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 Amarok Lenno. [100%]

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Alcaraz
Amarok Lenno. [100%] Arr-fra
Alcaraz
Messages : 211
MessageSujet: Amarok Lenno. [100%]   Amarok Lenno. [100%] Icon_minitimeMar 4 Fév - 0:52

Avatar : Philly the Kid.
Parrain : Personne.
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Amarok Lenno

    Âge : 173 ans.
    Race : Arrancar de base Adjuchas.
    Rang demandé : Novena Espada.

    Description de votre personnage :

    De l'humain au hollow, ce ne sont pas les changements flagrants qui se sont fait nombreux. Du temps où il n'était qu'un éleveur de bétails, traversant les grandes étendues à cheval, il n'avait déjà pas un physique très soigné. Rares étaient les moments où il se lavait, inexistants ils le sont, à présent. C'est que l'environnement où il a évolué pendant si longtemps ne l'a pas vraiment aidé. Il est devenu une bête, et si désormais il arbore les traits du mortel qu'il était autrefois, il n'en reste pas moins un monstre à l'allure humanoïde. Atteignant facilement le mètre quatre-vingt-six, pour une masse s'approchant des quatre-vingt kilos, il n'a clairement pas la carrure d'un combattant à mains nues.

    Si ses muscles sont facilement visibles à travers le tee-shirt moulant, blanc à bandes rouges, qu'il revêt, ce n'est rien que l'on pourrait qualifier d'exagérer. Ce qui étonne ses semblables, c'est qu'il ne se présente pas plus menaçant ou impressionnant, alors que sa résureccion est activée en permanence. Ne subissant que peu de changements physique, le plus important étant celui de son arme et non le sien. Sa tenue vestimentaire suffit à elle seule pour, de toute manière, faire du Lenno quelqu'un d'unique. En souvenir du bon vieux temps selon lui, il ne s'est pas détaché de ses anciennes habitudes. Un œil un tant soit peu attentif remarquera ce style de cowboy qui le caractérise.

    Et en premier lieu, l’indélogeable stetson, d'une unique teinte, ébène, reposant sur sa longue chevelure châtain, qu'il ne quitte que rarement. Vint ensuite se loger entre ses dents étrangement d'un blanc éclatant, une cigarette, d'une marque quelconque, cette dernière changeant constamment, la source de l'Arrancar étant la terre et ses nombreuses villes, difficile de retrouver les mêmes à chaque fois. Non, l'idée ne lui est jamais venu à l'esprit de retourner au même endroit que le précédent... Notons également la paire de gants en cuir surplombant une séries de bandages aux mains et poignets. Pour le bas, un pantalon solide que des chaparreras, jambières en gros cuir, chevauchent.

    Une paire de santiag, style western, inévitable, possédant des éperons à bouts ronds au dos. Quelques petits détails supplémentaires au niveau de l'équipement, comme la présence d'un ceinturon bicolore. Deux bandes dorés présentes en bas et en haut tandis qu'une autre bande marron sépare les deux premières. Un dernier détail, cet étrange tatouage sur son bras gauche. Des chiffres bleus aux contours blanc, sans aucune signification particulière, du moins apparente. C'est presque cela. En réalité, ces chiffes sont là pour fondre dans la masse celui concernant son rang dans l'Espada, d'Amarok. Il ne supportait tout simplement pas l'idée d'être marqué comme une vulgaire bête.

    Psychologiquement, l'individu est particulier. Turbulent serait un des quelques adjectifs qui correspondraient pour le définir en un mot. Car du bruit, il en fait, beaucoup. Parfois trop. De l'agitation, il en cause énormément, jamais assez selon lui. Il faut savoir qu'il a passé cent années de son existence en tant que Hollow à s'amuser, tuer, chasser, se battre, déconner, tout cela et uniquement cela. Le travail, il ne connaît pas, ou plus depuis qu'il est mort. Il ne prend jamais les choses aux sérieuses, ce qui a tendance à lui valoir le droit de ramasser des claques, ou plus. Lourd, il peut l'être s'il n'apprécie pas ou trop la personne avec qui il interagit. Les ordres le font grimacer, ou éclater de rire, c'est selon. Voir le mettent en rogne, quand ils sont complètement stupides ou émanant d'une personne ridicule.

