Avatar : Zephyr de One Piece.
Parrain : Moi.
Comment avez-vous découvert le forum ? TC de Kichigai Ganryû.

Âge : Aux environ de 1600 ans.
Race : Shinigami.
Siège demandé : Un siège à la Troisième Division, la maudite !

Description de votre personnage : À quoi ressemble votre personnage ? (10 lignes au minimum)

Seishiro, c'était avant tout un physique déstabilisant, pouvant rivaliser avec les carrures imposantes et intimidantes des légendaires Kenpachi. Colossal, il allie une grande taille atteignant les deux mètres dix, avec une musculature monstrueuse, lui offrant une largeur de corps redoutable. Trapu, ses muscles travaillés et renforcés depuis plus d'un millénaire ressortent et explosent à la vue de tous, offrant un aperçu de la condition physique du gaillard. Robustesse et puissance sont ces maîtres mots. Chose qu'il ne se prive pas d'employer en combat, écrasant ses adversaires sous des assauts au corps à corps dévastateurs.

Vieil homme, son visage en porte les stigmates. Il paraît généralement usé, fatigué de ces années de service et des multiples déceptions qu'il a essuyé. A mesure que le temps passe, les rides s'accumulent sur un large front et la pilosité se fait plus rare sur la partie saillante de la mâchoire. La peau commence à perdre de son élasticité, et les patte-d'oie font leurs apparitions, sous deux petits yeux d'un gris argenté. Chose qu'il dissimule sous une paire de lunettes noires prenant une forme triangulaire. Un nez fin et pointu, une chevelure mauve qui se dresse vers les cieux en signe de défi, ainsi est Seishiro.

Il revêt l'uniforme basique d'un shinigami, auquel il a apporté quelques modifications au fil du temps. Un Kosode sombre qui surplombe un shitagi blanc, tous deux laissé ouvert en permanence, exposant le torse nu du dieu de la mort. Son pantalon large et plissé dont les extrémités sont fourrés à l'intérieur d'une paire de bottes en cuir. Le tout est agrémenté au niveau de la taille, d'une large ceinture de cuir permettant de retenir une partie essentielle servant à supporter le poids de son bras droit mécanique. Une épaulière, de laquelle deux lanières de cuir partent de chaque extrémité, lui barrant le torse et le dos, pour se finir en deux morceaux de corde attachées à la ceinture de cuir.

Concernant cette prothèse mécanique, elle remplace son bras droit perdu au combat. Connecté au coude de son possesseur, celui-ci dispose de deux soutiens supplémentaires pour porter l'arme comme précisé plus haut, situé à l'épaule et la poitrine. D'une épaisseur redoutable, le bras est doté de trois gros doigts capables de coincer une personne adulte ou le frapper avec. Tenu par de gros boulons au niveau du poignet, l'ensemble du dispositif est constitué d'acier. A l'intérieur est dissimulé un baril de canon géant, pouvant tirer des cartouches explosives qu'il couple à coup physique, apportant un impact supplémentaire à l'attaque.



Spoiler:


L'homme est bien connu de ses pairs comme étant un vieux bourru, constamment à tirer la tronche dans son coin, ruminant la vieille époque. A ses débuts. C'était mieux avant qu'on dit. Il n'a pas confiance à la nouvelle génération, trop irresponsable, manque d'expérience, et cruellement de force. Combien de Capitaines sont morts en accédant à ce poste trop jeune ? S'il en avait les moyens, il irait leur botter les fesses pour leur apprendre comment on s'y prenait à la vieille époque. Seulement ses années passées en retrait, à enquiller les litres de saké ne l'ont pas réellement aidé. Il a quelque peu rouillé si on peut dire.

