Avatar : Le personnage sur votre avatar.
Parrain : Si un autre membre vous a ramené sur le forum.
Comment avez-vous découvert le forum ? La mauvaise réputation de BTS ... (non c'est pas vrai) L'autre jour sur une CB le sujet était BTS ^^
Kuchiki Merudy
Âge : 544 ans - (19 ans physique)
Race : shinigami
Siège demandé : Capitaine de la 6e Division
Chef de Clan Kuchiki (?)
Description de votre personnage : À quoi ressemble votre personnage ? (10 lignes au minimum)
Pour commencer je dirais que je suis assez grande, un mètre soixante-douze pour être exacte. J'aime bien la couleur de mes yeux, qui sont verts, et celle de mes cheveux qui sont roses. J'ai musclé mes bras à force d'entraînement, cela se voit légèrement lorsqu'on les regarde mais je ne perds rien de ma féminité car il faut quand même avoir un regard insistant sur eux pour remarquer la forme délicate de mes muscles. Ensuite je ne dirais pas grand-chose de ma poitrine si ce n'est qu'elle est peut-être un peu trop grosse a mon goût mais qu'elle reste dans des proportions correct. Mes hanches ne sont pas aussi marquée que pour la plupart des femmes et mon bassin n'est pas aussi rond que les leurs, ce qui ne m'empêche pas d'avoir une démarche féminine normale. Mes jambes, quant à elles, sont à l'image de mes bras, finement musclée.
Maintenant je vais entrer dans les détails de mes coiffures, d'avant et de maintenant. Avant d'entrer a l'académie, je coupais mes cheveux de sorte qu'ils ne dépassent pas la base de mon cou. Cela me donnait un air de garçon manqué. Je les coiffais juste pour qu'il tombe droit mais pas devant le visage car je les faisais couper juste au-dessus de yeux. À l'académie et à mes débuts à la onzième division, je tenais a ce que le fait d'être une femme ne se voit plus uniquement à ma poitrine où a ma démarche, mais aussi à ma coiffure. Sans les coiffer différemment d'avant, je les laissais cependant pousser plus long, jusqu'à mi-bras. Ensuite, et jusqu'à la fin de mon affectation à la onzième, je pris l'habitude d'avoir un bandeau dans mes cheveux et une longue natte. Devant le bandeau je faisais sorte que deux longues franges m'encadre le visage jusqu'en dessous de ma poitrine avec une mèche coupé assez courte sur le front. Derrière le bandeau, bleu marine le plus souvent, ma natte empêchait mes longs cheveux de tomber trop bas, et avec elle, ils descendaient jusqu'en dessous de mon bassin. À la treizième division, je conservais ma natte mais celle-ci prenait aussi les deux franges que j'aimais laisser tomber autour de mon visage. Enfin, étant capitaine, je tiens à ce que le symbole de mon grade sur mon haori soit visible et je fais en sorte que ma natte, attachée plus haut sur mon crâne, à la mode samouraï, ne le masque pas. Je la coupe donc de sorte à ce que mes cheveux, utilisés dans ma natte, ne tombe pas plus bas que légèrement en dessous de mes épaules. Mon bandeau refit sont apparition et je j'ai retrouvé joyeusement les deux longues frange qui encadre mon visage et ma petite mèche sur le front. En permissions, mes coiffures n'étaient, et ne le sont toujours pas, différentes.
Parlons vêtement maintenant. Avant d'entrer à l'académie, ma tenu favorite était un kimono bleu marine avec une obi blanche. Ma garde-robe jusqu'à mes quinze ans, n'était composé que de ça. Ah oui, je préférais de loin les zori aux chaussures et elles étaient du même bleu que mon kimono. Je ne portais pas de chaussette et hormis lors de mon bankaï où j'ai des bottes, hormis pour la couleur, je porte toujours le même type de zori. À l'académie ma réserve de vêtements s’enrichit de l'uniforme réglementaire des étudiants. Cet uniforme était composé de trois parties, un haut blanc avec le symbole de l'académie en noir au niveau de la poitrine, une obi rouge et une jupe tombante de la même couleur. En tant que shinigami, je portais l'uniforme réglementaire sans les chaussettes. Pour tout dire cet uniforme est un kimono noir avec une obi blanche sans oublier les sandales montantes de même couleur que le kimono. Je plaçais mon zanpakutô à la ceinture sur mon côté gauche car je suis droitière. En tant que capitaine je porte une haori blanche sans manche avec le symbole de mon grade. À partir de ce moment, mon shihakusho, lui aussi, ne me couvrait, plus les bras, ce n'est pas très réglementaire mais cela fut accepté. Ah oui, j'ai oublié de préciser que j'ai maintenant, caché par mon obi, deux poches à kunaï au niveau de ma hanche droite. Chacune d'elle en contient quatre.
J'ai quelques précision à apporté concerant un des vêtement que je porte. Mon harori n'est pas blanche mais bleu mi-foncé avec le numéro de ma division en noir et bardée d'hermines plains dorées
Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant):
Shikaï
« Élimine Kakutou Sen'jo. »
Mon zanpakutô prend la forme d'une arme étrange. Le manche, qui mesure un mètres cinquante de long, est fait dans un métal qui n'ai pas soumis à la gravité ce qui le rend plus maniable car il n'a pas de poid. C'est comme si je tenais une plume. L'intérieur du manche est creux, en bas se touve une bouche de canon et à l'intérieur un harpon rattaché à une corde métalique longue d'une trentaine de mètre car très fine. A l'autre bout, se trouve un trident avec la pointe centrale un peu plus longue et épaisse que les deux pointes lattérale. L'arme est bleu marine.
Mon shikaï est de type corps à corps et eau.
