Âge : 200 ans
Race : Shinigami !!
Siège demandé : Troisième siège de la troisième division

Description de votre personnage :


A quoi ressemble Musui hein ? C'est une très bonne question ... Aux premiers abords, Musui a l'air d'une asperge. Oui oui ! Une saleté d'asperge !! Du haut de ses (presque) deux mètres dont il aime tant se venter, la finesse de ses courbes font tout autant penser à une asperge qu'à un roseau prêt à se plier au moindre coup de vent. Sa chevelure rousse lancé vers le ciel, il ne faut pourtant pas se fier aux apparences. Sous cet air chétif prêt à se briser au moindre coup certaines femmes ont pu découvrir un corps fin certes, mais d'une sécheresse à vous en faire pâlir le Sahara. Des muscles toniques, les épaules bien carrées, sa façon de déambuler dans les rues du Seireitei avec ses vêtements trop grands ne sont au final qu'un simple mirage qui cache derrière lui une carrure de combattant expérimenté. Pourquoi expérimenté ? Il suffit de regarder les quelques cicatrices d'anciennes batailles profondes tant qu'on dirait qu'elles sont encore ouvertes. Et oui, Musui n'est pas celui qu'il paraît être. C'est d'ailleurs ce que le peu de personnes qui connaissent cet hurluberlu vous diront sur lui. Gueulard irascible, ronchon à un point qu'on pourrait penser qu'il est payer pour ça, ce type est une plaie à côtoyer. Toujours de sale humeur, son oeil vert unique à toujours l'air mauvais tandis que l'autre repose, crevé, sous un cache-oeil noir de jais. D'ailleurs, il faut savoir que ce sujet de discussion est taboue. Lui en parler c'est le mettre très en pétard ! Et vu comment il se comporte lorsqu'il est calme ...

Bref ! Après ce petit tour d'horizon qui vous aura montré les grands traits apparents de ce crevard de Misui, rentrons un peu plus dans le vif du sujet. Son sabre spirituel dans une main, l'autre dans la poche et sa clope au bec, il possède une dégaine plutôt nonchalante et ne se tient jamais droit. De petit gants en cuir marron usés par le temps et les combats de rue ne laisse plus qu'un îlot de peau visible sur cette personne : son visage. Toujours tirés, jamais de sourire, c'est un peu sa défense principal. Ce n'est pas qu'il n'aime personne, n'apprécie personne ou quoi que ce soit d'autre, c'est juste qu'il a peur. Derrière cette carapace dur, virulente et parfois violente, il cache une peur viscérale du monde et des autres. S'attacher est un risque considérable : celui de souffrir. Et il ne veut plus souffrir. Dorénavant d'ailleurs, il ne peut plus souffrir. Ce squelette, ce miasme qui s'empare petit à petit de son âme lui durcit la peau et l'esprit pour fusionner entier avec son être. Cet air de bandit, cette agressivité constante, il va même jusqu'à cacher une partie de ses cheveux avec un bandana pour se montrer le moins possible, et donc offrir le moins de failles possible aux autres. La vie étant un combat constant, une jungle dense et meurtrière, il s'arme de toute cette haine pour refouler des "travers" (comme il les appelle) qui peuvent lui porter préjudice et qui ne sont pas des attitudes stables. La gentillesse, la bonté, l'altruisme, il n'y connaît rien. Et ne veut rien en connaître ! Les réprouvant totalement, préférant la vérité de la violence, il haït les autres tout autant que les autres le haïssent. Au moins c'est clair, et c'est peut être mieux ainsi.

Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant):



Spoiler:


Première forme de Soyokaze (Soyokaze est le nom de ce zanpakuto), son absence de courbure en fait déjà un sabre plutôt spécial à première vu qu'il utilise plus comme une batte de baseball que comme une véritable épée. Il ne sort d'ailleurs jamais la lame de son fourreau préférant la facilité et la brutalité du contondant au tranchant.