    Et n'allez pas croire que l'animal s'améliore lorsqu'il est plongé en plein combat, oh non...


    Description de votre pouvoir :

    ¡Grita, lobo solitario!
    Cette phrase prononcée, Amarok libère son pouvoir, subissant également quelques changements au niveau de son physique. Ses dents deviennent celles d'un prédateur affamé, aiguisé comme des lames de rasoir. Des griffes se forment au bout de ses doigts, et de la fourrure fait son apparition tout autour de son cou.

    Le pouvoir d'Amarok marche sur un principe de répulsion. C'est à dire qu'il peut, avec ou sans contact, repousser toute chose le menaçant, attaque physique ou source d'un pouvoir. Il peut également l'utiliser comme moyen offensif, pour propulser ses adversaires contre des surfaces, ajouter de l'impact à un coup etc.

    Autre détail à noter, son zanpakutô change également de forme, passant d'un basique katana à un winchester, aux dimensions supérieures à celles d'un fusil humain, blanc orné de motifs rouge.


Histoire :

La vie avant la Mort.


Spoiler:

Texas, au beau milieu des Grandes Plaines, 1864.

Le bruit caractéristique d'une dizaine de sabots de chevaux martelant la terre des plaines retentit sur des kilomètres à la ronde depuis maintenant une bonne dizaine de minutes. Ils arrivent. Déterminés, sans doute exténués par cette poursuite qui a trop duré déjà, irrité également. Amarok le serait aussi s'il avait dû se lancer aux trousses d'un pauvre gars pendant plus de trois longs mois. Trois mois. Trois putain de mois qu'il tentait d'échapper à ces hommes, sans succès. S'il s'attendait à ce qu'on tente de lui trouer la peau pour ce qu'il avait fait, il aurait cru que la détermination des volontaires se serait évanoui après que les premières semaines soient passées. Qui traverserait la moitié du pays pour récupérer un infime morceau bétail, quand il en disposait d'un nombre incalculable à côté ?

A moins que ce ne soit pour elle qu'ils se donnaient autant de mal ? L'esprit du cowboy carburait à fond depuis quelques jours maintenant, sans parvenir à trouver une conclusion satisfaisante. Soit c'était de sacrés connards dont le patron ne lâchait pas une bête, soit il tenait réellement à elle, contrairement à ce qu'on racontait en ville. Toujours est-il qu'aujourd'hui, lassé de jouer le gibier, le mexicain avait pris la décision de leur faire face, à ses américains. Son fidèle winchester en mains, dont il ne se séparait plus depuis qu'il l'avait dépouillé du cadavre d'un shériff, le regard scrutant l'horizon. Direction où se dessinait les silhouettes humaines, chevauchants à vive allure vers le campement installé la veille, tard dans la nuit. Le soleil venait de se lever il y a une heure, tout au plus, Angellica dormait encore.

Ramenez-vous, hijos de putas.

Amarok Lenno, originaire du Mexique, né au Texas, dont le père est décédé dans la guerre d'indépendance, et la mère, violée au cours de celle-ci, fut arrachée au bras de son fils, n'a pour ainsi dire, pas eu l'enfance dont tout le monde rêve. Recueilli par une famille d'éleveurs de bétail, c'est auprès d'eux qu'il découvrit les rudiments du métier qu'il ferait pour le restant de ses pauvres jours. Entre-temps, il se retrouva à prendre les armes, tentant de défendre l'indépendance du Texas, sans succès, puisqu'ils furent défaits. Survivant, il ne fallut pas moins dix années avant qu'il ne soit appelé à retourner sur le champ de bataille, cette fois contre les États-Unis eux même. Deux ans de guerre qui n'eurent pas raison de lui, puisqu'il en réchappa, certes changé, mais bel et bien en vie.