Bankaï
« Bankaï ! Keibo Sen'jo. »
Alors mon reiatsu vert m'entoura plus fort que jamais. Contrairement à mon shikaï, c'était sur tout mon corps qu'il devint opaque, sauf au niveau du visage. Lorsqu'il redevint invisible, je pus voir l'intégrité de la libération ultime de mon zanpakutô, il recouvrait tout mon corps. Une cape noire, aux bords tissés dorés munie d'une capuche rabattue sur ma tête, apparut. Ensuite, il y avait une robe, avec un décolleté mettant ma poitrine en évidence, qui descendait jusqu'à mes genoux, elle était rouge et un tissu de soie rose, avec un nœud à l'avant, me servait de ceinture. Les chaussettes de mon bankaï étaient, elles aussi, rouges et me montaient jusqu'aux genoux. Quant aux chaussures, c’étaient des bottes noires en cuir recouvertes de pointes métalliques de cinq centimètres placées de manière régulière. Aux mains, je tenais deux tridants aussi grand que celui de mon shikaï. Ils étaient en tout points identiques au premier. La quantité d'eau que je pouvais manier était, énorme, peut-être infinie.."
Mon bankaï est de type corps à corps et eau.
Histoire : (25 lignes au minimum)
Au cas où vous vous poseriez la question, nous vérifions en résolution 1024*768
Chapitre 1 – Un mot prémonitoire
Je suis née le 17 janvier 1473 selon le calendrier de la Soul Society. Mon père se nommait Yoren du clan Kuchiki, alors que ma mère était une Kyoraku nommée Arielle. Ma mère, je ne l'ai jamais connue, tout ce que je peux dire d’elle est ce que mon père m’a raconté. Belle comme la lune se reflétant dans l'eau calme d'un lac en plein été, belle comme la neige tombant du ciel par une soirée d'hiver avec le soleil couchant à l'horizon. Mon père devait vraiment être amoureux d'elle pour me la décrire en ces termes, des années après sa disparition.
Je ne sais pas vraiment l'âge que j'avais lorsqu'un événement, anodin pour les autres, me marqua l'esprit à tel point que je m'en souviens encore et avec du recul, ce souvenir me fait encore sourire. Mon père a gardé aussi cela en mémoire car on se souvient toujours des premiers rires de son enfant. Il est lui aussi incapable de me dire l’âge que j'avais. Je pense que j'avais deux ans car d'après lui, je commençais à peine a parler. Apparemment, alors que je disais à peine le mot papa, qui est le premier des mots qu'un tout petit enfant prononce à moins d'être surdoué, j'avais montré du doigt, ma bouche grande ouverte émettait des borborygmes normaux pour mon âge, un des objets posé à côté d'une personne en méditation :
« Ça ma fille, c'est un zanpakutô. »
Et quelques heures plus tard, ma nourrice me demanda :
« Alors ma petite Merudy, tu as passé une bonne journée ? »
Ma nourrice se souvient très bien m'avoir posé la question car juste après, je m'étais lancée dans une tirade qui la fit sursauter, en prononçant très vite, continuellement et très excitée le mot :
« Zanpakutô. »
Il paraît que cette nuit-là, je n'arrêtais pas de prononcer ce mot dans mon sommeil, empêchant par la même occasion ma nourrice de dormir, elle se réveillait en sursaut à chaque fois. Mon père avait été très surpris d'apprendre que je prononçais ce mot avec une aisance peu commune du haut de mes 2-3 ans. En fait, je pense qu'il n'a pas cru ma nourrice, qui lui proposa de me montrer le fameux sabre des Shinigami. Ce dernier appartenait au clan Kuchiki. Mon père s’éloigna de lui car les institutions militaires avaient pris trop d'importance dans la famille, ce qui fait que nous habitions à l'écart du reste du clan, dans une demeure assez grande, certes, mais isolée. Il n’y avait pas de Zanpakutô chez lui. Il se rendait rarement au manoir du clan car il était situé pas très loin du Gotei 13. Il y allait uniquement pour les réunions du clan où il était convié. D'après ce que je sais, il m'avait emmenée avec lui pour me présenter officiellement au clan, et certainement aussi pour me faire voir l'objet que je lui avais montré quelques jours plus tôt. Le chef du clan, à ce moment-là, était mon grand-père et il avait son sabre au côté. Cette fois, ce fut devant mon grand-père, le chef de clan, mon oncle, grand frère de mon père et quelques autres membres de la famille que je pointais du doigt l'arme aux côtés de mon grand-pèrre et, ouvrant grand les yeux, je dis une seule fois avec un ton peut-être interrogatif et fort :
« Zanpakutô ? »
C'est là que je me souviens clairement avoir vu les cheveux blancs de mon grand-père briller sous les rayons du soleil couchant, illuminant la pièce d'une douce lueur rouge orangée et que l'ombre de la personne, qui venait d’ouvrir la porte, me fit éclater de rire sans aucune raison apparente. J'appris plus tard qu'il s'agissait d'une de mes tantes que je ne revis plus jamais par la suite. Je me souviens aussi que mon grand-père avait posé une main sur ma chevelure rose. Mon souvenir s'arrête là, mais il paraîtrait que le chef du clan avait dit à mon père :
« Ta fille est prometteuse Yoren. Je suis certain qu'elle ferait une bonne Shinigami, peut-être qu’un jour, elle deviendra Capitaine. »
À cela mon père aurait répondu :
« Ne l'obligez pas à entrer à l'académie, père. Si elle le veut, je me plierai à sa volonté, mais si elle ne le veut pas et que vous essayez de la forcer, je m'y opposerai. »
Chapitre 2 – Reiatsu vert.
À dix ans, je m'étais rendue compte de ma faiblesse physique. J'avais alors conclu que si je voulais battre un garçon, il me faudrait plus de force. Devant mon insistance de petite fille, mon père, lors de ses temps libres, hors des repas, entreprit de me faire faire des exercices qui augmenteraient ma force tout en continuant à m’apprendre les gestes de base du Hakuda et en particulier, ceux de la défense. Ainsi, à quinze ans, on peut dire que j'étais une pratiquante novice du Hakuda. Mais revenons un an en arrière, lors de ma méditation quotidienne avec mon père par une fin d'après-midi d'été. Au beau milieu de mes réflexions, j'avais vidé mon esprit de toute pensée parasite sans vraiment m'en rendre compte, je sentis comme une porte qui s’ouvrait dans mon esprit et soudain, je me sentis plus forte que jamais. Cela ne dura qu'un instant car une pensée parasite quelconque vint perturber ma concentration.
