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Parrain : Négatif.
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Âge : Mort à l'âge de 23 ans.
Race : Arrancar
Rang demandé : Exequias

Description de votre personnage :
Saiensu était un bon vivant, à l'époque où la flamme de la vie battait encore en lui. Il avait de nombreux amis, une famille à qui il tenait, et sans qui il n'était rien. Les sorties étaient fréquente pour lui. C'est surtout lors de ses fameuses sorties qu'il frôlait le danger, allant dans une discothèque connu pour ses nombreux conflits. Il y avait ses habitudes, ses proches, son style de musique. Certes, cette boîte était situé dans un quartier malfamé. Mais à son âge, tout est beau, tout est rose. La mort ? Elle ne peut l'emporter. La Grande Faucheuse ne vient qu'à la rencontre des personnes dont l'heure est arrivée : la sienne était encore lointaine. Du moins, c'est ce qu'il pensait. Insouciant, il jouissait tout de même d'un certain courage. C'était le premier à courir pour aider son entourage dans les bons comme dans les mauvais moments. L'un des défauts qu'il avait alors qu'il était encore en vie, était peut-être sa jalousie envers ceux et celles qui étaient meilleurs que lui : la compétitivité était son maître mot.

Toutefois, la Grande Faucheuse vint tout de même couper la ficelle de la vie. Son comportement changea du tout au tout. Devenant plus dépressif, rempli de désespoir et d'envie de vengeance. Il n'était que l'ombre de lui même à la quête de son objectif mais bloqué par cette maudite chaîne de la destiné. D'un physique passe partout avec ses longs cheveux coiffé en arrière et sa cigarette continuellement allumé, tenant qu'à la simple pression de ces lèvres, il donne une première impression d'homme sur de lui, qui n'a peur de rien et dont la mort ne fait pas peur. Sa tenue plus que banal rajoute un je m'en foutisme catégorique encore plus prononcé : un jean bleu foncé, un t-shirt blanc type marcel qui lui colle à la peau... Le genre de beau gosse dont les filles raffoles. Pourtant, il n'est pas du genre facile avec les filles, bien au contraire. Saiensu est plus du genre loup solitaire, à donner des ordres du haut de son trône, bougeant que s'il trouve cela nécessaire. C'est ainsi que l'on pourrait décrire le futur Arrancar...

Description de votre pouvoir :
Saiensu a apprit après sa mort à maîtriser le métal. Avec l'entraînement, il a su acquérir les compétences nécessaire à la création de cette matière. En tant qu'Arrancar, il ne possède qu'un long katana lui offrant la possibilité de créer des techniques propres aux métaux. En revanche, dès lors de sa Résureccion, son arme fond littéralement pour englober la totalité du corps du personnage lui offrant un Hierro de qualité, tandis que ses techniques se baseront dès lors sur son imagination. En effet, une fois libéré, il a la possibilité de créer et de modeler le métal à sa guise pour attaquer ses adversaires.
Phrase à prononcer pour la libération : Huelga, Metalistería !

Histoire :
Au Centre de Karakura vivait une famille aisée, dont le mode de vie se basait sur l'amusement et la « non prise de tête ». Saiensu était l'enfant aîné de cette famille, et il était fier de ce qu'il était, et de ce qu'il allait devenir. Il étudiait dans un lycée dans le but de devenir ingénieur en métallurgie. Est-ce que cela le passionnait ? Non. Pourtant, le salaire et les débouchés lui plaisaient. Le genre d'étude durant lesquels on ne se prend pas trop la tête, et une fois fraîchement sorti de l'école, les employeurs te courent après pour t'avoir dans leur entreprise. Rien que cela le faisait sourire, tandis qu'il y pensait sur le chemin de l'école. Dans sa classe, nombre d'entre eux souhaitaient être son ami. Le genre de bad boys qu'il valait mieux avoir dans sa poche, que comme ennemi. En tout cas, c'est ce que son apparence laissait à croire – et ce n'était pas pour lui déplaire.

Pourtant, alors qu'il vivait une agréable vie, un drame arriva ce soir là. Il était de sortie. Ses amis lui avaient préparés une petite fête d'anniversaire dans la discothèque qu'il fréquentait. Alcool, femmes... Tout était parfait pour un anniversaire digne de ce nom. La soirée se passa que trop bien, et en fin de nuit, tandis qu'il sortait accompagné de ses amis, un homme grand et mince, un bandana sur sa tête, un jeans trop large et de grosse boots vint à sa rencontre. Ce dernier présenta la paume de sa main et ordonna à Saiensu de lui « filait une cigarette ». Bien que généreux, le Sôru ne se laissait pas faire par ce genre de racaille qui pétait plus haut que son cul. L'agresseur poussa son épaule droite, et Saiensu décida d'en découdre en contre attaquant. Son poing vint éclater la mâchoire de l'agresseur - sa tête heurta un pilier d'un panneau du code de la route et il atterrit au sol inerte... Tout se passa bien cette fois, avec les applaudissements et félicitations de ses confrères...

Plus tard, alors que ses proches étaient rentrés chez eux, et qu'il se baladait seul à destination de sa demeure, quelque chose de glaciale vint le frapper dans la nuque et il perdit connaissance. Il se réveilla quelques heures plus tard, un groupe de trois hommes face à lui. Il tenta de se relever, malheureusement, ses poignets étaient ligotés à une tuyauterie et une serviette l'empêchait de parler. Ses paupières vacillaient encore – il n'avait pas reprit ses esprits...

