Avatar : Mavis Vermillon
Parrain : Si un autre membre vous a ramené sur le forum.
Comment avez-vous découvert le forum ? DC / Ukitake Eirin.(avec l'accord de Santo Pastor)

Âge : inconnu / dans les 10ans
Race : Arrancar
Rang demandé : Numeros 26

Description de votre personnage :


Comment me décrire, même si j’aime parler de tout et de rien, il n’est jamais facile de parler de soi. Ne me regarde pas de la sorte, tes gros yeux me font peur. Bien, alors par quoi commencer, j’suis mignonne, j’ai de beaux cheveux dignes de ceux d’une princesse, ils sont en or, non je rigole sont juste blond. J’porte du blanc, il semble qu’il n’y a que cette couleur qui convienne à mon rang.

Je ris souvent, j’aime le son du rire, cela me fait encore plus rigoler. J’ne crains pas les chatouilles, donc pas la peine d’essayer. J’suis pas grande, j’suis qu’une enfant, une petite fille. J’me demande si j’aurais de gros seins lorsque j’deviendrais grande. Ah mince, j’avais oublié, j’ne grandirais plus, j’vais rester sous cette forme jusqu’à ma disparition, ce n’est pas marrant. J’ai comme des oreilles sur chaque côté de ma tête, c’est ce qui reste de mon masque de monstre. J’suis plus un montre maintenant, j’suis un arrancar, c’est la classe. Mais j’ai toujours ce trou, au niveau du ventre, et j’ai toujours faim. J’m’amuse à passer ma main dedans, c’est drôle, mais cela énerve les autres. J’suis une superbe danseuse, j’suis gracieuse, mais maladroite, j’casse beaucoup de chose. Quand on me crie dessus, j’baisse la tête et fait la moue, puis j’oublie.

Il m’arrive de m’énerver, alors là, j’deviens méchante, j’vous fais les gros yeux et tout. Toute joie quitte mon regard et ma voix, pour ne laisser que le vide froid et tranchant. Mais j’retrouve rapidement ma bonne humeur. J’pleure aussi, de grosses larmes qui inondent mon visage et qui pousserait toute âme gentille et sensible à me prendre dans ses bras et me consoler. Mais y en a pas beaucoup autours de moi. Ah oui, quand j’suis triste on dirait que les restes de mon masque s’abaissent, mais c’est juste une impression.

J’t’ai dit que je parlais beaucoup, sans arrêt, sauf pour rire, bin j’le fais avec tout le monde, même ceux que j’ne connais pas. De toute façon, j’n’ai pas de mémoire, j’oublie tout ou presque. J’sais que j’suis un arrancar, que j’étais humaine, que j’dois servir celui qui est assis sur le trône de Las Noche. Pour le reste, cela n’a pas d’importance, j’ne peux m’empêcher de rire quand j’voie la tête de ceux dont j’ai oublié le nom et même l’existence. En fait, cela serait dut à ma transformation, que j’ai cette mémoire déficiente. J’me rappel des choses lointaines, ou proches mais pas au milieu, mais vu que même la notion de temps m’est inconnue, j’peux pas être certaine de ce que j’te dis. Peut-être que j’mélange juste les événements et les rencontres, qui sait. J’suis plus maline que j’en ai l’air, faut pas croire. Ah, oui j’tutoie tout le monde, j’comprends pas le concept du vous. J’en suis resté au, je, tu, eux et au il/elle.
Description de votre pouvoir :

La nature du pouvoir est lié a son physique, elle peut altérer, transformer, adapter son apparence ou celle de ces membres selon ses besoins. Elle peut par exemple, transformer ses doigts en griffes, faire sortir des pics de son corps, allonger ses membres, faire apparaître des ailes ou d'autres membres supplémentaires. Elle possède aussi une force impressionnante.

Son épée est un long sabre bien trop grand pour elle, qu'elle porte en bandoulière ou qu'elle traîne par terre.

Resurrection: Soumet les à ta loi / los somete a su ley
Sous sa forme de Resurrection, son apparence change complètement et si elle reste humanoïde, elle n’a plus rien d’humaine et devient physiquement plus mature.