« Qu'est-ce que c'était... À l'instant ? »
J'ouvris les yeux et je remarquais que mon père me regardait tristement. Je savais très bien qu'il ne m'encouragerait pas à entrer à l'académie des Shinigami, mais aussi, qu'il ne m'en empêcherait pas si c'était ma volonté. Mon père me fixait du regard.
« Qui a-t-il, père ? Pourquoi me regardez-vous ainsi ? »
Il me fit patienter quelque seconde avant de me répondre :
« Ma fille... Merudy... Tu as un reiatsu presque du même vert que mon père. »
« Père, cela signifie-t-il que je peux postuler à l'académie ? »
« Oui, si tu le souhaites, je ne t'en empêcherai pas. »
Après cette courte conversation et avant de partir de la maison pour le manoir du clan, j'écris un mot pour mon père afin de lui dire où j'allais et ce que j'allais y faire. Mais alors que j'allais partir, mon père m'intercepta dans le hall et me retint par le bras.
« Tu ne comptais pas voyager toute seule j'espère ? »
« Je sais me défendre père. »
« Contre un ou deux adversaires peut-être, mais pas contre une bande. J'ai aussi à faire au manoir, je vais donc y aller avec toi. »
Je voulais voyager seule, mais puisque mon père insistait, j'allais voir mon grand-père avec lui. Contrairement aux autres membres du clan, mon père et moi avons toujours préféré marcher. Du moins, à partir du moment où j'étais en âge de l'accompagner à la capitale sans le ralentir. Deux jours après avoir quitté le petit domaine, nous arrivâmes tous les deux au manoir de la famille. Bien que nettement plus grand, le manoir Kuchiki est construit avec le même style que la villa où j'habitais avec mon père. Nous fûmes accueillis à bras ouvert par mon grand-père, qui n'attendait pas du tout notre visite. M'inclinant devant lui par respect, je lui dis :
« J'aimerais vous demander quelque chose, Oji-sama. »
« Il n'est pas nécessaire pour toi ma petite fille de m'adresser la parole ainsi. Pour ce que tu as à me demander, je t'écoute. »
« Oji-sama, j'aimerais votre aval afin de passer l'examen d'entré à l'académie. »
« Merudy, tu as quatorze ans, tu es jeune. Attends quelques années avant de te présenter à l'académie. Apprends un minimum à maîtriser ton reiatsu. Dans quatre ans, quand tu seras devenue une femme dans sa plénitude alors tu seras prête. »
Cependant je ne l'entendais pas ainsi et je m’agenouillais aux pieds de mon grand-père pour annoncer :
« Oji-sama, aidez-moi s'il vous plaît, j'aimerais vraiment postuler le plus tôt possible. »
Mon grand-père me prit le bras gauche pour me faire me relever, puis le menton pour que je le regarde dans les yeux.
« La route pour devenir Shinigami est longue et difficile. Je ne m'opposerai pas à ce que tu postules à l'académie car je sais très bien que même si je te disais non, tu le ferais quand même, tu n'es pas une Kuchiki pour rien. Cependant, je ne tolérerais pas un échec de ta part. Profite du temps qu'il te reste avant la session d'examen de l'année prochaine pour étudier l'histoire du Gotei 13, les réussites et les échecs des Shinigami. Continue à t’entraîner au Hakuda et médite souvent pour comprendre un minimum ton reiatsu. Tu peux rester au manoir si tu le désires, il y a toujours une chambre de libre pour les Kuchiki de la campagne. »
Puisque mon grand-père me le permettait, je ne rentrais pas à la villa avec mon père. Une chambre fut mise à ma disposition au premier étage du manoir. Durant cette période d'un an que je passais au manoir pour préparer l'examen d'entrée à l'académie, je passais le temps entre le repas du midi et celui du soir dans la salle de méditation. Ainsi, en l'espace de quelque mois, j'appris à voir mon reiatsu pendant quelque seconde. Il était vert et c’était comme une sorte d'aura autour de moi. Après le repas du soir, je passais deux heures dans la bibliothèque à lire des livres sur l'histoire du Goteï 13 parce que mon grand-père m'avait dit de le faire, mais cela ne m’intéressait guère. J'ai aussi consulté des parchemins théoriques sur les techniques de Zanjustsu et du Hoho. En un an, je n'avais fait qu'effleurer la surface de ce que pouvaient savoir les Shinigami et ce qu'ils pouvaient faire. En tant que Kuchiki ayant un potentiel en reiatsu, je me devais d'avoir une note élevée à l'examen.
Chapitre 3 – L'académie.
Le temps de passer l'examen d'entré à l'académie arriva pour moi, après un an de préparation. Il était certain que les examinateurs attendaient beaucoup de moi, cela s'entendait à l'intonation de leurs voix. L'image que je renvoyais aux examinateurs était très certainement une image de jeune fille nerveuse ne réussissant pas à bien contrôler ses émotions, ce qui est pourtant primordial pour un Shinigami. Cependant, sur le test de connaissance théorique, le test de connaissance pratique et le test de potentiel de reiatsu, j'obtins la meilleure note au test de reiatsu, mais je reçus une note plus faible, bien que correcte au test de connaissances. Je fus donc affectée à une classe de bon niveau mais pas la classe d'élite.
Je ne tiens pas particulièrement à me vanter, mais dès la quatrième année à l'académie j'eus une première conversation avec mon zanpakutô. Celui-ci, ou devrais-je dire celle-ci, avait l'apparence d'une jeune femme, très petite, aux cheveux blonds très longs, les yeux bleus ciel, une robe mi longue verte et surtout deux ailes dorées et transparentes dans le dos. La première fois, je ne compris pas tout de suite ce qu’elle était et il me fallut trois mois pour comprendre qu'elle était la vraie forme de mon zanpakutô, qu'elle était ce que j'étais. Mon univers intérieur dans lequel je conversais avec elle, lors de mes méditations, était une forêt verte s'étendant à l'infini. Dans le ciel nocturne de mon monde, il y avait d'incessant passage de comète illuminant la nuit de leurs traînées multicolores. Je mis un mois supplémentaire à comprendre que cet univers était dans ma tête et représentait dans mon esprit ce que j'étais, ce qu'était mon zanpakutô. Alors que ma cinquième année touchait à sa fin, je sus :
« Kakutou Sen'jo »
À cela la fée me répondit :
« C'est bien mon nom et ce que tu es. »
Cette année-là, je fus la première à connaître le nom de l'âme dans mon sabre, la première à comprendre qu'un zanpakutô n'était pas seulement une arme, mais aussi un compagnon, qu'il vivait avec nous, qu'il pleurait avec nous, qu'il avait les mêmes espoirs et les mêmes peurs que nous. À partir du moment où j'avais compris cela, je pouvais commencer à m’entraîner pour ne faire qu'une avec mon compagnon et par la même occasion, découvrir mon Shikaï.
