Nouveaux lever de soleil, nouvelle journée qui commençai. De manière très contrasté avec la fin de la soirée d'hier. À laquelle où j'étais parti dans une salle de jeu avec un déguisement fait maison. Sinon, cela ferait longtemps que je ne pourrais plus battre les cartes ou jeter les dés dans les casinos. Pourquoi ? Tout simplement que je ne perds jamais. Il faut dire que tous ces messieurs n'apprécient guère qu'un joueur les soulages de leur crédit en trop et que ce joueur fasse sauter toutes les banques à l'occasion. Et si en plus il pense ou savent que vous trichez, moi je préfère dire que j'aide ma chance. Une fois empocher les gains, mieux vos sortir par la porte de derrière, la voix officielle étant sujette aux mauvaises rencontres. Bien sûr qu'il vous recherche, mais attraper un gars qui se sauve de cette façon depuis deux cents vingt ans, sans se faire prendre. Vous pouvez toujours courir pour me chopper.
Pour revenir au réveille, lorsque que l'on dit il y a des jours avec et d'autres sans. Là je n'en dirais rien, dans un élan respirant le ramolli fulgurant je parviens à déraper sur ma pantoufle. Ce qui m'oblige à rattraper à pleines dents ma table basse. Un ami que je n'ai pas l'habitude d'entendre mon réveille matinal. Normalement je l'éteins machinalement une fois sorti de mes songes. Hors l'incident ne me l'ayant pas permis, la surprise me donnant un sursaut permettant une dernière embrassade du front de mon meuble fétiche. Le karma se contant de peu, je n'ai pas eu d'autre bricole insolite dans ce début de journée. La routine reprenait en rajoutant des grommelant de maux de crâne.

L'ordre qui met adressé dans la missive est simple. Allez à la quatrième pour chercher les traitements pour trois individus malades. Possibilité d'avoir des instructions supplémentaires une fois sur place. En général, cela signifie qu'il y en aura. Pour conclure avec l'habituelle « revenir une fois fini pour prendre de nouvelles directives ». Arrivé à la quatrième, je remis l'ordre de mission à la secrétaire. Toujours la même demoiselle qui me reçoit, vu la fréquence de mes dernières visites, elle doit se souvenir de moi à force. Me distribuant les traitements des patients et quatre documents. Trois petits pour les malades et un peu plus épais pour le capitaine. Elle m'indiqua comment les patients devaient appliquer leurs traitements, le temps que cela allait durer et aussi les recommandations si ça perdurait. Seulement pour m'expliquer qu'elle vient de me retranscrire le contenu des documents à l'orale. Étourderie ou ordre des ses supérieurs pour éviter que je feuillette les fiches ? Casse la tienne, avec l'itinéraire de retour, il me sera possible de voir leur contenue et sans me faire griller.

Quelque minute plus tard sur le chemin du retour, la curiosité me démangea. Comme il est simple comme bonjour de lire des documents sans que personne ne sans rend compte, je n'allais pas me gêner. Marchant toujours, je me retourne pour repérer d'éventuels voyeurs. En voulant regarder à nouveau le chemin et les documents. Je vis juste deux yeux mi-clos en gros plan qui me percuta de pleins fronts. Visiblement le destin souhaité se payer ma tête. Grâce à la dynamique de mon geste précédant et mon battement des bras, je suis parvenue à éviter de tomber sur les fesses. Me tenant le visage en grognant des mots dans ma barbe.

- Ah, milles, monsieur. Je ne vous avais pas vu, stupide imbécile que je suis, et j'espère ne pas vous avoir blessé. Je suis prêt à supporter toute punition que vous jugerez bon, après tout je ne suis qu'un pauvre soldat....

Et bien avec le gars m'a l'air super joyeux. Il ne serait pas au bord de la dépression ? Pas que je sois philanthrope dans l'âme, mais mieux vos éviter d'enfoncer se pauvre gus dans les abysses. Surtout que ce n'est pas moi qui dois ramasser mes feuilles par terre. Par courtoisie je me décide de l'aider.

