[list]Âge : 527 Ans
Race : Shinigamis anciennement humain.
Siège demandé : Capitaine de la division des nécromanciens
Description de votre personnage :


La première chose qui vous frappera si vous le regardez, ce sont ses yeux. Ses iris au couleur du Lapis Lazulis dégagent malgré eux une profonde impression de condescendance et de tristesse à votre égard. Car, tout le monde le sais, les yeux sont les fenêtres de l’âme et ceux-ci donnent droit sur le cœur qui saigne d’un homme attristé par tant d’imperfection. Mais rassurez vous, Azazel n’a pour l’heure trouvé aucune personne qui corresponde à ses critères de perfection. Car ses attentes sont élevées et ses espoirs infinis.

Comme vous l’avez déjà sans doute compris, Azazel est un perfectionniste dans l’âme et ne souhaite qu’une seule chose, voir le monde se transcender lui-même et devenir tel qu’il le rêve. Mais si cela devait arriver, nul ne saurait vraiment dire si cela serait une bonne chose, car son idyllique vision est bien loin de celle du commun des mortels. C’est d’ailleurs cette vision particulière qui lui valut en partie son engagement au Gotei13. Considérant que les Hollows sont le plus grand outrage fait à son utopie, il ne leurs souhaite qu’une éradication en bonne et due forme.

Car il est comme ça Azazel, c’est un passionné, un vrai. N’hésitant pas un seul instant à tout mettre en œuvre pour défendre ses idéaux. Parlons en de ses idéaux, pour lui, la vie ne vaut la peine d’être vécu qu’avec classe et panache. C’est pourquoi notre homme est toujours tiré à quatre épingles et qu’il accorde un soin tout particulier à sa tenue. Mocassin toujours ciré et brillant, costume trois pièces sempiternellement fraichement repassé et sans plis, il s’habille avec soin et gout, adorant les vêtements de grand luxe. Mais la parfaite image du Shinigami ne s’arrête pas là, Azazel met un point d’honneur à toujours être poli et courtois, faisant des efforts inconditionnel pour propager les règles de la bienséance et des bons us. Les gens ne respectant pas ses règles élémentaires l’insupportent au plus haut point.


Azazel est aussi un personnage maniaque et obsessionnel, tout autour de lui doit être rangé, propre et à sa place. Le Shinigami peut d’ailleurs parfois avoir des crises d’angoisse lorsqu’une pointe de chaos vient perturber son parfait petit univers. Au plus fort de ses crises, il peut arriver qu’il « disjoncte totalement », perdant alors tout self contrôle en même temps que le sens commun. Lors de ses instants de folie furieuse il est très dur de le raisonner et de le sortir de son délire, car il mettra tout en œuvre pour annihiler toute trace de souillure.

Tant Paradoxalement qu’ironiquement, le Shikai d’Azazel est la parfaite incarnation de se qu’il définit lui-même comme étant le chaos. C’est pourquoi il éprouve une grande affliction à s’en servir, préférant, dans la mesure du possible, utiliser son Kido ou son Zanpakuto sous sa forme scellée pour se battre.

Mais nous nous égarons, revenons plutôt à son physique, vous aurez tout le temps de lister le nombre et l’intensité de ses obsessions plus tard. Pour revenir à nos moutons, il va falloir vous dire qu’Azazel, à défaut d’être psychologiquement équilibré, a été gâté par Mère Nature pour se qui est de ses attributs physique. Hormis ses yeux que nous avons évoqués précédemment, le jeune homme possède, comme tout le monde, une bouche. Une bouche aux fines lèvres qui peuvent parfois exprimer sa joie au travers d’un sincère et chaleureux sourire qui découvre de magnifiques dents blanches parfaitement alignées.

Au dessus de cette gracieuse bouche, trône une chevelure aux reflets d’or cascadant sur ses épaules et qui, en toutes circonstances, est toujours impeccablement coiffée. Pour finir sa description, il nous faut parler de son corps. Ses longs entrainements lui ont valut un physique très athlétique, qu’il entretien chaque jour. Azazel est également grand, le champ d’or qui lui tiens place de chevelure culmine à 1,83m du sol.