Sa puissance n'est plus ce qu'elle était, bien que toujours capable de prouesses physique, corps comme esprit ont perdu de leur tranchant. Pour autant, il n'est pas disposé à changer les choses. Spectateur, il attend de voir comment la situation évolue, ce que va faire le nouveau Capitaine-Commandant, sa position dans tout cela. Ensuite, il prendra sa décision. Se réveiller, et revenir sur le devant des opérations, ou rester dans l'ombre, à ruminer. Un exercice dans lequel il se débrouille particulièrement bien. Les tâches qu'on lui confie aujourd'hui ne sont plus bien prestigieuses et cela fait longtemps qu'il ne s'est pas lancé dans la traque d'un hollow jugé dangereux. Mission qu'il affectionnait tout particulièrement autrefois. Il a perdu goût à tout, même sa boisson n'est plus aussi délicieuse que dans le temps.

Régulièrement, il retrace l’histoire de la Sanbantai aux nouvelles recrues venant tout juste d'y entrer. Qu'ils sachent à quoi ils appartiennent, qu'ils en ressentent le plus grand des honneurs et qu'ils se surpassent. Sans oublier la mise en garde, afin d'espérer leur éviter un sort funeste. La perte de nombreux êtres chers qu'il affectionnait a alourdi son cœur, y déposant une peine perforante qui ne manque pas de faire saigner son cœur chaque jour.
Accablé par le chagrin, profondément désabusé, il observe.

Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant): Il s'agit ici de décrire rapidement les formes de votre zanpakuto afin que nous puissions déjà statuer dessus.

Teiou Osoroshii

Sous forme scellée, il reprend la forme basique d'un katana ordinaire. La tsuka, qui est la poignée de l'arme et le fourreau, aussi appelé saya, sont de couleur mauve. Sa tsuba, faite en cuivre et fer, est de forme hexagonale. Sa lame, à un seul tranchant comme tout katana, atteint les quatre-vingt centimètres pour un poids de mille cent grammes. Il ne le manie que d'une seul main, la gauche, du fait de sa prothèse mécanique au bras droit.

Jibun no kanjō no unzari, Teiou Osoroshii ! (Nourris-toi de leurs émotions, Souverain Horrible !)

Cette phrase de libération prononcée, de la lame s'échappe la noirceur. Un nuage ténébreux, qui enveloppe un instant le shinigami, avant de se propager tout autour de lui. Le zanpakuto du dieu de la mort change de forme, passant d'un basique katana à un gros kanabo. Arme s'apparentant à une large matraque entièrement en fer, dont l'extrémité est parsemée de pointes de fer. Sa forme est celle d'une batte de base-ball, débutant par une poignée étroite d'une trentaine de centimètres, pour ensuite s'épaissir et s'alourdir à son extrémité, sur pas moins d'un mètre.

Bien que l'arme soit lourde, il continue de ne la manier que d'une seule main. Usant de sa force accentuée par le kanabo pour frapper encore plus fort et briser les os de ses ennemis. Seulement, ce n'est pas l'unique avantage offert par Teiou Osoroshii. En effet, le voile de ténèbres qui s'échappe de l'arme en continue et se répand dans la zone de combat est utilisé pour l'attaque.

Tout est basé sur les émotions, bien qu'en Shikai, le pouvoir limité. La brume ténébreuse pénètre à l'intérieur des gens, pour jouer avec leurs émotions. Passant la victime d'une joie intense à une grave dépression, perturbant sa capacité à combattre. Il contrôle ainsi toute une quantité de sentiments, activant l'un ou l'autre à plus ou moins grande échelle selon la situation.

Musaboru, Teiou Osoroshii ! (Dévore, Souverain Horrible !)

Le Bankai activé, les ténèbres auparavant dissipées dans la zone se rassemblent, dans un tourbillon de puissance. De ce phénomène obscur, un être semble prendre naissance, se former à l'aide de la noirceur une silhouette, tenant plus du spectre que de l’humanoïde. Haut de trois bons mètres, recouvert d'une ample robe sombre qui masque l'intégralité de son corps, seules les mains en dépassent. De la chair morte et moisie, qui n'a plus rien d'humaine.

Le véritable pouvoir de son Zanpakuto se révèle alors, l'absorption de tout sentiment chez l'adversaire, la manipulation des émotions à plus grande échelle, avec plus d'efficacité. Il se nourrit tout autant d'émotion positive que négative. Désormais capable d'avoir un contact physique avec sa proie, il s'en empare pour mieux la coincer, dévorer ses émotions et la laisser à la merci de Seishiro.