Sans vouloir vous offenser, pour que l'on se percute il faut être deux. Ce qui signifie que si vous êtes un imbécile je le suis également. Ça nous arrive à tous d'être parfois étourdi. Je ne vous ai pas plus vu que vous et... je marque un silence en pointant du regard son insigne à l'épaule. Simple soldat ? Alors que vous avez le garde de vice capitaine et en plus de calmer que vous puissiez être punie par le premier venu ? Vous avez un humour très particulier ou une humilité d'esprit la plus impressionnante de tout le sereitei. À moins que vous cogniez régulièrement des capitaines ?

Répliquant avec mon éternel petit sourire de conversation, j'observais que le badge a le signe de la dixième. Si je ne connais pas encore le nom de ce vice capitaine, c'est qu'il a reçus sa promotion depuis peu. En temps normal je serais déjà loin une fois toute cette feuille rendue et une petite formule de politesse pour se quitter. Sauf qu'il a éveilliez mon intérêt pour sa personne. Comment un type qui semblant plongé dans une mélancolie pareille (avec qui, il ne vaut mieux pas avoir de tendance suicidaire, car on ne passerait pas la journée avant de commettre l'irréparable) à t-il put obtenir un grade aussi élevé ?

Dite moi cela ne fait pas longtemps que vous êtes promu si je ne me trompe ou vous êtes dans une mauvaise période ?

Je connaîtrais le fin mot de l'histoire et surtout comment un capitaine a voulu le prendre comme second. Il y a une raison et j'aimerais la découvrir.

Oh excusé moi à mon tour je ne me suis pas encore présenté je m'appelle Arata Chansu.

Pincez-moi je rêve ce gars ne peut pas être vice capitaine. Je veux bien que certaine situation dans ce genre puisse être ridicule, mais delà à sautilliez sur place et m'afficher une tête "de bon sang comment je me sors d'ici". Un peu plus de prestance enfin pour un gars qui représente son secteur. Puisque des shinigamis qui se rabaisse plus que ce qu'on leur demande j'en ai vu. Qui ne voit même pas à quel point ils sont hors norme, j'en ai vu. Qui manque de confiance en eux alors qu'ils en sont plus que capables, j'en ai vu aussi. Part contre celui-là il remporte le pompon. De part le reaitsu qui émane de lui, dire qu'il s'envolera comme une feuille morte en les frôlant de dix mètres ! Il est pas lourd à premiers vu d'accord, mais là il force. J'aimerais bien savoir à quoi ressemble sa vision du niveau des taisho, car pour l'envoyer volé aussi simplement cela voudrait dire qu'ils pourraient faire s'effondraient le sereitei en libérant toute leur puissance ? Encore un détail, se rend t'il compte du poids de ces mots ? Hélas j'ai le sentiment que non. Pour le coup il aurait toutes les raisons de ce méprisés. Alors, le mieux serait encore de réussir à lui parler sans être trop gentil, au risque d'être rembarré par une mauvaise fois à entrer dans le livre des records et pas trop brutalement sinon je vais le perdre. Sauf que ce matin-là, je ne peux me permettre de me torturer les méninges trop longtemps. Je vais te le secouer.

Insinuerez vous que le capitaine Igarashi ne serait pas capable de déterminer correctement les compétences de ces hommes ? Ou vous sous-entendez indirectement qu'il la choisie le plus doué de ses misérables vermisseaux ? On peut donc en déduire que la dixième division est l'une des plus mal dirigés. Je plains votre division d'être dirigée avec si peu de conscience.

Laissons le mijoter et voir sa réaction. J'espère avoir la réaction d'un véritable vice capitaine et non pas le champion toute catégorie de la mauvaise foi aiguë. Cependant, je fais quoi s'il déprime davantage devant moi ? S'il tente te faire seppuku ? Vaux t'il mieux qu'il nous débarrasse d'une larve insignifiante ou que je l'empêche de ternir l'image de sa division ? Minute en quoi la dixième elle m'intéresse ? Faudrait que je sonde les lieux avec ma détection pour voir s'il y n'a pas quelqu'un. Si ce n'est pas le cas alors je peux le laisser faire et me tirer. Au pire je trouverais un moyen de justifier que je n'ai rien fait ou pu faire.