Mais sous cette première apparence se cache un aspect beaucoup moins reluisant d’Azazel. Au fond de son cœur est plantée une obsidienne aux couleurs des ténèbres contenant une rage sans fin envers les Shinigamis. Cette rage ne pourra être comblée que dans le sang de ses derniers, après anéantissement total du Gotei13

Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant):



Nom : Jabberwock
Type : Ombre / Kido
Phrase d’éveil : «Dévore, Jabberwock"
Description : Sous sa forme basique, le zanpakuto est un simple katana à la garde noir laquée et dont la lame légèrement charbonneuse mesure 80cm. Mais une fois libéré, le zanpakuto s’allonge pour atteindre une taille de 2,50m d’un bout à l’autre, Kufuku richi prend dès lors l’apparence d’une lance à deux pointes recouverte d’une gangue d’ombre.
Pouvoir : La libération de son Shikai permet à Azazel d’absorber et de sceller toute forme d’énergie spirituelle touchée par son zanpakuto et à l’intérieur de celui-ci.


(si bankai il y a)


Description : L’ombre recouvrant le Shikai s’étend et englobe désormais Azazel. Désormais le Shinigami peut utiliser l’énergie absorbée pour accroitre temporairement sa force. La lance se raccourcis pour redevenir une épée. De plus, Azazel n'a plus besoin de toucher directement quelqu'un pour absorber son rietsu, tout à 2m de lui est drainé (en moins grande quantité que s'il touchait directement quelqu'un)


Histoire :


Qui peut se vanter d’avoir le luxe de se souvenir du jour de sa naissance ? Pas grand monde. Azazel lui se souviens de tout. Bien sur nous ne parlons pas là du jour où il vit le jour en tant qu’humain, non, de ce temps là il ne garde que des fragments étiolés de son ancienne vie. Son nom même semble s’être évaporé dans les méandres brumeux de sa mémoire. Mais sa véritable naissance il s’en souvient parfaitement. Ou plutôt sa renaissance. Il ressent encore la douce brise qui soufflait sur sa peau, le chant des oiseaux qui venaient se perdre dans ses oreilles, le gout amer qu’il avait dans la bouche à se moment là. Un mélange de terre et de fer, un gout atroce qui lui donnait la nausée, le gout de la mort. Car oui, Azazel venait de fraichement décéder, son âme solitaire avait baguenaudée jusqu’à se fixer en ce lieu, dans le 80eme quartier du Rukongaï. Lentement, ses paupières frémirent. Délicatement elles se levèrent, laissant une aveuglante lumière l’éblouir. Par reflexe, il tendit un bras en l’air, ultime rempart érigé pour le défendre contre cet agressif soleil. Peu à peu, ses iris s’habituèrent et il put enfin découvrir son nouvel environnement.


Ce fut là sa première pensée. Devant lui s’étendait à perte de vue le quartier le plus mal famé du Rukongaï, et ce qu’il observait l’affligeait au plus haut point. Des taudis à l’affreux aspect s’étendaient devant lui, dans cette foret de misère, des personnes en guenille couraient et hurlaient de toutes parts. Un cri d’horreur par ci, une exclamation ravit par là, un concert strident d’aboiements primaires ne contenant aucune grâce et qui lui vrillait les tympans. Agacé, Azazel commença à se masser les tempes. Lorsqu’alors il se rendit enfin compte que lui aussi était vêtu de loque et de fripes bon marché, le choc fut terrible. Un tremblement de rage s’empara de son corps. Qui ? Qui lui avait enfilé ça ? Quel outrecuidant avait eu l’audace de le revêtir avec tant de mauvais gout ? Quel cruelle main avait bien put lui faire ça ? Mais plus important encore, quand donc cet outrage avait il été fait ? Azazel ne se souvenait de rien. Quand, comment, pourquoi ? Il n’en savait rien, il n’en rappelait plus. La seule donnée certaine était qu’il se retrouvait désormais habillé comme un clochard dans une ville mal famée. Un constat peu optimiste avec un arrière gout amer.


