à exécuter ses tâches avec diligence et précision. Là-bas, les gens se moquaient souvent de lui pour son côté bonniche ou sa tendance à faire tout ce qu’on lui demandait, certes, mais en se plaignant. Certains le provoquaient même en duel, mais à ceux-là, il n’offrait qu’un iceberg de mépris et passait son chemin. Très vite, des rumeurs commencèrent à courir au sein des quartiers de la Division, prétendant qu’il était en réalité un être surpuissant et qu’il ne se battait jamais car le moindre de ses coups pouvait raser des bâtiments entiers. Voilà qui était flatteur mais bien peu précis. Toutefois, ça n’arrêta pas les gens, et il continuait à subir régulièrement des invectives et autres injures. S’il les ignorait, il se révéla bien vite que ça gênait la hiérarchie. Certes, Taka encaissait bien, mais à force de le basher, les autres ne faisaient plus leur travail correctement, aussi il fut déplacé dans la dixième Division.

    Là-bas, tout semblait prendre le même chemin, sauf qu’environ deux semaines après son intégration, un type eut le malheur de parler en mal de Dame Farune, en évoquant une folledingue quelconque fille d’un riche marchand, Farone ou quelque chose du genre. Notre héros lui avait mis une telle raclée qu’il avait été de corvée pour les deux mois qui avaient suivi. Toutefois, toutes les missions accomplies de façon irréprochable jusqu’ici lui avaient permis de ne pas être puni plus. Et puis, il avait gagné le respect de ses camarades, et tous dans la division le traitaient avec déférence. Il n’en méritait pas tant, mais bon, il n’allait pas s’en plaindre. A force d’années de bons et loyaux services, il parvint à se hisser jusqu’au rang de Vice-Capitaine de la division, et il continue aujourd’hui à lutter ardemment pour le bien des mondes et sa Dame.

Revenir en haut Aller en bas
http://www.bleach-bsrpg.com/t1856-kazegai-taka
Melody MacKenzie
Kazegai Taka, la brise du matin... [Terminée] Hum-ind
Melody MacKenzie
Rang : Ϟ Espiègle Valkyrie

Messages : 2108
MessageSujet: Re: Kazegai Taka, la brise du matin... [Terminée]   Kazegai Taka, la brise du matin... [Terminée] Icon_minitimeMar 24 Déc - 8:31

Sois le brovenu sur BBS ! °°

Le seul défaut notable que je vois à ta présentation serait que même les premiers districts du Rukongai - supposément les plus sains - restent très modestes et qu'il est donc assez peu probable d'y bâtir une fortune quelle qu'elle soit, alors que ton histoire aurait tout aussi bien pu (voire mieux) marcher en partant directement sur une famille du Seireitei.

Ce n'est cependant qu'un détail mineur et je te valide donc au niveau 4 en tant que Vice-Capitaine de la 10e Division. Tu disposes de 25 points de compétence à répartir lors de la création de ta Fiche Technique dans la partie HRP de ta faction que je t'invite à réaliser dans les plus brefs délais.

Bon RP !
Revenir en haut Aller en bas
http://www.bleach-bsrpg.com/t1637-melody-mackenzie
 

Kazegai Taka, la brise du matin... [Terminée]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» La brise de Tarazed [ft. Kazegai Taka]
» Capter le capitaine [Kazegai Taka]
» Un vent de questions [PV Kazegai Taka]
» Catch the Captain ! [Kazegai Taka]
» Un nouveau défi [Kazegai Taka]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Bleach - Before the Shadows :: Bienvenue sur Bleach - Before the Shadows :: Présentations :: Validées-