Spoiler:



Lorsque Muisi prononce les mots "fracasse, Soyokaze !!" l'épée inerte jusque là s'allonge alors, s'étire, se tord et finit par se transformer en un immense marteau de combat noir. Ce marteau à taille non-variable (c'est important de le dire ^^) provoque, si l'utilisateur le désir, une explosion à l'impact. Plus le manipulateur concentre de reiatsu à l'intérieur, plus l'explosion sera importante. La limite est donc le reiatsu du possesseur, et la façon dont il l'utilise (un méga gros big bangpar exemple le viderait de son énergie, donc c'est pas une très bonne idée de lancer ça en début de combat. Bien entendu y'aura pas de méga big bang, c'est juste une image de gros boom xD).
Point à souligner, Misui n'a pas besoin de sortir le zanpakuto de son fourreau pour activer le shikai, c'est un peu comme une fusion des deux.

Après le shikai vient le bankai. Même si pour le moment ce n'est pas vraiment d'actualité vu que je ne pense pas l'avoir directement, je vais quand même le décrire içi pour avoir un avis du staff et parce que c'est comme cela que je le conçois pour le moment.
Donc le bankai ! Première chose, Misui prononce la phrase "Extermine ! Soyokaze !". Étrangement, la forme du marteau ne change pas (on voit juste l'apparitions de glyphes décoratives sur les cotés plats du marteau). Ses propriétés, en revanche, oui. En plus de créer des explosions à l'impact variant selon la dose de reiatsu que l'utilisateur concentre en son sein, le manche du marteau peut maintenant s'allonger et la tête peut grossir jusqu'à atteindre une taille parfois titanesque. (Bon pas autant que l'image du titan que l'on se fait. Mais j'aime en faire trop. Surtout avec les titans et puis je vous avoues que un marteau boum boum qui fait la taille d'un immeuble ça serait la patate atomique =D mais je doute que le staff accepte xD) Les explosions produites ne sont alors plus uniquement dépendantes du reiatsu de l'utilisateur, mais aussi de la taille du marteau !


Histoire : (25 lignes au minimum)



Spoiler:



C'est bien fait pour ta gueule, tu n'es qu'un petit salaud. En même temps, qu'est ce qu'il t'as pris ? Tu le savais, tu le savais pourtant que cette voie ne te mènerai qu'à cette scène... Après tous ces combats, toute cette peine, après ce maigre brouillon de vie, te voila allongé au sol, bercé dans une flaque rouge dans une ruelle sombre et sale puant la mort et la pisse. Heureusement que d'ici tu peux voir les étoiles. Tu n'avais jamais pris le temps de regarder les étoiles avant, et il aura fallut la froidure d'une lame au sein de ton ventre pour que tu contemple enfin la simple beauté de la nuit, que tu écoute ce silence qui berce les âmes et leurs corps démunis face au temps qui avance, maintenant sans toi. C'est tout de même étrange ce petit sourire que tu nous tire. Te moquerai-tu du monde ? ou bien de toi même ? Du fait que personne ne fera jamais attention à la mort d'un pauvre petit revendeur de drogue ? Quelqu'un prendra-t-il d'ailleurs seulement la peine de te creuser une tombe convenable ? Vingt ans et te voila déjà froid comme un cadavre, sans famille, sans ami, voici le point final au livre de ton existence, marqué par une vente de drogue qui a mal tourné. Heureusement, pour te consoler, te voila bordé par des millions d'étoiles au fond de ton caveau.