Tout à la constatation de sa frustration et de sa surprise, Azazel n’avait point eu le loisir de remarquer qu’un vieil homme, aux vêtements en lambeaux et à l’odeur douteuse, s’était subrepticement approché de lui. De prime abord, cet être trop peu gracile excéda le nouveau venu. De quel droit un gueux tel que lui se permettait de l’aborder ? Et cette haleine…Dieu qu’il était affreux. Refoulant sa répugnance, le jeune homme prit tout de même le parti de lui rendre ses salutations et de commencer avec lui un ballet social que l’on nomme dialogue.


L’impact psychologique fut énorme. L’esprit d’Azazel se retrouvait désormais brisé. L’annonce de sa mort était en soi un choc important, mais lorsqu’il eut apprit sa condamnation perpétuelle au port des immondices dont il était affublé, il craqua. D’un pas lent, il se mit à marcher. Le visage hagard, les yeux dans le vide, la bouche entrouverte, Azazel n’entendait désormais plus rien. Il n’était plus qu’une coquille vide, sans espoir, sans but sans avenir. La direction de ses pas lui importait peu désormais, il marcha dans une lenteur cadavérique. Où il allait, il n’en savait rien et il s’en fichait. Réfléchir, il avait besoin de temps pour réfléchir et mettre bon ordre dans ses pensées.

L’errance d’Azazel dura longtemps, très longtemps. Enfin, pas tant que ça, tout est relatif. Pour un humain lambda 200 ans c’est long, mais que sont 200 années pour un esprit immortel ? Durant ces 2 siècles notre héros marcha, inlassablement il avançait. Même si le pourquoi du comment restait flou, perpétuellement il marcha. Au bout du compte et après avoir ressassé encore et encore ses souvenirs et ses pensées, il en arriva à une ultime conclusion. Les Shinigamis. C’était eux la cause de son malheur. Ces maudits avaient fait son malheur, il causerait leur perte. Cette institution impie il l’a détruirait de ses mains. Un affront pareil fait à sa personne ne pouvait rester impunis plus longtemps, il le devait, il le ferait.

Après cette retraite, Azazel décida de regagner son logis. Pour mettre à mal une organisation de cette puissance, il devait mettre au point un plan de bataille. Impossible pour lui de partir à l’assaut du Sereitei avec un gourdin. Même avec les meilleures intentions du monde, cela s’avérerait d’une inefficacité redoutable. Mais plus important encore, ce plan manquerait cruellement de classe. Ca, il le refusait. Sa volonté était forte et sa résolution inébranlable, les Shinigamis tomberaient de sa main, ainsi il en serait. Il avait l’éternité devant lui pour mettre au point un plan d’action, alors soit, il mettrait ce temps à profit pour étudier tous les angles possibles. Première étape, savoir ce qu’était cette organisation qu’il voulait voir tomber.

La mise au point de sa terrible machination lui prit encore 270 années. Durant ce laps de temps, Azazel apprit à connaître son ennemi sur le bout des doigts. Non pas que tout ce temps fut normalement réellement nécessaire, mais dans le 80eme district il dut, chaque jour, défendre sa vie et se battre. Ce qui retardait à chaque fois considérablement le lancement de sa vengeance. Mais ce retard avait du bon dans le fond, car à force de défaire maraud et assassins, il devint un expert dans le maniement du sabre. En arrivant ici, il était loin d’imaginer qu’un jour il serait semblable à tout ses soldats qu’il eu put connaître de sa vie d’humain. Lui qui les avait sans cesse rabroué et rabaissé, le voici qui désormais leurs était semblable. Il en vint même à penser que cet état de fait n’était autre qu’une punition karmique.

Le jour où il prit sa première vie, il s’en souviendra longtemps. L’homme qu’il avait abattu, il ne s’en souvenait pas. Pas même son visage ou sa voix, encore moins son nom. Même les événements qui avaient conduit à cette fatalité lui paraissaient flou. Ne subsistait que l’odeur du sang, sa texture poisseuse sur ses mains et la sensation jouissive que cela lui procurait. Une vie qui s’éteignait, poignardée en plein cœur. Un dernier souffle, ultime râle d’agonie d’une existence qui prenait fin. Des yeux qui perdait tout espoir et qui devenaient livide à mesure des secondes. Tout cela était pour Azazel un merveilleux tableau dont il était le peintre. Une œuvre d’art fugace dont la beauté était à couper le souffle.