En plus des enseignements des quatre grandes techniques de combat des shinigami, où je me spécialisais dans le Hoho et le Hakuda, délaissant les deux autres pour passer plus de temps à méditer avec mon sabre, j'avais choisi l'option de renforcement musculaire. J'étais la seule fille de ma promotion à l'avoir choisie et j'avoue qu'au début, je peinais vraiment par rapport aux garçons qui avaient choisi cette même option. Au Hoho je montrais les mêmes dispositions que mon cousin six ans avant moi. Il paraîtrait que pour une 3e année, je me débrouillais presque aussi bien que lui lorsqu'il était à l'académie, au même niveau d'étude que moi, on me fit la même remarque pour ma maîtrise du Hakuda,
Au début de ma 4e année d'étude, lors d'une méditation avec Kakutou Sen'jo je lui dis clairement mais avec respect :
« Je suis prête. »
Pour preuve que je ne faisais qu'un avec mon zanpakutô, elle comprit tout de suite à quoi je faisais référence et approuva. Ainsi, dans mon univers intérieur, j'appris à transformer mon zanpakutô au niveau supérieur, le shikaï, mais il me fallait d'abord trouver son nom, ce qui fut fait en deux semaines de méditation régulière.
« Élimine Kakutou Sen'jo. »
Je découvris mon shikaï qui était des gants noirs avec lesquels je me sentais à la fois plus forte et plus légère. Mais l'instructeur en chef de la classe m'interdisait formellement d'utiliser mon shikaï lors des combats d’entraînement avec les autres étudiants alors je m’entraînais dans mon esprit contre mon zanpakutô. Ainsi je découvris le vrai sens du nom de celle-ci, car je pouvais détruire un mur de pierre d'un simple coup de poing, mais je pouvais aussi allonger les gants jusqu'au coude me permettant de bloquer les attaques au corps à corps directement avec les avant-bras, bien que je préfère l'esquive car il est plus facile de contre-attaquer après une esquive qu'un blocage. C'est ce que l'on pourrait appeler un shikaï de type corps à corps.
Je réussis sans difficulté l'examen final de l'académie en terminant primat de ma promotion et bien que jeune, seulement 20 ans à ma sortie de l'académie, je pouvais prétendre accéder directement à un rang d'officier du 10e siège. Néanmoins, il fallait qu’une place soit libre dans la la division où l'on m'affectera. J'étais prédestinée à la seconde division au vu de mes compétences très similaires, à moindre niveau, à celle de son capitaine. D'ailleurs qu'elle fut ma surprise de la voir, en personne, me proposer de me faire passer un test directement contre elle. Mais je refusais avec détermination car la seconde division ne m’intéressait pas. Même si les examinateurs me poussaient à accepter cette promotion, qui n'était cependant que proposer car au final, le choix me revenait à moi seule. C'était ce qu'ils avaient décidé, certainement par respect pour l'un des clans les plus puissants de la Soul Society et peut-être aussi parce que le ched du clan de l'époque, fier de sa petite fille, le leur avait demandé, je ne puis émettre que des suppositions là-dessus.
La 6e division était déjà, a l'époque, une dision "noble" appartenant presque aux Kuchiki par le fait qu'ils se succédaient les uns après les autres à ce capitanat. Mais, au vue de ma réussite à l'académie, huit des treize divisions me proposèrent un poste dans leurs rangs. Bizarrement ce fut la 11e qui m'attira le plus. J'y restais un siècle entier.
Chapitre 4 – 11e Division
Me battre, me battre et me battre encore, c'était mon quotidien à l’Onzième Division depuis que j'y étais. Au début, les autres me sous-estimaient parce que je paraissais faible malgré que mon shikaï soit digne de la division. Il augmentait ma force et ma résistance, mais ne semblait pas augmenter ma vitesse déjà grande. Ainsi, au bout de cinq ans d'incessant combats pour prouver ma valeur, je pus montrer ma force, ma détermination et me hisser comme étant la shinigami la plus puissante hors des sièges. Au bout de quelques années, lorsque j’étais âgée vingt-cinq ans, je me suis sentie assez forte pour défier en duel le vingtième siège et prendre sa place. Le combat fut rapide et je le mis KO bout d'une minute avec une combinaison shunpo, saut plongé à partir d'un point élevé et coup de poing avec mon shikaï dans la tête. J'appelais cet enchaînement « Dageki Kakutou » car le sol s'affaissa par la force de cette technique. Deux jours plus tard, je défiais le dix-neuvième siège qui ne tint pas plus longtemps que le vingtième et ainsi de suite. En un mois j'obtenais le quinzième siège. Je dus lutter pour conserver ce siège durant presque deux ans. Je connus une défaite, après un affrontement assez long, contre une autre fille nommée Jade et je perdis ainsi le siège avant de le récupérer quelques jours plus tard, quand elle battit le quatorzième siège. Je dus me battre encore pour le récupérer, puis, je me lançais à la poursuite de Jade avec un siège de retard, m'emparant du quatorzième quand elle monta au treizième. Je la défiais une nouvelle fois, mais j’obtenais la défaite, après un long combat de plus d'une heure cette fois. Alors que Jade continua de monter jusqu'au huitième siège sans trop de difficulté, après dix ans passées à l’Onzième Division, moi, je restais au treizième en me contentant de me défendre sans trop de difficulté contre ceux qui me défièrent par la suite. Cela dura cinq nouvelles années.