Ce que je voulais vous signaler et de mieux peser vos dires. Même si l'image de votre personne est pitoyable en ce qui vous concerne. Avec ce badge à votre épaule ne renvois pas l'image d'un shinigami lambda. Étant le bras droit de votre capitaine vous portez l'emblème de la dixième aux yeux de tous.

Une prière pour ramener ce camarade dans le monde des joyeux vivant, ou simplement vivant pour commencer.

Décidément, voilà pourquoi Taka détestait converser. Comme d'habitude, ses propos étaient pris au premier degré, et voilà que Chansu lui déblatérait tout un laïus sur le Capitaine Igarashi et la Dixième, bien mal représentée par quelqu'un de son acabit. S'il s'imaginait que tout le monde là-bas était comme le blond, il se mettait le doigt dans l’œil jusqu'au coude, mais bon... Cela dit, le Vice-Capitaine ne put s'empêcher de frémir en entendant parler le petit brun. Certes, c'était sûrement dit sur le ton de la boutade, mais ses propos pourraient le faire condamner. Certes, c'était ironique venant du seul Vice-Capitaine qui faisait une publicité négative à sa Division, mais bon... Enfin bon, il s'agissait de lui répondre, désormais. Il s'était trop avancé dans la conversation pour pouvoir partir en courant. Il ricana nerveusement, puis réalisa que ça ne faisait pas avancer les choses, cette politique de l'autruche. Que faire, que faire? Ah vraiment, il détestait tomber sur des gens à l'improviste. Lui, si introverti, lui qui aimait tant pouvoir planifier correctement les choses... On n'avait de cesse le prendre par surprise, depuis son accession à ce poste. Cependant, il avait une dignité à tenir. Elle était déjà bien entamée, autant essayer de contre-balancer l'impression qu''il allait laisser à son interlocuteur. Se campant solidement sur ses pieds, il lui fit face, et commença à parler d'un ton ragaillardi:

- Voyez, je me suis mal exprimé, vous comprenez tout de travers. Pas étonnant, venant de quelqu'un comme moi... Oups, ce n'est pas ce que je voulais dire. Bref, reprenons du début, si vous le voulez bien. Je suis Kazegai Taka, Vice-Capitaine de la Dixième Division, intronisé à ce glorieux poste par le capitaine Igarashi Shu il y a de cela quelques jours. Il m'a choisi pour ma diligence à la tâche, mon empressement aux missions, et mes capacités au combat qui n'ont rien à envier à mes confrères de la Dixième, et du Gotei 13 largo sensu. J'étais sur le chemin des quartiers de la Quatrième pour y déposer ce rapport quand je vous ai malencontreusement heurté, perdu dans mes pensées. Je ne m'attendais pas à croiser quelqu'un à une heure si matinale. Et...

Taka se tut soudainement, serrant ses lèvres, comme pour les fermer hermétiquement, et adoptant une grimace qui évoquait la moue pincée. Sa face vira au rouge, et il cacha son visage derrière ses mains. Trop d'efforts surhumains d'un seul coup. Dommage, sans cette crise, il aurait été convaincant et convaincu dans son rôle de Vice-Capitaine. Mais là, ça gâchait tout ce qu'il venait d'éventuellement gagner comme gallon aux yeux d' Arata. Diantre. Pourquoi fallait-il que le "Chassez le naturel, il revient au galop." persiste à être aussi immuable? Il baissa ses mains, posant ses yeux clos sur Chansu. Comment se tirer de ce guêpier. Et puis, il s'aperçut que dans son empressement à se cacher de ses mains, il avait de nouveau fait tomber son rapport. S'il était déjà rouge, il vira à l'écarlate, et s'agenouilla, ramassant les diverses feuilles à grands renforts de gestes hâtifs. Une fois sa tâche accomplie de nouveau, et en espérant qu'il n'allait pas signer pour une troisième édition, il se redressa et lâcha un ricanement de gorge qui ressemblait au cri plaintif d'un petit animal perdu, avant de s'exprimer de nouveau:

- Et sinon, Chansu-san, qu'est-ce qui vous amenait ici?