Ce meurtre fut pour lui une révélation, il voulait devenir un artiste. Désormais il serait le peintre sépulcral du Rukongai. Cette passion nouvelle pour l’art lui fit perdre pendant de nombreuses années sont objectif premier de vue. Pendant près de 80 ans, Azazel s’adonna corps et âme à son hobby, tuant de plus en plus, jour après jour, une peinture après l’autre. En peu de temps, l’homme distingué qu’il était devint une bête fauve. Son prénom lui fut trouvé lors de cette funeste période. Azazel, l’ange de la mort. Biblique patronyme synonyme de destruction et de carnage. Ce sobriquet, il l’adopta avec une joie non mesurable. Et pour plus de panache, il se choisit un nom sur mesure. Lucifuru, dérivé de Lucifer, l’ange traitre qui trahit le tout puissant dans la gloire de l’éternel. Ainsi, se nommait-il désormais, Azazel Lucifuru, l’homme qui verrait tomber la soul society.



Nous retrouvons ce très cher Azazel quelques années plus tard. Le voici désormais élève officiel à l’école Shinigami, un pas en avant dans son plan de vengeance. L’idée était d’une relative simplicité, Azazel allait devenir l’un d’eux. Il intégrerait le Gotei13 pour mieux le détruire de l’intérieur. Petit à petit, il saperait son ennemi. Il allait d’abord se faire discret, puis lorsque le moment sera venue, il gravirait les échelons jusqu’à arriver au sommet, et une fois à ce niveau, il anéantirait tout. Ne laissant que ruine et désolation derrière lui. Le plus dur allait être de jouer un jeu de dupe, pour tous il serait exemplaire, le parfait camarade, le parfait élève, le parfait soldat. Personne ne devrait lire dans son jeu. Jamais.

Comme lui avait dit la personne qui avait pris son inscription, il trouva son mentor salle 214. Un Shinigami sans âge au visage barbé de cicatrices dont le nom lui échappait. Celui-ci lui remit effectivement un kimono noir et des sandales en cordes, uniforme officiel, ainsi qu’un sabre de facture moyenne et excessivement lourd pour sa taille. Azazel s’équipa de cette arme avec dégout. On l’obligeait désormais à accrocher cet horrible épée à son ceinturon, la cruauté du Sereitei n’avait elle point de limite ? Mais obligatoire était cet exercice, manger, s’entrainer, méditer et dormir avec cet Asauchi il lui faudrait désormais. Le professeur, avec un sourire en coin, annonça que les personnes se soumettant avec dévotions à ses exercices auraient une belle surprise dans les années à venir. Azazel prit les instructions au pied de la lettre et ne se sépara plus de son sabre.

Les années passèrent et les cours s’enchainèrent. Azazel apprit les manœuvres militaires, le combat à l’épée et surtout le kido. Passionné comme jamais par cette matière hors norme, notre héros mis tout son talent pour exceller dans les arts obscurs de la nécromancie. Grâce, beauté…, il trouvait que la science du sortilège était d’un niveau artistique peu égalable. De plus, quelle plaisir d’avoir le pouvoir d’éliminer quelqu’un sans avoir à se salir les mains, juste en récitant quelques incantations, de la pure magie que cela. Envouté par cette matière, Azazel mettait un point d’honneur à finir premier.

Le temps aidant, Azazel enferma sa haine au plus profond de lui. Il arriva même à se faire des camarades, des amis. Toujours souriant, toujours prêt à aider, toujours aimable et polie, il était devenu en peu de temps le parfait modèle d’intégration. Des rires, des joies, des frustrations, il partageait désormais tout de lui avec ceux qu’il avait autrefois juré de passer par les armes. Une douce et heureuse période d’insouciance.


Un monde de chaos s’étendait devant lui. Tout à perte de vue n’était que ruine et désolation. Des châteaux en friches dont les fondations brulaient sans discontinuer, le dieu de ce monde avait il réussit à lire en lui ? L’avait il envoyé en enfer pour le châtier ? Non, impossible. Azazel se souvenait. Il était en train de méditer avec son Asauchi, s’était il endormit ? Ceci n’était il qu’un cauchemar ? Pourtant tout était si clair, si limpide, tout semblait tellement réel.