Quant à l'apparence de l'arme sous Bankai, ce n'est ni plus ni moins qu'une large faux. Tout aussi bien en mesure d’occasionner des dommages physiques que d'user de sa capacité pour frapper dans les réserves d'énergie de sa cible, ou influencer ses émotions.

Histoire : (25 lignes au minimum)

De son vivant, bien avant son existence en tant que dieu de la mort, Seishiro vivait au Japon, durant l'ère de Kofun. Une époque lointaine de notre période actuelle, où le monde tournait différemment. Membre d'un clan de samouraïs, d'une famille fortuné et influente, à tel point qu'elle était considérée comme un clan de premier plan. Son éducation fut menée avec une exemplarité propre à sa famille, ses géniteurs ayant de fortes attentes et ambitions envers chacun de leur protégé. Atteint l'âge de la majorité, il intégrait les rangs de l'armée de l'empereur Keiko. Douzième empereur du Japon, un homme légendaire pour lesquels des hommes auraient donné leur vie pour servir sous son commandement. Une fierté en soi, pour le jeune Hayashi, qui faisait déjà au moins aussi prestigieux que son prédécesseur.

Il se révéla rapidement être un élément de qualité, gravissant les échelons au cours d'une vingtaine de longues années de rigueur et d'exemplarité, mais également de courage et de faits d'armes accompli durant les batailles auquel il pris part. Si bien qu'il fut récompensé, lorsque le troisième fils de l'empereur fut envoyé sur les terres d'Izuumo, afin d'en acquérir le contrôle. Officiellement, c'est tout du moins ce qui fut annoncé, officieusement l'histoire étant tout autre. En réalité, le prince Yamato Takeru était envoyé à la mort par son paternel, ce dernier craignant la brutalité du premier, après que celui-ci est sauvagement assassiné son propre frère. Ce qui équivalait à sacrifier également une partie de ses troupes, sans que personne ne soit au courant du triste sort auxquels on les avaient condamnés.

C'était sans compter sur l'ingéniosité de Takeru et la valeur de ses guerriers. Ils firent un coup d'éclat, revenant vainqueur au près de l'empereur. Non sans perte, malheureusement. Parmi les âmes sacrifiés, celle d'un vaillant et fidèle du prince, Seishiro. Tombé sur le champ de bataille après avoir essuyé trois tirs de flèches, logés dans la chair avec virulence, suivi de deux lames d'acier venant achever le travail, alors qu'il continuait de brandir son épée et de semer la mort. Il trouvera la mort quelques minutes plus tard, étendu dans l'herbe, profitant d'un dernière brise, admirant la beauté d'un ciel d'été. Décédé le sourire aux lèvres, fier de ce qu'il était devenu. Son corps serait retournait auprès de sa famille, en héros. Il ne pouvait exister plus bel honneur pour un guerrier.

A cet instant, jamais il n'aurait imaginé une autre vie après celle-ci. Lorsqu'il se retrouva dans cet entre deux mondes, en attente de purification de son âme, il fut chamboulé par une telle découverte. Sans en avoir conscience, il était devenu un Plus. Il ne lui fallut guère longtemps avant d'être retrouvé par un étrange personnage, vêtu de vêtements sombre et armé d'un katana. Vint alors le temps de procéder au rituel du Konso, l'enterrement de l'âme. De la garde de son épée qu'il apposa sur le front de l'âme errante, il l'envoya à la Soul Society, la purification s'opérant durant le rituel. C'est à cette période qu'il oublia tout souvenirs de son ancienne vie. Lors de son arrivée à la cité des âmes errantes, ôté de tout repère, frappé d'une amnésie qu'il ne pouvait expliquer, il n'eut d'autre option que d'agir comme tout le monde et de se laisser guider.