Perdant, encore. Une haine contre l'américain envahisseur se développa naturellement, l'amenant rapidement à devenir un hors-la-loi. Dès lors, il voua son existence à faucher les troupeaux d'éleveurs américains, qu'ils soient aussi inoffensifs qu'un moustique ou non. De son premier colt, à son winchester d'aujourd'hui, il fit verser le sang de chacune des personnes qu'il dépouillait. Ce qui lui attira à plusieurs reprises le droit d'être traqué par des chasseurs de primes, ou encore d'être la cible, dans un saloon, d'une fusillade visant à l'éradiquer de ce monde. Parfois blessé, jamais sérieusement, ni même mortellement, il rencontra d'autres bandits avec qu'il partagea quelques aventures. Ou qui devinrent des compagnons de cellule, ainsi que d'évasion.

Finalement, étant un homme à qui on ne pouvait jamais faire confiance, sous peine de recevoir une balle en pleine tête la nuit, et de le voir se tirer avec les dollars volés à la banque, il se retrouva à faire cavalier seul. Ce qui, connaissant le personnage, ne l'affecta pas le moins du monde. C'est qu'il était aussi insupportable qu'il était un homme de confiance. Voilà comment il en était arrivé à vouloir voler l'un des éleveurs de bétails le plus influent du pays. Mattews Garett. Tout ce serait parfaitement déroulé si, au beau milieu de l'affaire, notre mexicain ne s'était pas distrait à vouloir soulever la jupe de la belle Angellica. Pour évidemment tirer son coup, avec probablement la plus belle femme qu'il n'avait jamais mis dans son lit. Sur un coup de tête, et parce qu'elle s'avérait aussi performante au lit que sa propre personne, il l'avait amené avec lui, dans sa fuite.

Trois mois plus tard, ils étaient tous les deux là, au beau milieu de nulle part, exténué de la sulfureuse nuit passée, elle dormant encore, lui faisant face à son destin.

Z'en avez foutu du temps, pour me rattraper !
Pourriture de merde ! Où est-elle ?!
Qui ? J'vois pas d'quoi tu parles ? Ah si, l'troupeau c'est ça ?!
MA FILLE !
Ta... Oh merde t'avais une fille ?! Aussi calliente que ta femme ?! Et j'ai raté ça...
Qu... quoi ? Que vient faire Angellica dans cette histoire ?!
Bah... c'est un peu elle que t'es venu chercher, non ?
Angellica est en vacances chez sa sœur, dans le Nevada. Je suis venu pour Sarah !
Sarah ? Mais j'sais pas qui sait moi !
Ne te fous pas de moi, chien galleux !
ANGELLICA ! Chérie, viens voir dehors, on a un problème !


La dénommée Angellica, qui n'a même pas pris le temps d'enfiler autre chose qu'une culotte et un haut blanc décidément trop fin, dévoilant sa généreuse poitrine aux yeux de tous, sors de la tente, pour rejoindre le Lenno. Elle vient enrouler ses bras au tour de la taille de ce dernier, déposant un délicat baiser dans son cou, sans même adresser un regard à son mari, Mattews Garett, qui bouillonne de rage. Le malheureux, lui qui pensait récupérer sa progéniture, apprend que sa femme n'est qu'une traînée prête à suivre le premier cowboy qui la fait grimper aux rideaux. Sa réaction est à l'image de son faciès, haineux. Il ordonne à ses hommes d'ouvrir le feu, lui-même portant la main à son colt pour être le premier à loger une balle dans la tête de cette putain.

L'exécution dure une dizaine de secondes, quand finalement le vacarme s'apaise, Amarok comme Angellica sont morts. Les cavaliers font demi-tour, ramenant avec eux le troupeau et brûlant la tente du mexicain. Celui-ci n'a pas oublié de mourir avec le sourire, heureux de son dernier gros coup.

La vie après la Mort.


Spoiler:

Hueco Mundo, Désert de Quartz, 2001.