Histoire :


Je suis née dans la misère, un quartier pauvre et violent. Ma mère est morte en me mettant au monde, c'est mon père qui s'occupe de moi. Il est violent, alcoolique, il se bat contre de l'argent. Ma vie est difficile, je ne suis qu'une enfant, j'aime chanter, raconter des histoires de monstres. Cela énerve mon père, il me frappe pour me faire taire. Mais ce qu'il ne sait pas, c'est que je voie réellement les monstres dont je parle. Ils ont tous un trou dans la poitrine et un masque blanc qui cache leur visage. L'un d'entre eux a voulu s'en prendre à moi, mais je lui ai échappé. Je connais chaque recoin de la ville et peux me glisser dans un tas de trous. Un soir, j'aperçois une silhouette sombre, elle est accompagnée par un papillon, j'essaye de la suivre, mais elle est trop rapide. J'entends alors un hurlement, celui des monstres. Lorsque j'arrive là d'où vient le hurlement, je vois la silhouette planter son épée dans le masque blanc. Le monstre se dissipe, puis la silhouette se retourne vers moi, il s'agit d'une jeune femme, elle est belle. Elle me sourit et s'approche de moi, sa main est douce lorsqu'elle la pose sur ma tête. Elle me regarde fixement, avant de me conseiller d'être prudente. Je la rassure, lui disant que les monstres ne peuvent pas m'attraper et puis j'ai un secret, je peux les immobiliser au sol. Un éclat de surprise dans son regard, si fugace que j'ai peut-être rêvée. Elle disparaît soudainement, un autre cri s'est fait entendre. Je ne la reverrais plus, un monstre parviendra à m'attraper, mais cela, je ne le sais pas encore.

Je continue de mener ma vie, fuyant les monstres et les coups de mon père. Cela fait deux ans, que la femme au papillon m’est apparue, j’ai découvert que je n’étais pas la seule à voir les monstres. C’est grâce à un médium, que je fais la connaissance de deux autres fullbringers, c’est ainsi qu’ils sont nommés par ce dernier. Si je me méfie de lui, j’accepte de le suivre, après tout j’ai mon pouvoir. J’ai à peine le temps de rencontrer ces fullbringers, qu’un monstre m’attaque. Je me retrouve étendue sur le sol crade de la ruelle, une lune blanche, blafarde se tient au-dessus de moi. L'obscurité me gagne, la lune disparaît peu à peu.

…

Une lune blanche, une nuit profonde, des hurlements, voilà par quoi je suis accueillie. Le sable sur lequel je repose est aussi blanc que la lune, un monde à deux couleurs, le blanc et le noir. Mes instincts, me poussent à m'éloigner, des hurlements se rapprochant. Mon corps est lourd, lent, mais puissant, je suis rattrapé par un monstre, il ressemble au croisement entre un loup et un insecte, il me semble être un géant. Le combat s'engage, j'évite ses griffes, ses crocs, puis je glisse, il se jette sur moi, je ne suis pas à l'aise avec mon corps, quelque chose cloche. Je vois sa mâchoire s'ouvrir, elle est garnie de crocs. Je la bloque avec des mains immenses (j'ai de grosses mains et mes doigts sont des griffes !), l'empêchant de se refermer. Il lutte, je force, lutte contre sa puissance, un craquement, plus de résistance, j'ai la partie inférieure de sa gueule dans ma main. Son corps s'écroule, je me jette sur lui (j'ai si faim), je plante mes crocs dans sa chair. Je me sers de mes immenses mains, mes griffes l'éventrent, ses entrailles se répandent sur le sable blanc. D'autres hurlements, se font entendre, je me dépêche de me nourrir avant de fuir.
Je ne suis pas à l'aise avec mon corps, il me semble trop lourd, malhabile, j'ai l'impression que ce n'est pas le mien. La faim me pousse à toujours plus attaquer les monstres que je croise, certains me fuient, mais ils se montrent lents, lourds. Une douleur violente traverse mon corps, mon âme, mais je ne peux m'arrêter, un visage apparaît, vague, flou, il disparaît. Je sens de grandes forces au loin, des combats, un sourire tente de se faire voir, mais il est dissipé par la peur et la faim. De nombreux cris s'éteignent, je fuis encore plus loin. De nombreux monstres se dirigent vers moi, ils fuient, je tue ceux que je peux, j'ai toujours faim, de plus en plus. Je me retrouve dans des terres, lointaines. Je ne sais pas depuis combien de temps, je mène cette vie, une vie de chasse, de fuite, toujours accompagnée par cette faim qui me ronge de l’intérieure et cette douleur dont j’ignore la cause. Plus je me nourris, plus la faim grandit tout comme la douleur, c’est l’intégralité de mon corps qui est la source de celle-ci.

