AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion

CreativeJuiz

OuvrirFermer






Le forum est fermé. Vous pourrez nous retrouver sur notre nouveau projet ICI
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

Partagez
 

 Chikusa Heiji || Presentation terminée

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Chikusa Heiji
Chikusa Heiji || Presentation terminée Shi-cap
Chikusa Heiji
Rang : Nana Bantai Taisho

Messages : 557
MessageSujet: Chikusa Heiji || Presentation terminée   Chikusa Heiji || Presentation terminée Icon_minitimeMer 16 Oct - 16:31

Chikusa Heiji

    Âge : 50 ans.
    Race : Shinigami.
    Sexe : Masculin.
    Siège demandé : Cap'tain de la septième.


    Description de votre personnage :

    D’abord, il y a mon aspect androgyne. C’est certainement la première chose qui frappe la plupart des personnes, lorsqu’on me rencontre pour la première fois. Petit garçon ou petite fille ? Personne ne saurait vraiment répondre avec sureté à cette question. Tout en moins est vraiment trompeur. Ma corpulence, ma chevelure et même l’intonation de ma voix. Et s’il s’agissait d’un point qui m’irritait par le passé à cause des fausses suppositions que l’on pouvait faire sur mon physique, c’est devenu avec le temps une source rare d’amusement pour moi, puisque je me permettre de jouer un rôle jusqu’à ce que lassitude s’en suive.

    Ensuite, il y a cette fameuse corpulence, qui n’est pas sans rappeler le capitaine Hitsugaya. En effet, je suis un enfant. Ni plus, ni moins. Ça donne déjà des idées. Mais de corps seulement, on s’entend. Je dois à peine dépasser le mètre quarante pour une trentaine de kilos tout au plus. Rien d’extravagant, quand on voit la corpulence démesurée de la plupart des shinigamis qui travaillent au sein du seireitei. Concernant ma voix, elle est douce, légèrement enfantine et presque féminine malgré tout le sérieux dont je peux faire preuve ; ce qui penche le plus souvent les suppositions en faveur du beau sexe concernant mon identité.

    Enfin, il y a tout le reste. Une longue chevelure brune toujours coiffée en queue de cheval ; un beau minois avec des traits fins ; une peau blanche, presque pâle, épargnée par une quelconque cicatrice ; et de grands yeux couleur noisette. Mon code vestimentaire est simple. Par souci d’efficacité, j’ai dû légèrement raccourcir les manches de mon haori jusqu’aux épaules. Pour ce qui est de mon shihakusho, rien de spécial. Les seules touches fantaisistes que l’on pourrait noter chez moi sont les multiples bijoux qui ornent mes mains et poignets, ainsi que la présence constante d’une écharpe blanche autour de mon cou.

    Contrairement aux enfants de mon âge, je suis peu, voire pas du tout souriant. Caractère altier oblige. J'ai beau être "mignon", mais il n’en demeure pas moins que je suis un garçon froid et plus ou moins solitaire. Un glaçon, somme toute. Gros paradoxe quand on connait pourtant la nature de mes pouvoirs. Dans l’optique de demeurer toujours professionnel et digne de mes rangs, j’ai cultivé un côté pragmatique. Plutôt que de m’exprimer avec des mots, j’agis et mes actes concrets parlent généralement pour moi. Lorsque je le prends la parole cependant, je dois avouer être franc, même si je dois pour cela m’avérer désobligeant.


    Pouvoirs:

    Shikai : « Tenka, Faiabādo » (Enflamme, Oiseau de feu)
    Au niveau du shikai, il n’y a aucun changement majeur à signaler, si ce n’est que la lame du zanpakutoh est constamment et follement enflammée. A ce niveau, un léger cercle de feu entoure Heiji de sorte à le protéger de certaines attaques. Il peut lancer des boules de feu explosives, des lames de feu, et même un phénix de feu de taille conséquente.

    Bankai : « Kami kihatsu-sei enshō » (Dieu des volatiles enflammés)
    Le bankai donne lieu à une fusion. Ne faisant plus qu’un avec son zanpakutoh, Heiji se voit doté de deux grandes ailes et de plusieurs queues enflammées, tout en gardant dans son zanpakutoh inchangé dans l’une de ses mains. L’incarnation même du phénix dans toute sa splendeur, puisqu’il peut générer dès lors, des vagues destructrices de feu et même se protéger avec un manteau de feu plutôt efficace.