Après un combat contre des hollows dans le rukongaï, où le douzième siège trouva la mort, je m’emparais de sa place sans combattre. Puis, cinq ans passèrent, je n’avais fait que de défendre ce siège avant que je ne me décide à monter jusqu'au neuvième sans difficulté et en l'espace de deux mois. Une fois là, j'attendis à nouveau cinq ans avant de défier une troisième fois Jade. Cette fois-ci, nous avions décidé qu'il y aurait un temps limite d'une heure et que si la limite de temps était atteinte, alors ce serait une égalité. Le duel pour le huitième siège fut ardu et la fin de l'heure arriva, ce fut donc une égalité et chacune garda le siège occupé.
Durant les années qui suivirent, Zaraki, alors que j'étais en patrouille dans le Rukongaï avec le 15e siège, tua d'un seul coup notre capitaine et prit sa place devant 200 membres de la 11e division.
Chapitre 5 – 13e Division ! La Traque d'un hollows légendaire !
J'avais soif de quitter la SS, de partir en mission dans le monde humain. J'avais envie de changer d'air. Je n'avais plus envie de me battre pour garder un grade ou en obtenir un qui soit supérieurs en combattant d'autres shinigami. Non, je voulais faire mes preuve dans le monde réel. La 13e division me semblait la plus appropriée. Ma demande de mutation fut acceptée et je me retrouvais 5e siège de la division. Je ne fus pas envoyée directement dans le monde humain. Le capitaine voulais d'abord que je m'intègre à la division. Ce ne fut pas facile, mon passé à la 11e, ne facilitait pas les choses. Il me fallus une trentaine d'année pour bien m'intégrer. Pour me familiariser avec mes camarades. Je me devais de ne pas échouer.
Et puis, en 1568 je fus envoyée dans le monde humain pour traquer un hollow précis et appuyer la surveillance des villes d'une région appellé Duché de Bretagne. Les paysages y étaient fantastique dès que l'on quittait les villes où les rues étroites était encombré. Les gens balançais leurs besoins par les fenêtres. Les maisons, construitent sur plusieurs étages, masquait le soleil et seul, les places n'étaient pas sombre. Le Parlement de Bretagne dominait la ville de Rennes et c'est souvent de sur son toit que j'observais les alentours. Rennes, capitale du commerce en Bretagne, 2e ville de France à cette époque. Trois shinigami dont un officier du 20e siège avaient disparut. C'est ce qui a décidé le capitaine d'envoyer un officier du top cinq de la division dans le secteur. Mon premier objectif était d'enquêter. Grâce à une bonne maîtrise de mon pouvoir je pouvais me cacher des hollows. Enfin, je le pensais.
Le hollows qui était devant moi en ce jour du 25 Décembre 1568, n'était pas comme les quelques-uns que j'avais détruit, celui là était... un menos grande. Je ne faisais pas le poid contre lui c'est certain. Mais... a l'académie on nous apprends que les menos grande sont rare dans le monde humain, qu'ils sont lent et peu intelligent. Celui là n'était pas comme ça. Il m'avait prise directement pour cible et je ne pouvais qu'esquiver ses ceros. Je tachais au mieux de l'éloigner de la ville. Mais je n'avais pas l'intention de lui faire face et je me contentais de fuir. Ce fus le hasard qui me sauva. Un shinigami... le 3e siège de 6e division le blessa suffisement pour le faire se replier. Pourquoi ce shinigami étaiet là ? Je n'en sais rien, il ne répondis pas à ma question. Je rentrais à la Soul Sociéty cependant pour faire mon rapport au capitaine. Il fut un peu inquiet de la présence d'un gillian dans la région. pendant deux trois ans je restais au Seireitei en m'entraînant dure. Je pus ainsi augmenter assez considérablement ma puissance. Le jour vint cependant où je fus a nouveau assignée à la ville de Rennes.
Pendant quelques années, je n'eu à combattre que de petits hollows éparses. C'était la routine. Cependant ma garde ne baissait pas, j'espérais que le gillian se repointerait. Je me sentais prête à l'acceuillir. Comme le pensais le capitaine, dans ce gillian il y avait un hollows plus fort que les autre, qui dominait et qui avait sa propre volonté. Cette fois si, je lui fit face et avec mon shikaï, et avec un certain nombre de coups et d'esquives, je le fit rebrousser chemin avant de retourner faire un second rapport à mon capitaine.
Ce ne fut qu'en 1700 que je fus à nouveau envoyé à Rennes. J'étais alors devenu vice-capitaine de la division. Le siècle dernier ayant été passé en entrainnement et en petite mission à Karakura ou d'autres villes du Japon. Les disparition reprirent à Rennes à la fin 17e siècle. Le seul shinigami qui en réchappa parla d'un adjudchas nommée L'Ankou. Le capitaine était en réunion ce jour là. je pensais que je ne devais pas perdre de temps, alors qu'en fait c'étais mon devoir d'interrompre la réunion des taisho pour apporter une telle nouvelle. Je franchie donc le seikkamon pour retourner à Rennes. Mais, l'adjudchas avait déjà disparue et je rentrais au Seireitei. Je n'avais pas reçu l'autorisation d'allez dans le monde et je reçu un avertissement. Puisque visiblement, je tenais à retourner dans le secteur, le capitaine m'y renvoya, d'autant qu'il voulait un shinigami puissant, là bas, car la ville semblait être la cible d'un seul et même menos depuis bien longtemps.
1720 fut l'année ou je faillis mourir. Le 23 Décembre pour être exact. L'adjuchas revint. Il n'était pas encore devenue un arrancar, il n'avait donc pas de zanpakutô. 1720, ce fut l'année où il revint, l'année où il failli me tuer. Dès que je l'aperçu, je libérais mon shikaï. Tout ce qui était eau arriva en mon pouvoir. Seulement je ne pouvais en commander qu'une quantité limité. L'adjuchas, que venait-il faire içi ? Pourquoi cette ville occidentale ? Pourquoi s'acharner içi ? A ses questions il me répondit. Il se nommait L'Ankou, Rennes était la ville à laquelle il était attaché et la première cible des hollows était ceux ou à quoi ils sont attaché. Il était attaché à la Bretagne entière. Il se souvenant d'avoir été le Duc de Bratagne. Il y était très attaché. Il est mort dans la douleur. François II de Monfort. Il tenait à tous les bretons, sa première cible avait été sa fille ainée. Anne de Bretagne et Reine de France. Il s'en était pris aussi à sa seconde fille, Claude de France, Reine du même pays, femme de François Ier. Mais, il tenait aux bretons, il se devait de tous les manger. Le duel fut intense, des étincelles naissait a chaque coup au corps à corps, elles tombèrent comme une pluie d'étoiles sur la ville. Différent tas de paille prirent feu et moi... Je fus vaincus. En revanche, mon capitaine en personne était là. De ce que je sus par la suite, il avais réussis à blesser le hollows mais pas à le tuer.