Une puissante déflagration qui souffle le sable sur un diamètre d'une dizaine de mètres, un décors quasi-inexistant qui vole en éclats, un cratère qui se forme. En son centre, se tient un homme, lorgnant avec dédain la dépouille fumante et sanguinolente de ce qui fut son adversaire. Encore un qui se disait au service du Roi Barragan. Encore un qui se pensait tout permis car il agissait sous les ordres du prétendu maître de ces terres. Encore un qu'Amarok s'était senti obligé d'exploser, pour l'exemple. Barragan, aussi puissant et bien entouré pouvait-il être, n'était pas le maître incontesté de ce désert sans fin. Il y avait encore des sales cons assez fous pour tenir tête à ses hommes et oser le défier indirectement. Et tant qu'il ne viendrait pas lui-même lui faire ployer le genou à terre, il ne lui obéirait jamais.

Cela faisait maintenant plus d'un siècle qu'il était devenu cet être immortel, ou presque. Ce monstre dont la faim grandissante ne pouvait être apaisée complètement. Cette chose guidée par une bestialité rare et une précieuse indépendance. Du frêle petit hollow ne comprenant pas ce qu'il était ni pourquoi il l'était, à cet être dont la puissance pouvait rivaliser avec grand nombre de ces monstres terrés dans les dunes du désert de Quartz, un temps considérable s'était écoulé. S'étant lui-même arraché son masque tout récemment, afin de s'approcher de l'invulnérabilité dont il rêvait, il n'était pas disposé pour l'heure à devenir l'arme de quelqu'un d'autre. Il n'avait encore rien vu de ce monde, n'ayant pas eu la chance de s'aventurer au-delà du Yermo, découvrir le terrain de jeux des grands de son espèce.

De toute manière, rejoindre Barragan ne servirait à rien dans sa potion actuelle, puisqu'il ne s'agissait que de jours avant qu'il ne soit éjecté de son trône par l'étranger. Il était préférable de faire cavalier seul, comme il en avait l'habitude...

Hueco Mundo, Désert de Quartz, 2003.

Putain que c'est foutrement bon quand l'anarchie totale règne ! Yahaaaaah ! Pas de roi de mes deux pour venir te briser les burnes, rien que des bêtes, et la loi du plus fort. J'regrette pas le temps de l'autre péteux d'étranger !

De sa main droite, il arracha un membre à sa proie, désormais morte. De la gauche, il réduisit au silence un hollow agonisant à quelques mètres de là, d'un cero tiré de son winchester. Le visage dégoulinant de son sang, comme de celui d'autrui, il afficha un large sourire satisfait, avant de planter ses mâchoires dans la chair, et d'y arracher un large morceau qu'il avala sans mastiquer. Quelques minutes plus tôt avait lieu ici-même un combat que le Lenno qualifiait d'épique. Imaginez la scène. Lui qui, crevant la dalle, lance la chasse à la première bestiole qu'il détecte. Cinq autres gros bestiaux qui ont la même putain d'idée en même temps que lui. Ils se retrouvent alors les six à se traquer les uns les autres, pour finalement tomber nez à nez ici-même.

Un silence de plomb. Un grognement. Suivi de cinq autres, on tente de s'intimider. Amarok qui arme son arme d'un Cero et qui ouvre le feu, lançant les hostilités. Bataille royale. Un seul survivant. Du sang, des explosions, des cris, des morts. Un grand moment. Et c'est presque tous les jours ainsi, depuis qu'il n'y a plus aucune autorité régissant le Hueco Mundo. Tout le monde pour sa gueule, à s'imposer comme celui ayant la plus grosse, cela entraînement quotidiennement des accrochages dantesques. Il y en a bien qui s'entourent de quelques larbins, en se proclament Empereur ou autre, mais généralement, ils ne font pas long feu. Seuls quelques rares mastodontes parviennent à garder leur tête sur les épaules. Amarok lui, l'animal, conserve son statut de loup solitaire. Pas de meute.

Hueco Mundo, au-delà du Yermo, 2010.