    Histoire :

    50 ans avant l’ère actuelle...

    Chez les Chikusa, la joie est au rendez-vous et elle est grande. Après plus de cinquante ans de mariage, le chef de famille venait d’apprendre la naissance de son premier enfant. Un garçon qu’on lui a annoncé. Sans trop plus se préoccuper de son rang de noble et de sa position satisfaisante au sein de la hiérarchie de la cinquième division du Gotei, l’homme fondit en larmes sous les regards attendris de ses vassaux et proches parents. L’émotion était forte. Le cœur battait à cent à l’heure. Sans trop l’admettre à lui-même, l’homme est aussi soulagé qu’heureux. Sa lignée ne s’éteindra pas, pensa-t-il. Il en a la quasi-certitude. Une fois remis de ses émotions, Nakamaro -C’était son prénom-, se rendit dans les appartements de son épouse. Cette dernière, à son arrivée, tenait dans ses bras un beau bébé qui, semblait-il, n’avait aucun problème apparent. D’ailleurs, la ressemblance entre le père et le fils était frappante. Aucun doute possible ! C’était bien son enfant. Devant ce don que le ciel lui avait fait, Nakamaro se remit à pleurer. Il avait traversé des périodes difficiles. Entre les moqueries des autres familles de la basse noblesse et ses propres inquiétudes sur le futur réservé à son propre clan, inutile de dire qu’il en avait bavé. Ce jour béni venait de récompenser sa persévérance pour ne pas avoir adopté un enfant, mais aussi l’amour inébranlable qu’il portait à sa tendre moitié.

    48 ans avant l’ère actuelle...

    Malheureusement, le bonheur dans cette famille ne fut que de courte durée. Nakamaro, troisième siège de la cinquième division et chef de la famille Chikusa, avait perdu la vie lors d’une mission sur Terre, dans des circonstances très mystérieuses. Son décès fit beaucoup de bruits à cette époque et ses obsèques furent grandioses. Sa femme, Saori Chikusa, fit une grave dépression pendant un bon bout de temps. Mais grâce au soutien de ses proches parents et celui du bienveillant capitaine Aizen, elle put vite se ressaisir et surtout s’accrocher à la seule personne qui pouvait encore faire son bonheur : Son enfant. Dès lors, dame Chikusa materna son fils comme jamais elle ne l’avait fait. Ce trop-plein d’amour suscita l’inquiétude de son entourage pendant un petit moment, mais le temps passa et lui donna raison : Son fils s’épanouissait clairement à la surprise générale. Fière de son bambin, il lui arrivait très souvent de se promener avec lui dans le seireitei et même d’aller voir le capitaine Aizen qui lui avait été d’une grande aide. Saori redevenait tout doucement une femme épanouie malgré son statue de veuve. Cependant, un tout autre problème vint encore accabler cette pauvre famille. La mère tomba gravement malade et finit par contracter, on ne sait comment, la même maladie qui tenait constamment le capitaine Ukitake dans ses appartements.

    35 ans avant l’ère actuelle...

    Le temps avait passé et j’avais fini par grandir. Enfin… Grandir est un bien grand mot, puisque j’avais toujours cette apparence de gamin. Cependant, mentalement parlant, j’étais comme qui dirait un peu plus en avance que les autres enfants de mon âge. Vu que ma mère était constamment malade, les vassaux de notre clan m’avaient pris en charge de la plus mauvaise des manières. Il me fallait rapidement prendre la relève pour décharger les épaules de Dame Chikusa, qu’ils pensaient. C’est donc ainsi que pendant que les autres garnements jouaient à la baballe, moi j’apprenais la calligraphie, l’art floral et bien d’autres choses qu’un noble digne de ce nom se devait de connaitre. Nos vassaux m’avaient responsabilisé un peu trop tôt. Ils ne pensaient pas à mal puisqu’ils voulaient à leur tête un nouveau suzerain, mais la manière n’y avait pas été. Des amis ? Je n’en avais pas eu. Des confidents ? Idem. L’intérêt de s’adonner à un jeu comme le faisait les autres enfants ? Je ne le comprenais pas. Si bien qu’au final, cette situation me rendit très asocial et un brin froid avec les autres. Vu que j’avais un rôle très important à tenir, je m’étais forgé un masque au fil du temps. Ce n’est que devant ma pauvre et chère mère que j’affichais mon air enfantin et souriant. Elle était la seule personne avec laquelle je pouvais être moi-même. Le reste importait peu à mes yeux.