Quant à moi, je tombais dans un long coma. Le capitaine de la 4e division ne trouvais pas d'où venais le problème. Mais j'étais en vie. Beaucoup de temps s'écoula, le capitaine nomma un nouveau vice-capitaine, même le capitanat changea. Lorsque je m'éveillais, le capitaine Unohana m'informa que j'étais rester 200 ans sans réaction, juste des signes vitaux qui tournaient pourtant normalement. Je retournais à la 13e division. En trois siècles elle avait vraiment changer. Un nouveau vice-capitaine et un nouveau capitaine. Je fut nommer 4e siège de la division. Je fis promettre au capitaine que L'Ankou serais ma cible. Je l'avais affronté par trois fois, je me devais de le vaincre moi même, sans aide.
Ainsi, commençèrent mes longues méditations préalable à la martyérialisation du zanpakutô afin d'obtenir le bankaï.
Chapitre 6 – Tempêtes intérieures
Nous y voilà, le moment pour comprendre certaines choses et pour passer au niveau supérieur est arrivé. Après presque unn siècle d'entrainnement pour retrouver mon ancienn e puissance, voici l'histoire de la libération de mon bankaï. Je me suis d'abord rendu dans un endroit désert du Rukongaï un endroit rocheux ou nulle âme ne vivait.
Me concentrant intensément comme pour faire la méditation de communication habituelle mais au lieu de cela je tentais de forcer le contraire. De matérialiser Kakutou dans le monde réel. Ce ne fut pas chose facile car même si mon reiatsu était naturellement élevé, il me fallait me concentrer plus que de coutume. ce fut seulement après un quart d'heure d'acharnement que la vint à moi. Sachant le pourquoi du pour que elle n'attendit avant de matérialiser mon monde intérieur avec elle ou du moins quelque chose de très similaire. Cependant je sentais, lentement mais surement, mon reiatsu s'écouler hors de moi car c'est lui qui permet à la fée de rester dans ce monde.
« Je sais pourquoi tu m'as fait venir. »
« Tu es prête à ce que je vois Kakutou. »
« Trouve ton bankaï dans les arbres si tu le peux ! Mais ne compte pas sur moi pour t'aider cette fois. »
Avec un regard ironique, n'imaginant pas qu'une si petite fée puisse me mettre à mal, je m'élançais dans la forêt et soudain l'être féerique fut devant... Elle me repoussa en arrière avec une simple pichenette qui me propulsa contre un arbre. Je restais un instant sur les fesses par terre, le dos contre l'arbre surprise qu'il y ait autant de force dans un si petit corps. Kakutou ne me laissa pas le temps de réfléchir, utilisant le shunpo pour se retrouver au-dessus de moi, car elle m'attaqua par le haut de la même manière que j'avais battu le vingtièmes siège de la onzième division. Je dus rouler sur moi-même pour éviter le coup, qui fit choir l'arbre au sol par la perte d'appuie dut à l'affaissement du terrain à ce niveau causé par la puissance du poing ganté de la fée. Je me relevais aussitôt et j'attendis la prochaine attaque de la fée pour effectuer un shunpo au dernier moment pour l'esquiver. Puis, je courus jusqu'au sommet de l'arbre abattu, où accrochés aux branches tels des fruits, une dizaine d'armes étaient présentes. À peine eus je touché l'une d'entre elles, celle qui ressemblait à un marteau de guerre, que je sentis une pression sur mon ventre, qui me propulsa avec violence en direction d'un autre arbre. Mais alors que j'étais en vol, un autre coup puissant m'envoya valser dans les branches d'un autre arbre. Effectuant un nouveau pas rapide en utilisant une branche comme appuie, je me propulsais pour saisir une nouvelle arme avant que je me sente envoyée vers le haut à travers le feuillage de l'arbre. Puis, un deuxième coup m'envoya à l'horizontal vers ma droite et un dernier me propulsa vers le bas avec une grande puissance. Le sol s'affaissa sous moi par la violence du choc. Je n'eus qu'une demi-seconde pour réagir et tourner sur moi-même à trois reprises pour éviter les coups des trois fées. Donc si je touchais la mauvaise arme, celle-ci se transformait en Kakutou. J'aurais dû libérer mon shikaï dès le début car je me trouvais dans une situation délicate. J'eus juste le temps de me relever avant de devoir esquiver avec un hoho les trois fées qui attaquaient en même temps.
« C'est vraiment tout ce que tu sais faire Merudy ? Tu ne mérites vraiment d’acquérir ma forme la plus puissante ! »
Cette fois-ci, j'entrepris de distancer mes adversaires pour avoir le temps de libérer mon shikaï afin de reprendre l'affrontement et je fus un peu surprise de mettre un peu de distance entre les fées et moi. Toutefois, il y en avait suffisamment pour m'arrêter, me retourner, leur faire face et dire :
« Élimine Kakutou Sen'Jo ! »
Autour de moi, l'air se mit à frémir, mon reiatsu vert m'entourait complètement et pendant une seconde, il était totalement opaque au niveau de mes avant-bras, puis il disparut lorsque mon trident fut en place, tenu à deux mains en son centre. Cependant les femmes-ailées étaient trop rapides pour me permettre d'attaquer, je ne pouvais donc que bloquer leurs attaques sans riposter et surtout sous leurs puissances combinées, je faiblissais assez rapidement.