« Tu apprendras qu'on ne refuse rien à notre maître. » Tels ont été les mots qu'il put entendre alors qu'il tentait de recouvrait sa conscience. Parlait-il de cette cigarette qu'il avait sciemment refusé à cette énergumène ? Ce simple refus entraînerait-il sa mise à mort ? Tout laissait à croire que oui. Mais avant cela, les trois individus n'en avait pas fini. Leurs poings vinrent à maintes reprises s'écraser à la face de Saiensu qui ne pouvait que prier pour que sa mort n'arrive rapidement. Les coups de pieds dans l'estomac – même s'il était semi-assis – lui donnait des hauts le cœur, le sang de son arcade sourcilière giclait au sol... Il était dans un état pitoyable et souffrait le martyre ! Il commençait à voir flou tandis que les coups de pieds et de poings furent remplacés par des barres de fer, et des battes de base-ball – eux aussi enrobées de métal. Le dernier coup qu'il reçu l'envoya directement à la morgue. Un coup de machette vint trancher en deux son crâne. Le coup était venu par derrière et il n'avait rien pu voir venir. C'est ainsi que s'acheva la belle vie d'un jeune homme qui n'avait rien demandé : juste finir son anniversaire chez ses parents qu'il n'avait finalement pas pu revoir...

Son esprit sorti de son corps, l'amnésie partielle était présente. Comment était-il mort ? Il ne le savait plus. En revanche, il était conscient qu'il avait perdu la vie, et qu'il était étrangement enchaîné à cette tuyauterie. Son corps était toujours présent, la machette encore bien enfoncé dans son crâne. Les déductions étaient rapidement faites. Mais le mystère de sa mort et surtout, de qui l'avait tué resté en suspend. Désormais, l'interrogation était de savoir ce qu'était cette chaîne, et pourquoi il n'avait pu rejoindre ce que les vivants appelés « le Paradis ». Une question sans réponse plongeant l'âme tourmenté dans un profond désespoir : celui de ne savoir quoi faire, lui qui jadis était un homme entreprenant ne sachant pas rester sur place. Les pleures, les tremblements, la tristesse... Il baignait nuit et jours dedans. D'autres esprits étaient libre, pourquoi pas la sienne ? Pourquoi devait-il rester sur les lieux de sa mort ? Pourquoi bon sang devait-il subir cela, alors qu'il avait déjà tellement subi ? Le sort cessera t-il de s'acharner sur lui un jour ou l'autre ?

Il semblerait que oui. Chaque jours, un maillon de la chaîne disparaissait. Malgré cela, il ne trouvait pas la joie qu'il méritait pourtant. Il continuait de s'enterrer dans ce désespoir de ne jamais revoir la lumière du jour, et devoir rester dans ce lieu si sordide et insalubre. C'était sans compter sur ce qui allait se passer quelques jours plus tard.

Toujours anéanti, vint à jour où le dernier maillon disparu. La chaîne explosa laissant enfin libre Saiensu qui fut prit d'une vilaine migraine et d'un soulagement féroce. Il tomba à genou dans la cave dans laquelle il était prisonnier depuis maintenant cinq ans. Les poings serrés au niveau de taille, il contracta tous ses muscles en hurlant de toutes ses forces. Mais les choses ne se passa pas réellement comme prévu. Sa liberté avait eu un prix ! Il n'était plus le même qu'avant. De son vivant généreux et social, il devint qu'une machine à tuer et nous dirions cannibale. Durant de nombreuses années, il ne cessait de manger ses congénères sans trouver la paix. Un trou était visible au niveau de son thorax. Ce trou représentait simplement la paix qu'il n'avait su trouvé, le trou du désespoir... Il ne cessait d'avoir faim. Son appétit grandissait jour après jour. Les esprits qu'il trouvait n'était que de potentiel proie : il était ravi de chasser et de pouvoir déguster ce qui était appelé : des « Hollow ». Son masque métallique en forme de tête de mort qui jonchait son visage, montrait clairement l'envie qu'il avait d'en découdre avec ceux ou celles qui croisaient son chemin.

8 ans plus tard, son appétit insatiable était telle qu'il devait s'extérioriser. Ses paumes de mains vinrent se poser sur les côtés de son visage tandis qu'il hurlait à s'égosiller. Il tira de toutes ses forces et c'est ainsi qu'il retira le masque de Hollow qu'il portait jusqu'à maintenant. Un déferlement de puissance... Il se sentait si fort... Comme si rien ne pouvait l'atteindre... C'était sans compter sur l'arriver d'autre puissance : les Arrancars. Il en rencontra un, un jour qui lui expliqua qu'il était maintenant devenu comme eux, et qu'un monde existait dans lequel il pourrait vivre : le Hueco Mundo – précisant aussi qu'il y avait un roi qui régnait sur ce monde... Voilà une chose intéressante. Présomptueux et fier, il souhait vivement rencontré cet Homme. Sa puissance devait être incommensurable ! Si tel était le cas, sa loyauté n'aurait aucune faille. Il serait prêt à lui vouer corps et âmes à son ascension... Ooooh oui, il était prêt à faire partie de son armée, et faire entendre parler de lui...

Préviens-nous quand ce sera terminé.

C'est Soru ou Sora, d'ailleurs ? Ton nom et ta fiche ne concordent pas.

Ok, tiens-nous au courant.

Yep !