La douleur se répand, j'ai l'impression de brûler, d'étouffer. Quelque chose se déchire, c'est ma peau, non pas la mienne. Ce corps, tel un cocon, se brise, me libère, je me sens plus à l'aise, mais la faim est toujours là, présente. Mes mains sont composées de griffes similaires à des lames de faux, mais elles ne me semblent plus immenses, j'entends un cri, un monstre est en train de se faire tuer. Je dois fuir, quitter, ces terres, elles appartiennent à une créature plus puissante. J'aperçois une silhouette, elle tient la tête d'un des monstres dans sa main. Il me regarde, se met à parler, seul un cri sort de ma gorge. Il se jette sur moi, j'ai peur, je sens le choc, mais nulle douleur. Il me tient comme si je ne pesais rien, une de ses mains se plaque sur mon visage. Je sens la pression augmenter, sur ce dernier, (je vais mourir !!), puis plus rien. Il s'arrête, m'observe, se détourne, me laisse seule. Je dois me nourrir, je me mets à chasser, bien plus que par le passé. Suite à une combat, mes griffes frappent mon masque qui commence à se fissurer, augmentant ma douleur, (que m’arrive-t-il ?). Alors qu’il se fissure, je perçois ma volonté qui s’éveille, mes pensées qui s’éclairent. Mon masque commence à se reconstituer et avec lui, je commence à perdre mes pensées (je ne veux pas les perdre !). Je plante violemment mes griffes dans les fissures, failles, la douleur est immense, mais la peur de perdre ce que j'ai effleuré et plus grande. Des morceaux cèdent, rejoignent le sable, un cri se libère de mon âme. Je n'ai pas réussi à totalement briser ce masque qui recouvre mon visage et mon âme. Je suis parvenu à libérer ma bouche et la partie gauche de mon visage. La faim qui grandit et cette peur instinctive, celle de régresser, me pousse à tuer toujours plus de proies. Le puissant monstre semble m'accepter sur son territoire, je perçois par moment sa présence, il me laisse chasser. Par moment, je quitte son territoire, m'aventurant vers la forêt des Menos, il y a beaucoup de proies, mais aussi des prédateurs puissants. Je suis témoin, d'une scène de massacre perpétré par deux personnes, un homme et une femme. L'homme a exterminé tout un groupe de Hollow, sans la moindre pitié. Mais il n'en a pas mangé un seul. Je peux ressentir leur puissance, je fuis, j'ai cru un instant qu'ils m'avaient repéré. Je retourne vers le territoire du vastro lorde, son nom m'est venu instinctivement, (c'est sympa de pouvoir réfléchir).

Un jour, il disparaît, il n'a pas été détruit, je l'aurais perçue. A-t-il été trouvé par le couple, si oui que s’est-il passé ? Alors que je m’interroge, la lune projette une ombre sur moi celle d’une femme. Elle ne ressemble pas aux monstres, elle me rappelle celle que j’ai vue sous une autre lune, si ce n’est qu’elle possède le même trou, ce trou qui est commun à tous les monstres, tel que moi. Elle me parle, me dit de la suivre (pourquoi je l’écoute ?). Elle me conduit dans un grand palais, Las Noche, le centre du pouvoir de ce royaume, devant un homme. Il me fait peur, ce n’est pas l’un des nôtres, il m’observe, sourit, me propose de me faire évoluer, de chasser cette faim et cette douleur. La femme me pousse à accepter, je n’ose lui résister. On me met en présence d’une sphère, m’enferme avec elle, dans un endroit étroit et sombre. Le temps semble s’être arrêté, mais si la faim diminue peu à peu, elle ne disparait pas. La douleur quant à elle ne fait que grandir, déchirant mon âme. Puis je ne sens plus rien, mon esprit est clair, l’obscurité se dissipe lorsqu’il me libère d’elle. Il me regarde, ne semble pas satisfait, il me laisse seule (qu’ai-je fait de mal ?), je regarde mes mains, elles sont petites et sans griffes. Un homme apparait, il est vêtu de blanc, comme la femme qui m’a conduit ici, un trou trône au milieu de sa poitrine, il me parle, moqueur, (numéro 58 ?), que cela signifie-t-il, mon nom ? Je ne m’appelle pas ainsi, j’ouvre la bouche et lui répond, (je peux parler !), il me dit que c’est mon numéro, mon rang dans l’armée du seigneur de Las Noche.