Au comble du désespoir, je me décidais de fuir dans les profondeurs de la forêt en utilisant un déplacement aussi rapidement que ma puissance me le permettait. Je n'eus guère de mal à distancer les deux clones de mon zanpakutô, en revanche l'original me rattrapa parce que je m'étais arrêtée à cause du fait que cette partie de la forêt était oppressante, sombre et sinistre. Une atmosphère pesante y régnait, je me mis à trembler car j'avais peur, vraiment peur et je n'osais pas aller plus loin, par crainte de ce qui pouvait m'attendre si je continuais à m'enfoncer vers le cœur de la forêt, vers mon cœur. Des sentiments contradictoires envahirent mon esprit. Que devais-je faire ? La certitude que mon bankaï était au fond de cet endroit sombre me tenaillait l'esprit, mais la peur m'empêchait d'avancer. J'étais comme pétrifiée. Bizarrement, Kakutou de m'attaquait pas, peut être pour voir la suite des événements. Mon shikaï se désactiva de lui-même sans que je ne m'en rende compte. Je reculais malgré moi, c'était comme si quelqu'un d'autre contrôlait mon corps alors qu'en fait, c'était bien moi qui lui ordonnais de faire cette action et la fée m'attaqua à nouveau. Un coup puissant me propulsa contre un arbre et je restais là, sans bouger les yeux ouverts, mais en fait non, ce n'était que mon corps qui restait là, mon esprit était ailleurs ce qui n'empêcha pas Kakutou de continuer ses attaques.
Cela ne dura que quelques secondes, durant lesquelles j'ai vu mon père m'apprenant à parler, à marcher, à lire et à écrire. Et je vis mon père qui me serrait dans ses bras. Je vis aussi mes anciens amis, les enfants des domestiques de la villa, nos jeux ensembles, nos affrontements amicaux. Je vis ma rivale Jade pour qui j'avais de l'amitié et du respect. Alors je compris. J'esquivais le dernier coup de la fée, puis, effectuant un pas de hoho pour gagner du temps, je dis ensuite avec volonté :
« Ce n'est pas pour moi que je suis là, je dois devenir forte pour protéger ceux qui me sont chers. Et cet endroit, qui me fait peur, est mon cœur car la peur y était absente jusqu'à maintenant. Je ne dois pas devenir forte pour détruire, mais pour protéger. »
Étrangement une lame se planta à mes pieds, sans hésiter je la saisis et je dis :
« Bankaï ! Keibo Sen'jo ! »
Alors mon reiatsu vert m'entoura plus fort que jamais. Contrairement à mon shikaï, c'était sur tout mon corps qu'il devint opaque, sauf au niveau du visage. Lorsqu'il redevint invisible, je pus voir l'intégrité de la libération ultime de mon zanpakutô, il recouvrait tout mon corps. Une cape noire, aux bords tissés dorés munie d'une capuche rabattue sur ma tête, apparut. Ensuite, il y avait une robe, avec un décolleté mettant ma poitrine en évidence, qui descendait jusqu'à mes genoux, elle était rouge et un tissu de soie rose, avec un nœud à l'avant, me servait de ceinture. Les chaussettes de mon bankaï étaient, elles aussi, rouges et me montaient jusqu'aux genoux. Quant aux chaussures, c’étaient des bottes noires en cuir recouvertes de pointes métalliques de cinq centimètres placées de manière régulière. Aux mains, je tenais deux tridants aussi grand que celui de mon shikaï. Ils étaient en tout points identiques au premier. La quantité que je pouvais manier était, énorme, peut-être infinie.
Je regardais alors la fée pour dire :
« Je ne souhaite pas te faire tu mal, même si tu te régénères, alors ne me force pas à t'en faire. »
« En comprenant ce que tu as compris et disant ce que tu viens de dire, tu as gagné le combat. Maintenant retourne à l'extérieur et utilise-moi en respectant ce que tu viens d'apprendre. »
Chapitre 7 - 1990 - Bataille dans le ciel de Brocéliande - La fin d'un hollows légendaire - Feu contre Eau
Personne ne vis mon bankaï, car je m'entrainais, pour bien le maîtriser, en secret. L'eau que je pouvais contrôler avec lui était incroyable. Tous ce qui était eau était en mon pouvoir. Bien sur, je ne pouvais utiliser la glace, la neige ou la vapeur directement, il me fallait d'abord rendre toutes les formes d'eau liquide. Je ne sais pas si je pourrais oeuvrer ainsi face a Hyorinmaru, le zanpakutô de glace le plus puissant appartenant au capitaine Hitsugaya de la 10e division. Bon, il n'était pas encore capitaine en 1990, c'était Isshin Shiba qui commandais cette division. Mais, là n'est pas la question.
En presque 400 ans, la ville qui m'avait émerveillée avait bien changer. Il restait peu de chose de l'ancienne. La Cathédrale était toujours là, ainsi que le parlement et un certain nombre de vieux bâtiments. La ville était devenue vraiment grande, avec des immeubles partout, des technologies beaucoup plus avancé. J'étais un peu perdu dans tout ça, mais maintenant, j'avais un point d'observation incroyablement haut par rapport a celui dont je me servais avant et qui était toujours existant. La Tour de l'Eperon, 105 mètres, 106.71 avec moi perchée au sommet de l'antenne... L'endroit idéal pour surveiller la ville.
Avec mon gigai, je me faisais passer pour une étudiante de l'université de Rennes. De tout les habitants de la villes, il n'en fut aucun pour me voir sous ma forme de shinigami et a part quelquew hollows éparses, je n'eus grand chose a faire de mes journée a part patrouiller, voire comment les rennais étaient maintenant. Je me permis même d'assister à une réunion municipale à la mairie. Le Maire de cette époque, Edmond Hervé, dégageais une certaine force spirituelle. Pas vraiment élevé, mais suffisente pour sentir ma présence lorsque je ne me cachais pas et que j'étais tout prêt de lui. Ce fut assez comique de l'interrompre de temps en temps.
Ce fut le 7 septembre que je sentis une pression spirituelle écrasante. Mon adversaire était arrivée. L'appareil de détection que l'on m'avait confier le localisa assez loin de la ville. Je me dirigeais donc vers ce point. L'Ankou était là, au dessus de la forêt de Brocéliande, plus puissant que jamais. Il avait sentis ma précense et m'avais attiré içi volontairement. Pourquoi içi ? Celà, il ne me le dit pas.