    34 ans avant l’ère actuelle...

    C’est lors d’une journée ensoleillée et tout à fait banale, que le capitaine Aizen nous rendit visite. Il conversa longuement avec ma mère qui allait plutôt mieux en cette matinée, avant de m’accorder une brève attention. Je pense bien que ce moment-là marqua à jamais mon histoire, puisqu’il m’affirma en souriant que j’étais fait pour être un grand shinigami au vu de mon potentiel prometteur. Cette perspective affola quelque peu ma mère en raison de la mort de mon père, mais le capitaine fit vite de la rassurer avec un calme olympien et des mots bien choisis. Cette suggestion fut appuyée par quelques vassaux qui se trouvaient dans la même pièce que nous et qui revoyaient en moi, l’homme qu’ils servaient jadis. De quoi faire sourire timidement ma mère, qui finit par m’adresser un regard doux et bienveillant. Toujours touché par l’attention de cette femme, j’avais rougi avant de détourner le regard, ce qui eut l’art de faire rire l’assemblée. Vu le maintien et la froideur que cultivais depuis un bon bout de temps maintenant, il était rare de me voir perdre mes moyens de la sorte. Intérieurement, j’étais tout aussi confus. Que fallait-il faire, alors ? Marcher sur les traces d’un père que je n’avais jamais connu ? Choix difficile. Mais devant la prestance du capitaine et le sourire de ma mère, je devais avouer que l’idée était véritablement tentante…

    33 ans avant l’ère actuelle...

    Finalement, l’idée m’avait séduit. Mon objectif n’était pas vraiment de devenir un puissant shinigami mais de changer un peu de mon train-train quotidien. On allait bien voir ce que ça allait donner. Ma mère eut un long moment de réflexion, mais elle finit par me donner son accord et sa bénédiction. A la veille de la rentrée académique au shin’oreijutsu-in d’ailleurs, elle alla jusqu’à me léguer l’un des seuls souvenirs qu’elle gardait de son défunt époux : Son zanpakutoh. Il s’agissait d’un katana plutôt lourd et incommodant. Dubitatif, je me demandais bien s’il allait vraiment me servir un jour, mais pour faire plaisir à ma mère, je n’eus d’autres choix que de l’accepter avec un sourire factice qui se voulait reconnaissant. Le jour du départ arriva enfin. Excité ? Je l’étais réellement. Mais une fois sur place et quelques jours après, je déchantai complètement. En plus du fait que les jeunes gens de ma catégorie étaient inintéressants, qu’il s’agisse des natifs du rukongai ou ceux du seireitei, les cours étaient horriblement ennuyants. Tout du moins la théorie. Les informations qu’on nous balançait ? Je les assimilais sans peine, tant et si bien que la pratique était d’une extrême facilité pour moi. J’excellais dans presque toutes les matières. Toutes, sauf le hakuda vu ma frêle corpulence. Mais cela ne gâchait en rien le fait que j’épatais constamment la galerie !

    30 ans avant l’ère actuelle...

    Trois petites années. C’est le laps de temps qui m’avait suffi à devenir un shinigami à part entière. Petit génie parmi tant d’autres (Ichimaru Gin et Shiba Kaien étaient bien connus pour n’avoir effectués qu’une seule année académique), il ne m’avait suffi que de la moitié du cursus normal pour arriver à décrocher mes diplômes. La joie de ma mère avait été immense. De même pour mes vassaux qui n’arrêtaient de tarir d’éloges à mon égard. En vérité, je n’étais pas spécialement fier de moi. Et puis, j’imaginais déjà crouler sous le poids de mes nouvelles responsabilités, en plus de celles que j’avais au sein de ma famille. Des perspectives qui ne m’enchantaient pas vraiment, il fallait l’avouer. Au vu de mes compétences et de mon statut de noble, ce fut la sixième division qui m’accueillit à bras ouverts. Inutile de vous dire que j’avais été plutôt déçu, puisque j’aspirais à intégrer la cinquième division pour servir le capitaine Aizen que je considérais vraiment comme un modèle. Néanmoins, l’illustre Kuchiki Byakuya m’époustoufla de par son caractère altier. Un vrai exemple comme on n’en voyait plus. C’est alors que je me mis à travailler d’arrache-pied pour lui ressembler en tous points. Je récoltai rapidement le fruit de ma labeur en débloquant mon shikai, ce qui me valut tout juste la place de cinquième siège, derrière une mystérieuse femme du nom d’Aisaka Kiyoshi.