Une caverneuse voix qui semblait sortit d’outre tombe s’élevait désormais du néant, son écho se faisait de toute part et faisait trembler les fondations de l’onirique monde dans lequel Azazel se trouvait. Il la voyait désormais. Au milieu des décombres fumantes de ce monde de chaos, tenait place un trône de pierre dans lequel siégeait une créature difforme au visage haineux qui le dévisageait en souriant.



Depuis ce jour, Azazel n’est plus jamais rentré en contact avec son zanpakuto, il n’a même jamais utilisé son Shikai. Toujours est-il que le jour tant attendu arriva enfin. Le jour béni de la remise des diplômes et des affectations. Ayant montré des talents exceptionnel dans la maitrise du Kido, Azazel fut envoyé dans la division des nécromanciens. Un corps armé spécialisé dans l’utilisation des sortilèges, heureux il était, ainsi les occasions de montrer son pouvoir véritable se feraient plus rares. Cette partie de lui, il la reniait tant bien que mal. Il savait, il avait toujours su, au fond de lui cette chose était tapie depuis le début, mais il ne voulait pas admettre qu’une si laide incarnation était son pouvoir. La cacher il se devait, à tout prix.

Les années se remirent à défiler lentement. Azazel faisait de son mieux pour ne pas se faire remarquer, ses talents lui valurent la place de 4eme siège de la division. A l’époque cela lui convenait, l’heure n’était pas encore venue pour lui de s’exposer en pleine lumière. Son flair ne le trahit pas. Quarante ans après la fin de ses études, de nombreux événements vinrent troubler la sérénité du Sereitei. Kurosaki Ichigo, la trahison d’Aizen, les arrancars, les Quincy, la mort du capitaine commandant, l’intervention de la division 0, la reconstruction, puis la guerre à nouveau. Durant toutes ses années, Azazel participait sans jamais trop en faire. Toutes ses plaies étaient tant de pierre à son édifice vengeur, chacune d’elle contribuait peu à peu à précipiter les Shinigamis vers leurs fins.

Jusqu’à ce jour. Un drôle de cristal avait atterrit au sein même de la soul society. Le nouveau capitaine commandant, envoya dès lors une expédition punitive au Hueco Mundo. Expédition dont Azazel fit partit. Séance tenante les troupes partirent, gonflé à bloc, prêtes à rependre la divine justice dans l’univers sans loi du monde creux.

Mais là bas les choses ne se passèrent pas exactement comme prévu. Les Hollows étaient partout et l’escouade dont faisait partit Azazel se retrouva cernée de toute part. Même si aucun mort n’était encore à déplorer, les combats s’intensifiaient et l’inéluctable fin devenait de plus en plus évidente. Malgré sa réticence, Azazel libéra tout de même son Shikai. Peu à peu le combat tourna en sa faveur. Malheureusement, un celo explosa près de lui et le blessa lourdement. Lentement son esprit s’engourdissait, sombrant de plus en plus dans les ténèbres.



Azazel se réveilla plusieurs jours après les faits. Lorsqu’il ouvrit les yeux, il reconnu l’infirmerie de la 4eme division. Son corps était raide et ses os le faisaient souffrir. Chacune de ses articulations semblaient vouloir se décrocher pour mieux tomber en poussière. A son réveil, le capitaine commandant en personne le veillait. Il voulait lui annoncer la nouvelle en personne. Le pouvoir qui lui avait été accordé par son Zanpakuto se nommait Bankai, et le simple fait qu’il eût su l’utiliser faisait de lui un sérieux candidat au poste de capitaine de division. Et coup du sort extraordinaire, son propre capitaine venait de succomber lors d'une mission. Après une sobre cérémonie funéraire et une journée officiel de deuil pour commémorer la mémoire de ce héros tombé au combat comme tant d'autres, Azazel fut officiellement nommé à sa succession.

A partir de ce jour, Azazel s’entraina sans relâche pour dompter son Zanpakuto et enfin accéder au graal ultime qu’est le Bankai. Après des semaines d’entrainements acharnés et inhumain, il était enfin parvenu à maitriser son sabre.

Présentation finis ! (Désolé si la fin est peut être un "poil baclé" ^^")

No problème, voici qui est fait
J'ai souligné le passage en question histoire que t'ai pas à rechercher 107 ans la modif'