C'est devenu bien misérable l'ambiance ici, depuis qu'un certain Juha Bach et ses petits potes ont tout démoli sur leur passage. D'une toute autre carrure que l'étranger. Lui qui avait pas dominé longtemps, Juha lui, cela commence à faire trop longtemps justement, qu'il dirige. Et pour ceux qui n'ont pas voulu se ranger sous ses ordres, il a fallu décamper loin de Las Noches, histoire de ne pas attirer l'attention des SternRitters, tout aussi capable que leur leader de démolir le portrait de n'importe lequel des Hollows ou Arrancars qu'ils croiseraient. Même un Vasto Lorde aurait toutes ses chances de se faire écraser. M'enfin, il faut juste attendre, ils finiront bien par se tirer, comme les autres avant eux. Le Hueco Mundo n'est pas fait pour être dirigé. Moi, je survis.

Hueco Mundo, face à la Forteresse du Roi, 2017.

Tseuh. Je vous l'avais pas dit, qu'il finirait bien par se faire défoncer, l'autre glandu de Juha ? J'le savais, c'était prévisible. Bref. 'Paraît que maintenant, 'fin depuis pas mal d'années maintenant, y'a un nouveau Roi. Un qui déjà plus le profil d'un vrai Roi du Hueco Mundo. Grimmy. Une bête, comme moi. Comme nous tous. C'est ce qu'il nous faut. Pas un étranger. Pas un glandu. Une bête, une panthère. J'ai décidé de les rejoindre. J'y ai mis le temps, c'vrai. 'Faut dire que quitter mon ancien coin de paradis a pas été facile, c'est que je m'y sentais bien. Mais j'commence à me faire chier tout seul, j'ai envie de m'amuser et de latter la gueule à des types coriaces, comme ceux qui font parler d'eux ces derniers temps. Les Maho Tsukaïs. S'ils peuvent faire chier l'Espada, alors ils méritent de m'affronter.

J'vais m'faire une place parmi l'élite de Grimmy, histoire d'être aux premières loges quand ça pétera de nouveau. Il s'trouve que j'ai dégoté le parfait petit tocard pour ça. Quand j'ai déboulé aux portes du palais, en signalement clairement que j'étais là, on m'a envoyé quelqu'un. Un seul quoi. Un roux en plus, sérieux. Du genre qui doit pas rire tous les jours. Un chiant. Il s'est présenté comme la Novena Espada, m'a sorti un tas de conneries comme quoi les étrangers ils ont pas le droit d'entrer comme dans un moulin ici. Moi j'lui ai dit d'aller se faire foutre et de dégager avant que j'lui éclater sa petite gueule de tarlouze. Il a pas aimé, et nous voilà à l'instant présent, alors qu'il laisse éclater sa pression spirituelle, et que j'vais en faire autant. Sauf que, l'autre il se métamorphose.

J'hallucine. Un putain d'ours. Il s'est transformé en un putain d'ours ! Pourquoi moi, qui suis tout le temps sous forme libérée, j'ai pas gardé les traits de ce que j'étais avant ? L'arnaque. J'ai juste eu le droit aux griffes et aux crocs. Et la fourrure, inutile, mais 'faut faire avec. Il est v'nu m'étaler la tronche, et moi aussi. Y'a pas b'soin d'en rajouter, on sait ce qu'on veut et à la fin d'ce combat, y'en aura qu'un qui vivra. Moi. J'le sens préparer un Cero, son bras tendu en ma direction ? J'arme mon fusil, et du canon en est expulsé une salve de Balas. Son tir vient se heurter au mien dans une déflagration qui souffle les dunes sur une dizaine de mètres alentour. J'profite du nuage de poussière engendré par l'action pour foncer droit d'dans, d'un sonido. Il s'y attendait pas, ou alors l'est juste trop lent pour s'bouger, mais ça marche.