Spoiler:



Cela faisait quelques années déjà que tu traînais tes pompes dans la poussière du Rukongai à airer de sales affaires en sales affaires. On ne change pas sa nature profonde, même après la mort. Les vieilles habitudes sont toujours celles qui s'installent le plus rapidement, même dans l'après-mort. T'intégrant très vite dans le "milieu", tu riais maintenant des vivants qui s'imaginaient un paradis après la calanhe. Parfois même du t’esclaffais en pleine rue à gorge ouverte. L'existence était une jolie petite vénus des trottoirs avec un humour plutôt sadique ... Mais cela t'allais bien. Reprenant le buisness, l'après-vie se présentait plutôt bien au final. Un petit appartement, le quotidien s'installait tranquillement avec quelques bagarres écarts de conduite. De plus en plus influant dans le trafic de divers substances le cours des choses te poussait à t'associer pour plus de sécurité et un plus gros réseau encore.

Cinq ans plus tard, tu étais le leader d'une petite bande de malfrats qui vivaient de racket et de ventes bizarres. Toujours ton sabre en main, personne ne savait réellement où tu l'avais trouvé. Certain disaient que tu l'avais volé, d'autre que quelqu'un te l'avais donné en signe de soumission, mais la réalité était tout autre.
La scène se passait sous une lune claire, blanche tant qu'on dirait qu'elle est malade. Un cadavre dormait sur le sol et non loin, des gouttelettes de sang glissaient sur ta main pour aller s'écraser sur le sol dur et froid. Le premier être que tu tuais. Malgré l'immoralité de ta personne, ce n'était pas un tueur qui avait habité ce corps jusqu'à cette nuit. Le sabre de l'ennemi en main, tu rengaina cette lame qui ne reverrai plus jamais la lumière du jour.
Depuis cette aventure, tuer était une finalité à laquelle tu te refusais le plus souvent. Mais dans la vie on fait ce qu'on peut, pas ce qu'on veut. C'est toujours avec un visage triste que tu exécutais le danger de ces ennemis à la seule force de [en cours]



Spoiler:


(paragraphe en cours)



Spoiler:



T'as la défaite amère, sur la vie de ta mère ! Criminel depuis le minitel et te voila maintenant en salle de réanimation, de nouveau à moitié crever après ton premier affrontement contre ce foutu hollow qui avait oser traîner ses fesses jusqu'au Rukongai. Heureusement que les shinigamis étaient arrivaient à temps ! Et même si cela te faisait mal de l'avouer, tu te sentais redevable envers eux de t'avoir éviter une deuxième mort encore plus violente et c'est ce sentiment qui te poussa à passer par la fenêtre pour t'échapper de cet endroit où l'on te demandera certainement des comptes. Surtout qu'ils ont du fouiller dans ton passé, mener une petite enquête sur ta personne et donc tu te sentais plus en sécurité à fuir une ombre inconnue dans les rue en laissant ta marque sanguine sur le sol plutôt qu'à attendre la sentence de ces foutus militaires dans ce lit des plus propre. Vivement le bistrot le plus cradingue de ton cieux quartier miteux ! Là bas au moins, personne ne viendrai t'emmerder. C'était devenu tellement habituel de te voir couvert de sang et de bandage que personne ne poserai une seule question. Surtout que tu avais une franche envie d'alcool. un besoin irrépressible même ! De l'alcool et des femmes que diable !! Voila ce qu'il te fallait pour reprendre des forces et du moral. Ton vieux sabre en main, un bandage sur l'oeil, il ne leur fallut pas beaucoup de temps pour s’apercevoir de ta disparition et surtout pour te retrouver. A peine dix minutes de course-poursuite et voila déjà acculé contre un mur, le visage tordu tel une bête prête à dévorer tous ceux qui oseraient s'approcher. les shinigami quant à eux, n'avait pas l'air de vouloir en découdre et parlait d'une voix calme et tranquille. Pipeau et flûte de bois ! Distance de sécurité et puis c'est tout ! d'ailleurs l'un de ces gentils petits soldats décida de franchir la limite. Il reçu illico presto un terrible coup de fourreau en plein milieu du visage accompagné par un cris de rage et de douleur de ta part. Le mouvement avait été plutôt inattendu et le bonhomme tomba au sol, une terrible bosse amortissant tendrement la chute. premier et dernier acte de résistance puisque le reste se jeta immédiatement sur toi pour maîtriser cet animal blessé en fuite. De retour à l’hôpital et sous bonne garde, tu restai à attendre toutes les journées jusqu'à ce qu'un fonctionnaire face son apparition dans ta vie.