    Seulement, un énième malheur s’abattit sur ma famille pendant la même année. Ma chère mère avait succombé à sa maladie qui la rongeait depuis longtemps. De quoi me plonger dans le désarroi le plus total. Néanmoins, j’intériorisais tant bien que mal ladite détresse au vu de mes rangs dans le seireitei. Il n’y avait pas moyen que je me lamente. Tout du moins devant mes coéquipiers de la sixième division et mes vassaux. Les funérailles de ma génitrice furent discrètes. Et lorsqu’enfin, l’occasion m’avait été offerte de rester seul dans un coin après un long moment à recevoir des condoléances, j’avais fondu en larmes comme tout enfant de mon âge. Je n’avais plus aucune attache affective, presque plus aucun repère. La solitude pesait énormément sur mes frêles épaules. Même si j’avais beau être mature, il n’en demeurait pas moins je restais tout de même un enfant. Mais alors que je me croyais seul, une personne me surprit entrain de pleurnicher. Personne qui n’était autre que la quatrième siège de ma division. Celle-ci m’approcha avec douceur, avant que je ne me laisse aller dans ses bras. Plus tard pourtant, je regrettai d’avoir succombé de la sorte. Ce comportement n’était pas digne d’un noble ! Aussi voulus-je m’éloigner de cette femme, mais celle-ci me rappelait tellement la chaleur et la douceur de ma génitrice que j’avais fini par la considérer comme une mère de substitution.

    17 ans avant l’ère actuelle...

    Je l’avais enfin eu ! Le bankai je veux dire ! Après m’être longuement entrainé en secret avec Aisaka, je l’avais enfin déloqué. Bien sûr, cela avait demandé maints et maints efforts, mais je n’avais pas chômé, ne m’était pas découragé et le résultat avait payé. Il ne me restait plus qu’à le maitriser, même si globalement, le plus gros était fait. Mais alors que j’étais tout joyeux et plutôt fier de moi, il eut cette invasion de Ryokas qui chamboula tout le monde. D’où venaient-ils ? Aucune idée. Toujours est-il que j’avais été mobilisé comme un soldat lambda avant d’exécuter ce que l’on me demandait de faire sans broncher. Toutefois, la tournure que prit les évènements fit vite de m’anéantir. Aizen, un traitre ? Non… Je refusais vraiment de le croire ! Pourtant, après les quelques jours qui suivirent sa désertion, je dus bien m’y résoudre. Je n’étais peut-être pas un membre de la cinquième division, mais force était d’admettre que la nouvelle m’avait touché et profondément choqué. Une mésaventure qui m’avait appris à ne plus idéaliser une personne, mis à part Aisaka, qui, encore une fois, m’avait aidé à remonter la pente. C’est d’ailleurs à cette période que les hautes strates du seireitei me transférèrent à la septième division pour remplacer le quatrième siège Jirobo Ikkanzaka, défait par le jeune Quincy Ishida. Un nouveau cap était maintenant franchi !

    4 ans avant l’ère actuelle...

    2012. L’année de tous les chamboulements. Les SternRitters étaient plus décidés que jamais à tous nous exterminer. Aux côtés du troisième siège et de mon lycanthrope de capitaine, je combattis assez farouchement. Et c’est grâce à nos efforts conjugués que nous pûmes sauver quelques-uns de nos hommes. Malheureusement, et de peur de me faire voler mon bankai, j’avais été battu à plat de couture après avoir réalisé l’exploit de tuer quelques quincys de bas étage. Mais au bord de la mort, la division zéro pointa enfin le bout de son nez. Le reste ? Je ne m’en souvins plus, mais toujours est-il que j’avais eu la vie sauve. Par la suite, et malgré les apparences, le capitaine Komamura fut considéré comme l’un des grandes sauveurs, survivants et piliers de la soul society. Conséquence ? Sa promotion à la division zéro juste après la reconstruction du Seireitei, comme quelques autres capitaines. Le troisième siège lui succéda très rapidement. Himesaki Tojo, qu’il s’appelait. Personnellement, je ne l’aimais pas vraiment. Je ne le sentais pas du tout malgré son sourire affable et ses bonnes manières, même si je n’eus pas grand-chose à dire sur sa promotion. Toutefois, j’aimais bien ma vice-capitaine. En plus d’être douce et affable, elle était très belle. Ce fut donc avec plaisir que je travaillais discrètement à ses côtés. Tout semblait aller pour le mieux, enfin !