Que j'lui déboule droit d'ssus, l'canon d'mon arme pointé droit sur sa tronche, y'a plus qu'à lui faire sauter la gueule. L'souffle de l'explosion m'propulse vers l'arrière, j'me réceptionne facile, glissant un instant, les yeux fixés sur l'animal. A terre, fumant, sanguinolent. Pas mort pour autant l'connard. Tant mieux, ça m'aurait déçu sinon. Il grogne, bave, ouvre grand la gueule, frappe des pattes sur l'sol, furax. Approche mon gros que j't'explose ! Il s'fait pas prier. Lent, c'qu'il est lent. J'ai l'temps d'le voir v'nir. Malin par contre, il m'allume pendant sa charge, d'un truc qui ressemble à des boules de lave... Non mais sérieux. Un ours. D'la lave. J'me suis vraiment fait niquer à la distribution des pouvoirs. Parlant d'ça, j'active le mien. Une barrière quasi-invisible à l’œil nu s'matérialise d'vant moi pour r'pousser l'assaut.

Sa technique est plus faible, la répulsion fonctionne niquel. Sauf que...


Roh chier...

L'gros bestiau bondit, les bras recouvert d'sa lave, et m'écrase son poing droit dans la mâchoire. J'valdingue en arrière, serrant les dents. Il m'saute d'nouveau d'ssus, cette fois en m'éclatant l'bide, tentant de m'enfoncer sous plusieurs mètres de sable. En plus de cogner fort, la merde qu'il utilise brûle, c'qui ajoute à la galère que ça d'vient. J'dois mon salut à mon pouvoir, qui éjecte mon agresseur loin d'moi et m'offre l'opportunité d'riposter. Un gros Cero qui lui explose d'ssus, j'avance sur lui d'un sonido, lui éclate la crosse d'mon winchester sur l'crâne, et m'sert d'mon pouvoir une dernière fois, pour l'enfoncer à son tour dans l'sable. Avec violence. Trois fois d'suite. Histoire d'être certain qu'il reste à terre. La poussière nous enveloppe un moment, j'crache du sang, l'corps criant sa douleur.

J'ai rien contre toi mec, j'veux juste prendre ta place. Joli combat.

Le loup solitaire place le canon de son arme à quelques centimètres du front de l'ours vaincu, leurs regards se croisent un instant. Trois Cero sont tirés l'un après l'autre, ôtant la vie de la Novena Espada, Soejima Gesshin. Amarok ressort du cratère formé, fusil sur l'épaule, sourire en coin, plus satisfait que jamais. Sereinement, il s'avance jusqu'aux portes de Las Noches, pousse ses dernières, s'arrête au pas des portes, jetant un dernier regard à ce qui fut son terrain de jeu pendant une dizaine d'année. Aujourd'hui, le loup solitaire qu'il incarnait trouvait sa place au sein d'une meute dont il ne serait pas le mâle dominant. Savoir si oui ou non il parviendrait à se faire à l'idée qu'il devrait suivre les ordres d'un autre ne le préoccupait pas actuellement, il voulait simplement rencontrer Grimmy.

Lui faire face en lui annonçant la mort d'un de ses fidèles et lui proposer son aide pour le remplacer. Il ne perdait pas au change, puisqu'il avait prouvé être meilleur que ce Soejima Gesshin.


Dernière édition par Amarok Lenno le Jeu 6 Fév - 3:36, édité 1 fois
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Alcaraz
Amarok Lenno. [100%] Arr-fra
Alcaraz
Messages : 211
MessageSujet: Re: Amarok Lenno. [100%]   Amarok Lenno. [100%] Icon_minitimeJeu 6 Fév - 3:35

Présentation terminée !
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Melody MacKenzie
Amarok Lenno. [100%] Hum-ind
Melody MacKenzie
Rang : Ϟ Espiègle Valkyrie

Messages : 2108
MessageSujet: Re: Amarok Lenno. [100%]   Amarok Lenno. [100%] Icon_minitimeJeu 6 Fév - 7:08

Validé !

Pour le reste, tu connais la chanson. ~
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http://www.bleach-bsrpg.com/t1637-melody-mackenzie
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MessageSujet: Re: Amarok Lenno. [100%]   Amarok Lenno. [100%] Icon_minitime

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