- Bonjour monsieur, je me présente : Hitoru Kanashi. L'homme qui venait d'entrer était brun, de taille moyenne, le visage orné d'un petit sourire sympathique. Le premier mot qui venait à l'esprit lorsqu'on l'apercevait était "poli". Rien de plus, rien de moins.

T'as vraiment une sale gueule ... Comme à ton habitude, ce fut une réponse rapide et fracassante qui sorti de ta bouche. Une tronche de six pied de long avait accueillit l'étranger avec une seule envie : son départ.

- Merci bien monsieur ! D'ailleurs monsieur comment ? Le pauvre type ne se débina pas pour autant et conserva son sourire gentillet, presque nié pour monter qu'il n'allait certainement pas rentrer dans ton jeu.

Monsieur j'veux pas t'parler tête de noeux.

- Un réfractaire hein ? Vu vos antécédents vous devriez peut être faire profil bas car c'est la prison qui vous attends, Itaru Musui. Le visage toujours plein de bonté, le ton de sa voix avait pourtant changé et s’alourdit soudainement de menaces sous-entendu.

T'es v'nu jusqu'ici pour m'dire ça ? Ahah t'aurai mieux fait d'rester au lit c'matin. C'ta femme qui doit pas être contente. Quoique vu ta tronche ...

- Nous ne sommes pas ici pour parler de moi, mais bien de vous. D'ailleurs, parlons un peu de vous. C'est assez spectaculaire de voir une âme normale faire face à un hollow avec un vieux sabre rouillé et survivre autant de temps. Comment avez-vous fait ? Et où l'avez vous trouvé, ce sabre ?

J'ai mis un coup de pompe dans un arbre et il m'est tombé dessus comme par magie. Ça t'va comme explication ?

- Je m'en contenterai ... Bon écoutez, je vois que tourner autour du pot ce n'est pas trop votre genre donc je vais être clair et net. Le Seireitei vous propose d'intégrer son école de shinigami. Quelqu'un sans entraînement capable de tenir tête à ces monstres peut devenir un atout pour nous si on lui inculque les bases du combat militaire.

Et j'y gagne quoi, moi, dans tout ça ?

- Une chance de racheter vos erreur, de devenir quelqu'un de bien et de montrer à tous que quiconque peut changer et s'améliorer !

... Ce silence ainsi que ta face de blazé fut beaucoup plus parlante qu'un long discours. Devenir quelqu'un de bien t'était complètement égal, surtout s'il fallait se coltiner ces petits samaritains toute la journée. Plutôt croupir en cabane !!

- Et vous évitez aussi la prison. Le pauvre homme ne s'imaginait même pas à quel point il se trompait de route avec toi. L'unique chose qui pouvait te motiver était l'argent. Heureusement que tu ne perdais jamais le Nord.

C'est bien payé, Shinigami ?



Spoiler:


(paragraphe en cours)

Au cas où vous vous poseriez la question, nous vérifions en résolution 1024*768 (ça tombe bien, je me posais justement la question :PP)

Bonjour et bienvenue.

Comme le précise le règlement, nous interdisons l'usage d'une police autre que celle de base hormis pour les dialogues. Ceci vaut également pour les présentations. Je te demanderai donc de bien vouloir modifier ce point. De plus, je crois comprendre que Musui est le prénom de ton personnage ; or, nous exigeons que les pseudos soient mis dans le sens japonais, donc nom d'abord et prénom après. Il va donc te falloir modifier le tien comme tu peux le faire toi-même par le biais de ton profil.

Bon courage pour finir ta présentation et à bientôt !

Cette présentation est-elle encore d'actualité ?