Ma vie au sein de cette armée, me rappelle celle que j’avais durant ma vie humaine. Je subis les réprimandes de certains arrancars, ils se moquent de mon incapacité à créer un Céro. Je ne me défends pas, ils ne parviennent pas à me blesser. Le maitre de Las Noche, créé de nombreux arracars, il nous entraîne dans une guerre face aux shinigamis. Je refuse de prendre part à cette guerre, elle n’est pas la nôtre. Je n’aime pas notre seigneur, il est un traite, un shinigami, il se sert seulement de nous pour obtenir ce qu’il désire. Il nous a donné de la puissance, ne nous connait pas, nous traite comme des outils. Je me retrouve enfermer dans les cellules du palais, battu par ceux qui veulent lui plaire. Au bout du compte, il perd sa guerre, les shinigamis viennent jusqu’à nos terres, atteignent le palais. Je profite du chaos, pour briser mes chaines et fuirent. Je retourne sur le territoire sur lequel j’avais vécu avant de devenir un arrancar. Sous la lune, je reste seule, elle est ma seule compagnie. Une nouvelle menace, un nouveau ennemi, vient dans notre royaume, il est puissant, bien plus que tout ceux qui nous ont attaqué jusqu’à présent. J’ai décidé de participer à la défense de mon monde, mon chez moi, ils brisent toutes nos défenses, nous traquent, je fuis de nouveau.

Le temps passe, un nouveau roi est apparu, un ancien Espada, je le connais, mais je ne désire pas retourner dans ce palais, servir un ancien serviteur de celui qui a fait de moi ce que je suis. Une autre guerre se présente à nous, plus violente que la précédente. Le soit disant roi doit s’allier avec les shinigamis, avant de les trahir. Lui aussi sera vaincu, écrasé par une nouvelle force, je suis resté loin, apprenant tout cela des Hollow, Adjuchas qui ont fui le palais. La lune m’apporte quelque chose de nouveau, brisant ma solitude et mon silence, un appel si fort que je ne peux l’ignorer. Il m’attire, me pousse vers le lieu où je ne veux pas retourner.

J'arrive au pied d'une grande cité, on dirait une cours des miracles, j'ai la vision d'une autre cité, d'autres ruelles, tout aussi pauvres et sales. De nombreux Hollows vivent dans les rues de cette ville, certains me regardent, fuient devant moi, d'autres s'approchent, me parlent de leur dieu, du maître de ce palais. Tous sont plus grands que moi, un reflet dans une pièce de quartz. Je m'immobilise, m'observe, je suis petite, une enfant, j’avais oublié mon apparence. En m’approchant du palais, je me retrouve devant une masse de Hollow, qui me repousse. Je dois user de ma force, de mon pouvoir, pour me frayer un chemin. Malgré mes efforts, le palais reste loin et plus je m'en approche et plus les Hollows sont puissants. Je heurte une silhouette, il est vêtu tout de blanc, une épée au côté. Il n'est pas seul, il me regarde, il semble surpris, me parle, Il m'attrape par le cou, je ne connais pas cet arrancar. De son autre main, il caresse les restes de mon masque. Il me demande mon nom, je le lui dis ... « Hambriento » ... il rit, avant de me relâcher. Je me retrouve le cul sur le sol. Il me parle de nouveau ... « Hambriento, veux-tu servir notre maître à tous ? » ... une seule réponse me vient ... « oui » ... il sourit et me montre une direction ... « tu trouveras les portes du palais en suivant cette direction, si tu es digne tu pourras rentrer ».
Il me laisse là, je sens le regard de ses compagnons. Il s'éloigne, de plus en plus, je le suis discrètement, mais je ne le suis pas assez. Ils m'ignorent, je les vois rentrer dans le palais, je les suis. Je parviens à y rentrer, (il est immense), je me faufile dans ses couloirs, avant de tomber sur un autre arrancar, plus puissant, bien plus puissant ... « Je veux servir notre dieu ».

…

Spoiler:

Rebienvenue.

Je vais tout d'abord devoir te demander de changer de pouvoir, ou de grandement le limiter. La gravité fait en effet partie de ces pouvoirs que nous tendons à refuser en raison de leur potentiel beaucoup trop craqué.

Par ailleurs, ce n'est pas à nous de décider si tu es Fraccion ou Numeros. Dans les faits, c'est la même chose : ce qui les distingue l'un de l'autre est qu'ils servent ou non un Espada en particulier. À toi donc de voir si tu rejoins l'un ou l'autre des Espadas et de trancher en fonction.

Merci de ta compréhension.