Réussit ou échec ? J'avais réussi à faire réagir et dans le bon sens ce vice capitaine, dont je connaissais enfin le nom. Cependant, il est très fort, réussir à s'enfoncer tout en glorifiant les membres de sa division et son capitaine. En restant plausible dans ses dires, avec l'allure et la prestance que l'on n'attend un Fukutaishô. Si j'en avais un, je lui tirai mon chapeau. Malheureusement la démonstration ne dura pas, il n'est sans doute pas encore bien dans son rôle ou était simplement d'un naturel très réservé. Son exploit est de me rendre également mal alaise pour lui, même s'il n'y paraissait en rien vu de dehors. Il est étonnant de constater qu'il a coupé de façon si nette sa réponse, comme s'il ne pouvait pas poursuivre au-delà. La situation ne manquait pas d'originalité en plus de rester cocasse d'un point de vue externe. Cela est une premières pour moi d'être fixé par quelqu'un qui me regarde les yeux fermés. En combinant ses lèvres traduisant son gène et son teint de tomate, j'imagine la tête mémorable qu'il afficherait avec les yeux ouverts. Rouge qui devient pâle au moment où il laissa échapper ses documents à nouveau au sol. Les ramassant avec une célérité plus impressionnante qu'à la première tentative, battra t'il son record à la troisième représentation ? Se redressant en extirpant un gloussement de détressé, avant de me poser une question.

Tout d'abord, avant de vous répondre. J'aimerais vous présenter toute mon admiration. Vous parvenez à vous trainer dans la boue en solitaire, tout en redorant le blason de votre secteur et de votre supérieur. C'était un plaidoyer dans la matière de haute volée - comme sa mauvaise foi - uniquement ternit par votre timidité handicapante pour la conversation. Je suis convaincu que malgré ce défaut, vos autres compétences pour la plupart sont du niveau de votre mauvaise foi - pas totalement sinon il serait plus puissant que le sotaisho - Pour votre gouverne je détecte assez bien les reaitsu et je peux vous le certifié que votre niveau dans ce domaine est égal à la grande majorité des capitaines. En ce qui concerne ma présence en ce lieu. On m'a consigné d'aller chercher des médicaments pour des malades de notre division, pas d'inquiétude vous ne retarder en rien les soins. Leur traitement commence dans deux heures il me faudra bien moins de temps pour revenir à la deuxième.

Si j'avais eu le malheur de sous-entendre qu'il me ralentissait alors que ce n'est absolument pas le cas. Je crains qu'il reparte en dépression. Au final, aura t'il besoin de moi pour insinués quoique se soit ? J'en doute au vu du mélodrame.

Je voudrais vous rassurer sur un point. Je ne toucherais point mot à quiconque de cette entrevue. Si on apprenait qu'un ninja a percuté sans le vouloir un vice capitaine qu'il aurait dû apercevoir arrivé au loin. Non seulement j'attirais de possible raillerie envers moi et les mes camarades sur nos compétences de détection. Sans oublier la publicité indésirable que cela pourrait causerait à l'Onmitsukidô.

Une impression étrange m'envahit, comme si je m'étais collé une balle dans le pied tout seul. Souhaitant alors éviter qu'il se décrédibilise, je sens que je lui est donné de nouvelle perche pour ce flageller.

Bon inutile d'essayer de le mettre en confiance, les flatteries ne marchent pas et il parvient même à encore se rabaisser. Je devais reconnaître qu'il y avait du progrès, la barre était descendue. Enfin oralement parlant si j'ose dire. Son corps exprimé à sa place son désarroi avec son doigt qui jouait avec ses cheveux et son sourire timide et de sa voix chétive. L'avantage est qu'avec les personnes timoré est le grand nombre de porte de sorti et d'entrer qu'elle laisse à chaque échange verbal.