    Parallèlement, je fis aussi la connaissance d’un nouveau capitaine qui avait fait parler de lui plusieurs années en arrière. J’avais même lu des archives le concernant dans la grande bibliothèque du Seireitei, et la réputation qu’on lui collait n’était pas bien reluisante. Néanmoins, son retour au sein de mon armée me conforta dans l’idée selon laquelle on pouvait lui faire confiance. Ce pourquoi, humblement, je m’étais rendu à ses quartiers avec quelques-uns de mes vassaux pour lui demander son aide. Etant donné que je n’arrivais pas à maitriser mon bankai, et que le Yakushiji était réputé pour être un excellent enseignant du jinzen, mon choix se justifiait dès lors. Contre une forte rémunération donc, l’homme accepta alors de me prendre sous son aile. Les débuts furent plutôt difficiles, pour ne rien changer. Nonobstant les difficultés cependant, je fis preuve de persévérance et de courage. Mes efforts payèrent encore une fois quelques années plus tard. Mon titre de génie prenait tout son sens. A moins de cinquante ans seulement, j’étais l’un des plus complets et des plus puissants shinigamis de la Soul Society. Seule une poignée de personnes le savaient. Pas même mon idiot capitaine. Cet abruti était plus occupé à dormir, à boire et à draguer qu’à faire autre chose de sa pitoyable existence. C’était à se demander comment une telle loque avait pu finir capitaine de division…

    De nos jours…


    Quatre années s’étaient écoulées. Quatre années encore mouvementées. Entre les fameux Maho Tsukai qui nous tourmentaient, les différentes promotions et rétrogradations, il fallait avouer que le seireitei avait peine à se reconstruire. C’est dans cet état plus ou moins chaotique de notre faction, que mon soutien de toujours fut promu capitaine de la sixième division. Un fait qui n’avait pas manqué de me faire plaisir. Malheureusement, nous allions de bonheur en malheur, puisqu’une mauvaise nouvelle vint aussitôt bouleverser la division dans laquelle j’étais : L'emprisonnement puis la mort de notre capitaine. Si j’avais été peu ému par son décès, j’eus tout de même une pensée pour sa femme qui était aujourd’hui à la tête de la huitième. Le poste de capitaine de la septième division redevint encore une fois vaquant. Mais alors que je ne m’y attendais pas du tout, les hautes strates m’envoyèrent une missive. Missive selon laquelle j’avais été choisi pour passer le Taishyu en vue de combler le poste laissé vacant par l’Himesaki. Ayant été recommandé par le Yakushiji lui-même, j’eus l’immense honneur de passer les épreuves de capacité et de personnalité obligatoires devant quatre capitaines. Mes démonstrations furent brillantes puisque quelques temps plus tard, le capitaine-commandant me promut en tant que nouveau capitaine de la septième division. Pour moi, l’avenir promettait !
Revenir en haut Aller en bas
http://www.bleach-bsrpg.com/t1639-chikusa-heiji#12702
Melody MacKenzie
Chikusa Heiji || Presentation terminée Hum-ind
Melody MacKenzie
Rang : Ϟ Espiègle Valkyrie

Messages : 2108
MessageSujet: Re: Chikusa Heiji || Presentation terminée   Chikusa Heiji || Presentation terminée Icon_minitimeJeu 17 Oct - 22:31

Blablabla, pas de perte d'XP, blablabla, capitaine de la 7ème division, blablabla, va faire ta fiche technique, blablabla, validé, blablabla, bon RP. Youpi.
Revenir en haut Aller en bas
http://www.bleach-bsrpg.com/t1637-melody-mackenzie
 

Chikusa Heiji || Presentation terminée

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Chikusa Heiji
» Takamura Cho [Présentation Terminée]
» Tôzawa Onimaru. [Présentation terminée]
» Jack [Présentation Terminée]
» SITHU || Presentation terminée

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Bleach - Before the Shadows :: Archives :: Archives-