"Nous revoilà donc face à face, vice-capitaine."
"Je ne suis plus vice-capitaine. Notre dernière rencontre m'a mise dans le coma pour trois bon siècles."
"Oh vraiment ? Pourquoi est tu venus alors ? Ma puissance est bien plus grande qu'à cette époque ! Je suis fevenue un arrancar !"
"Je suis moi aussi plus fort qu'il y a quatre cents ans. Tu vas mourir içi, arrancar L'Ankou !"
Pas besoin de vous dire que L'Ankou prit tout de suite le dessus sur moi. Pourquoi a-t-il choisi un endroit avec autant d'eau ? Peut-être voulaient-il m'écraser avec toute ma puissance. Après quelque échange à son avantage. Je libérais mon shikaï et tout de suite le combat s'équilibra. En tant que 4e siège, je pouvais me battre avec toute ma puissance dès le début. Pas de limite à lever. Il ne réussis pas à prendre le dessus moi. Alors je compris qu'il utiliserais toute sa puissance. Je devais en faire de même. Voilà donc ce qu'était un arrancar. Voilà la vrai puissance de L'Ankou. Un zanpakutô de feu, certainnement bien moins puissant que celui du capitaine-commandant Yamamoto. Je libérais donc bankaï. Ma force est l'eau. Le combat sera donc eau contre feu. La plus grande faiblesse de chacun de nous deux. L'eau, faiblesse du feu, et feu, faiblesse de l'eau. La forêt en dessous commenca à brûler. Lame d'eau contre boule de feu. L'eau de la Dame du Lac me sauva a plusieurs reprise, l'incendie sauva mon adversaire tout autant de fois. Le véritable combat avait commencé. Eau contre Feu. Je faiblissais, mon adversaire aussi... La pluie... la pluie fut décisive pour la suite du combat. Une averse assez importante éteignis l'incendis en dessous. Concentrant tout ce qui restait de ma puissance pour un dernier coup, je vaincu mon aderversaire, mais j'étais a cours de force. Je pensais ma fin proche, mais un shinigami quelquonque me ramena à la soul sociéty.
Je ne sus la trahisons de trois capitaines que parce que le capitaine pris la peine de m'en informer, j'avais été à nouveau envoyée à Rennes. je n'avais d'ailleurs pas révéler dans mon rapport que j'avais battu l'arrancar a coup de bankaï. Sinon, je pense que mon capitaine m'aurais proposé de passer le test du bankaï pour avoir l'un des trois postes libre. Il en va de même pour la guerre contre l'espada ou j'avais reçu l'ordre de rentrer à la SS et de rester sagement à la caserne de la 13e division. Tout ce que je sus, fut qu'Ukitaké-sama y avait été blessé et qu'un certain Ichigo-kurosakli nous avait sauvé d'un grand désastre.
Lors de la guerre contre le vandereich je n'arrivais qu'après la première bataille. Le choc. Yamamoto était mort, un certain nombre d'autres capitaine aussi. Lors des batailles suivantes, ce fut... un désastre, la plupart des capitaines furent tués, de nouveaux furent nommés et mourrurent au combats a leurs tour. Celà n'en finissait pas. Il y eu aussi des désertions, comme Mayuri-taisho. Mais au bout du compte, cette guerre là, nous avons finis par la gagner. Je ne réussis a abattre qu'un seul stern ritter qui avait déjà récupérer le bankaï d'un capitaine. Je pus ainsi libérer le mien, cela aurait pus être une erreur car s'il y avait un autre stern dans le coin, il aura pris ma puissance. Mais j'eu de la chance et après un âpre combat, je fini par avoir mon adversaire. La chance encor était avec moi, car Shunsui-sama, vit la libération ultime de mon zanpakutô.
Chapitre 9 - Capitaine de la 6e Division - Chef du Clan Kuchiki.
Mon père, comme on l'a vue au début de mon histoire était un des anciens du conseil du clan. Lorsque Byakuya mourru en 2012, au combat, le conseil l'avait préféré à Kuchiki Rukia, ma cousine par adoption. Cependant, mon père était moins conservateur que les autres conseiller. Ainsi, il me fit accepter au sein du conseil du clan, alors que j'étais devenue 3e siège de la 13e division, sous prétexte de me former au fonctionnement d'une famille aussi puissante et influente que la notre. La perte de la 6e division, resté par au moins trois capitaines successifs et certainnement plus, dans le clan, avais fait chuter cette influence. Il avait donc été décidé, que si un Kuchiki redevient capitaine de la 6e, alors il serait chef du clan.
Je n'eus pas tellement de temps à attendre. Le capitaine Aisaka Kiyoshi, qui n'était pas le successeur direct de Byakuya Kuchiki, après un an à la tête de la division mourut il y a peu de temps. Peut-être un ou deux mois. Mais à ce moment là, seulement deux capitaines m'avait vraiment connus à l'oeuvre. Le Capitaine-Commandant Shunshui, au moment de mon test, et le capitaine "Rose" de la 3e division lors de la guerre contre le Vandenreich. Tout les autres capitaines étaient soit mort, partie à la retraite ou rétrogradé. Je pense que mon père a fais joué un peu de son influence auprès de Shunsui-sama. certainnement a-t-il utilisé comme argument que Ukitaké-senpaï ne se trompais que rarement sur le potentiel de quelqu'un. Ce fut donc une nouvelle fois le test au bankaï. Ce serait donc la deuxième fois que Shunsui-senpaï le verrait. Il verrait aussi mes nouvelles techniques, celles pour lesquels je me suis entrainner dure entre temps. Ce fut rude, mon niveau avait suffement augmenter pour battre un capitaine, certe difficilement, mais le battre tout de même. Je ne me souviens même pas de son nom... Poutant j'ai bonne mémoire. Ensuite se fut le capitaine de la 1ère division qui me fit face, mais j'étais a cours d'énergie. Il m'en retais cependant assez pour l'esquiver par trois fois avant de rendre les armes. Ils furent tout les quatre unaniment. J'avais prouvé que je pourrais être capitaine. La 6e division me revint donc et par la même occasion, le titre de Chef de Clan Kuchiki, mon père redevenant un simple conseiller. A ce moment nous étions en 2017.