Accueilli au sein d'une nouvelle famille, constituée de personnes dans le même cas que lui, ils tâchèrent de surmonter les épreuves ensemble. Naturellement, promptement, il s’imposa comme leader de ce foyer. Pour autant, il ne s'attacha jamais à aucun de ses membres. Tout juste les aida-t-il à se relever, cesser de pleurer sur leur sort et reprendre un semblant de vie. Lui, têtu et fier, ne pu admettre vivre ainsi jusqu'au restant de ses jours. Aussi se mit-il en tête d'atteindre le Seireitei, à n'importe quel moyen. On lui expliqua ce qu'était un shinigami et les treize armées de la cour, le Gotei 13, fondé il y a de cela quelques dizaines d'années seulement. Sans plus de renseignements, il décida qu'il intégrerait l'une de ces fameuses divisions, et quitterait ce trou à rats.

Pour ce faire, il s'attaqua directement aux crapules et pourritures pullulant au sein des districts les plus éloignés du Rukongai. Doté d'une puissance qu'il n'aurait soupçonné, et d'une force de caractère monstre, le désordre qu'il souleva dans sa quête attira l'attention de ces fameux dieux de la mort. Ceux en charge de la surveillance de cette vaste ville. Après leur avoir brièvement montré son potentiel et sa détermination à les rejoindre, il fut décidé qu'il intégrerait les rangs de l'académie. Dans un premiers temps dubitatif, comprenant mal ce qu'il irait faire dans une sorte d'école pour shinigami, puis vexé d'être abaissé à ce point, il s'y résigna néanmoins en promettant de ne pas s'y éterniser. Et de tout fracasser, histoire de ne pas se vautrer et finir recalé comme un moins que rien.

L'apprentissage terminé, on lui attribua un siège à la Sanbantai, alors dirigé par le Capitaine Kagura Kamui. Il apprendra à y faire ses preuves, perfectionner ses acquis et surtout, développer son potentiel. Un physique colossal, taillé pour être un combattant de la Onzième, mais le pouvoir qu'il obtiendra avec la découverte de son shikai lui fermera les portes de cette dernière. D'autant qu'il ne ressentait pas d'envie particulière de la rejoindre. Nouer une relation avec son trancheur d'âme, obtenir sa confiance, pour que celui-ci lui dévoile enfin son nom, pour enfin libérer une première fois son Zanpakuto. Cette première étape atteinte, continuer l'entraînement, le perfectionnement de soi et de sa relation avec son arme. Ne jamais régresser, rester dans l'effort constant, évoluer.

Cela prend du temps, énormément de temps. Des centaines d'années, durant lesquelles il prend plus de place au sein de sa division, d'influence. Les Capitaines se succèdent, deux exils successifs qu'il perçoit d'un très mauvais œil, affectent sa morale. Endurcit sa psychologie, plus qu'elle ne l'était déjà, renforce son caractère, décuple sa volonté et ses capacités s'améliorent en conséquence. Vient l'affaire Kurosaki, la tragédie de la chambre des 46, et les désertions. La Troisième subit un nouveau coup dur, puisque l'Ichimaru qui en était aux commandes à l'époque fait parti des traîtres. C'est le déshonneur qui s'abat une fois de plus sur eux. Il accueillera d'un très mauvais œil le retour du vizard Otoribashi, autrefois exilé. Ce qui le poussera à lui-même rester dans l'ombre, se mettre en retrait, quitte à cesser de grimper dans la hiérarchie.

Aux portes du rang de Fukutaisho. Il continua d’œuvrer pour autant pour le bien de sa division, assurant son travail et les missions qui lui sont attribués. Les terres au-delà du Rukongai finiront par être témoins de l'acquisition de son Bankai. Le temps passé dessus lui est impossible à déterminer précisément, mais cela date. Et il le sait, même si l'esprit de son trancheur d'âmes s'est entièrement soumis à lui, il ne maîtrisera avec perfection toute l'étendue de son pouvoir que bien des années plus tard. L'entraînement continue. Et les événements tragiques frappant la Soul Society aussi. La bataille contre le VandenReich fait rage, les affrontements avec Juda Bach et ses hommes sont fréquents, jusqu'à l'année 2012 qui viendra sceller le sort du Gotei 13.