Me voilà confiant au moins pour la suite de cette histoire. Je suis certain qui vous êtes homme de parole et de rigueurs, sans quoi jamais vous ne serviez pas parvenu à la position qui est la vôtre aujourd'hui. Je ne vous connais pas encore très bien, mais la certitude est qu'il y en a en vous un plus en comparaison de vos camarades. Sinon, comment expliqué le chois du capitaine Igarashi Shu.

Celle-là tu n'allais pas y échapper mon bonhomme. Je curieux de voir la façon dont tu vas t'enfoncer cette fois. Vas-y surprend moi, pour aujourd'hui je n'attends que ça de t'a personne. Faudrait que je fouille dans ma mémoire si j'ai déjà rencontré une personne capable de se dénigrer à ce point, sans le moindre effort apparent ? Cela ne serait pas très encourageant pour le gradé, mais comment ça j'aurais un petit classement personnel pour rigolé tout seul dans mon coin. Cependant, aucun doute ce gars tien une très bonne place dans le domaine.

Je crains devoir vous laisser vice capitaine Kazegai Taka, merci pour cet échange matinal. Bonne journée, j’espère sincèrement que vous ne ferais plus de rencontre aussi brusque que la nôtre. Vous éviterez alors de gaspiller un temps très précieux.

Allez un petit coup encore pour enfoncer le clou, sur une pointe d’ironie. Le pire est que je reste dans un cadre normalisé de politesse. La question suivante est comment fait-il pour se supporter toujours les jours avec une mentalité pareille ? Je félicite par ailleurs tous les membres de sa division pour ne pas avoir cédé à la déprime de leur mélancolique supérieure. Bon ce n'est pas tout, mais j'ai des traitements médicaux à distribuer.

[Désolé du retard, même si techniquement tu ne m'attendais pas.]

Enfin, le brun prenait la bonne décision: partir, partir et laisser Taka seul avec sa solitude et ses maussades réflexions matinales. Non pas sans une dernière fournée de compliments déguisés en reproche, toutefois. Le blond ne s'expliquait pas comment les gens faisaient pour l'apprécier autant. Peut-être parce qu'il était humble, très humble... Ou tellement amer à son propos qu'être avec lui vous donnait un coup de boost au moral. Il observa le petit brun s'éloigner rapidement, puis s'autorisa un soupir, posant sa main libre sur sa poitrine. Lui aussi avait à faire, ce matin. Et il n'avait que trop tardé. Surtout qu' Asuna n'avait pas pour réputation d'être très gentille avec les traînards. Avec un peu de chance, il n'aurait pas à la croiser. C'est ce qu'il espérait. Vu ce qui venait de se passer, il ne se sentait pas prêt à affronter l'éminence grise de la Quatrième Division. Les vermisseaux de son espèce ne s'entendaient pas avec les femmes de sa stature, en général. Vérifiant quand même que son rapport était complet, il inspira un grand coup puis reprit sa route d'un pas rapide, ses sandales claquant contre les pavés gris du Seireitei. Trop de responsabilités, vraiment.

Alors qu'il progressait d'un bon pas, il observait derrière ses paupières closes le monde qui s'éveillait: les gens qui maugréaient qu'ils avaient mal dormi, les volets qui s'ouvraient, les lève-tôt déjà attelés à l'entraînement... Une vraie petite fourmilière que le Seireitei, où chaque Shinigami avait sa place, aussi insignifiant soit-il. Dans cet immense canevas, Taka commençait à creuser la sienne, peu à peu, surtout depuis qu'il était Vice-Capitaine de la Dixième. Au fond de lui, il le savait, même s'il ne l'admettait qu'en présence de Shu-taisho, et encore, c'est parce que dans le cas contraire, le Visard lui tirait les oreilles. Et donc, rapporter les rapports faisait partie de son travail... Mais ça ne le rendait pas plus amusant.