Très peu furent les grosses puissances à tenir la comparaison face au déferlement de puissance orchestré par les Quincy et leur leader. Seishiro, tout comme les autres, dû faire face à l'un d'eux. Et comme beaucoup de ses frères, il fut balayé. Non sans lutter vaillamment et déployer toute sa puissance, ce qui le sauva certainement d'une morte horrible. Son bras lui fut arraché, détruit, perdu, dans l'affrontement. Lorsqu'il reprit connaissance, la division zéro mené par le Roi des Âmes avaient mis fin au massacre. Quand sonna l'heure de compter les morts, le bilan fut douloureux à avaler, et une fois encore, plongea l'Hayashi dans une profonde amertume. Il perdit foi en ce qu'il faisait, et son implication au sein des treize armées se réduisit au stricte minimum.

Trois années de paix se succédèrent, un calme utilisé pour se reconstruire. Trois années qu'il utilisa pour s'acclimater à sa prothèse mécanique à l'aspect démesuré qui lui avait été confectionné. Pour continuer sa lutte, qu'ils disaient. Pour faire face à la menace et écraser les hollows qu'il traquerait à l'avenir. Bras qu'il retourna plutôt contre cette nouvelle faction qui vit le jour, les Maho Tsukai. Au sein de la Sanbantai, le défilement de Capitaines finit par l'agacer plus que l'attrister. Pas un seul ne parvenait à tenir plus d'une année à la tête de la division, à tel point que des rumeurs commencèrent à parcourir les rangs. Une sorte de malédiction frappant les officiers. Foutaises. Il aurait bien pris la relève du dernier en date, mais il ne se sentait pas totalement prêt à dévoiler son Bankai.

Pas encore au point. D'autant que les Ombres faisaient des ravages à travers les mondes, ridiculisant quiconque se dresser face à eux. Sur Terre, le Kanshu fut détruit et le Kirin fut réduit à l'état de pantin pour les marionnettistes qu'incarnaient les Maho Tsukai. Pour contrer la puissance de ces derniers, une idée abjecte fut acceptée, une sorte d'alliance avec la race maudite, Arrancars. Jamais Seishiro n'accepta cet accord et cela ne fit qu'aggraver sa déception concernant sa faction. Plus en retrait que jamais, suivra le reste des événements de loin. Jusqu'à ce fameux jour où trois millions d'âmes tombèrent à Karakura, bouleversant l'équilibre des âmes, engendrant une riposte de grande envergure du Gotei et ses prétendus alliés. Au prix d'un affrontement titanesque, les Ombres tombèrent les unes après les autres.

Le Capitaine-Commandant se chargeant d'achever leur chef. Suivi alors ce qui aurait dû être anticipé en acceptant une alliance avec ces pourritures sanguinaires, Grimmjow tua Shunsui. La panthère fut éliminée toutefois par une nouvelle force jusqu'alors cachée, les Reapers. Ceux-ci blâmèrent les shinigamis pour le carnage sur terre et s'installèrent à la Soul Society.

L'omniprésence de ces faucheurs dans les affaires des dieux de la mort commença à faire renaître en Seishiro une volonté de servir sa faction depuis longtemps éteinte. Deux années supplémentaires s'écoulèrent, aux cours desquels le Gotei eu sont lot de changements. Nouveaux Capitaine-Commandant, qui entraîna de nouveaux Capitaines de Division et de nouvelles mesures.
Au milieu de tout cela, l'Hayashi, dans l'indécision. Plus enclin à observer dans un coin les prochaines mouvements de ses semblables, plus qu'à apporter son expérience et sa force. Un vieux têtu ce Seishiro...

Rebienvenue !

Ton précédent personnage n'ayant pas été actif longtemps, tu subis la pénalité maximale, soit la perte de l'intégralité de ton XP ainsi que de 5 PC (ce qui t'en laisse 20 au total). La division que tu brigues ne possédant pas de capitaine pour l'heure, tu obtiens par défaut le poste de 3ème siège en son sein. N'oublie cependant pas que si quelqu'un devait en prendre la tête, il n'est pas impossible qu'il modifie ta place dans la hiérarchie.

Bon RP avec ce nouveau personnage.